Propos Sur Le Bonheur

chapitre 2 de L'Assommoir, roman naturaliste d’Emile Zola, Gervaise a été abandonnée avec ses deux enfants par Lantier. Coupeau, un honnête ouvrier qui loge dans le même hôtel est sincèrement amoureux d’elle et tente de la séduire. Ils échangent donc des propos sur leurs histoires et projets respectifs au sein de l’Assommoir, bar où se confrontent déjà leurs désirs et la fatalité qui pèse sur eux. Moment programmatique du roman, cet épisode traduit le projet de Zola dans l’exposition de la fatalité du sort

d’impressionner son père. Lors de sa conversation avec son père, David a fait des affirmations qui n’ont pas plu à Simon. David réalise par lui-même que ses propos sont humiliants à son égard, mais c’est lorsqu’il se retrouve face à Catherine qui réalise l’humiliation que ces propos lui font subir. Deuxièmement, Catherine est une des problématiques du bonheur de David, qui à son tour l’est de même pour elle. En ce qui concerne David et Catherine, on parle d’une relation d’amour inutilisée. La citation suivante

- Il est sournois et porte un sabre, répondait le voisin, il serait assez traître pour leur couper la figure. Les propos de la société noble étaient plus dangereux. Les dames se demandaient si c'était du maire tout seul que provenait cette haute inconvenance. En général, on rendait justice à son mépris pour le défaut de naissance. Pendant qu'il était l'occasion de tant de propos, Julien était le plus heureux des hommes. Naturellement hardi, il se tenait mieux à cheval que la plupart des jeunes

Introduction : Au 18° siècle, les philosophes se posaient la question centrale de ce siècle : la question du bonheur. Chacun y cherchait une interprétation différente, qui ne dépendait que d’eux. A cette époque, les femmes n’avaient pas accès à l’enseignement supérieur, seuls les hommes y étaient autorisés : si elles voulaient apprendre, elles devaient avoir recours à des professeurs particuliers, ce qui impliquait qu’elles devaient faire partie de familles assez aisées. Mme Du Châtelet avait

cours d’un vol, Fletcher est victime d’un accident, meurt mais ressuscite. Il est alors traité de démon. Après cet épisode fort triste, Jonathan lui demande de communiquer son savoir-faire autour de lui. A la mort de Jonathan, Fletcher perpétue les propos de son ami : « Dans la liberté, l’amour Il n’y a pas de limites ». Principaux personnages : Jonathan Livingston le Goéland : C’est le personnage principal, Il est d’abord le solitaire qui aime voler, exclu de sa communauté puis devient l’un des

réaliser ses rêves, d’atteindre ses objectifs. Quel va donc être notre état si nous sommes en bonne santé, connaissons l’amour et réalisons nos rêves ? Nous vivrons alors un temps de plénitude, d’insouciance. Qui n’a en effet jamais connu ces moments de bonheur intense, où la réflexion cède la place à l’intensité de la vie ? Une belle vie, au sens de l’énoncé, serait alors une vie tellement pleine qu’elle en serait dénuée de toute crainte, y compris celle de mourir. Le paradoxe présent dans l’énoncé ne

PHILO 2 INTRO Qu’est-ce que le bonheur ? Le bonheur est un état durable de plénitude et de satisfaction, agréable et équilibré de l'esprit et du corps. Dans Léviathan, Thomas HOBBES nous fait part de sa vision du bonheur et des désirs qui guident celui-ci. Il est donc légitime de se demander, comment pouvons-nous accéder au bonheur ? Mais également, si, la recherche de la félicité par les Hommes est la même pour chaque individu selon l’auteur. D’après HOBBES, le bonheur est un désir perpétuel, une continuelle

précisément le thème (champ de réflexion plus étroit). Identifier les concepts ou notions impliquées dans la question. Cf. schéma de l'entonnoir. Exemple : « Le bonheur est-il affaire de politique ? » : → la question se rapporte aux domaines de la morale et de la politique → elle porte sur le thème du 'rapport' entre la politique et le bonheur → plus précisément encore, elle fait intervenir implicitement les notions d' « individu » et d' « Etat » car il s'agit de déterminer comment les aspirations

dramatique de l’affrontement entre le philosophe Socrate et ses adversaires, les « Sophistes », autour des problèmes moraux de la justice et du bonheur. 3) ÉPICURE : Lettre à Ménécée, dans Lettres, Nathan « les intégrales de philo » ; ou dans Lettres et maximes, Le Livre de poche. ** Qu’est-ce qu’un véritable épicurien ? Comment faire pour que le bonheur dépende de nous ? Que faut-il choisir parmi les désirs et les plaisirs ? 4) La BOETIE : Discours de la servitude volontaire, Garnier Flammarion

l'espoir de satisfaire notre désir nous procure un certain plaisir, nous pensons que le plus important : le bonheur, se trouve dans la satisfaction réelle du désir. En général, être heureux signifie donc jouir de l'objet du désir. Nous pensons aussi que ce même désir, une fois accompli, sera capable de nous combler pleinement. Cependant, Rousseau introduit un paradoxe. En effet, il dissocie le bonheur, de la jouissance, allant même jusqu'à affirmer que celle-ci nous en éloigne. Mais jouir de la possession