Prologue

– dans Électre de Jean Giraudoux qui captent l’attention des spectateurs par le mystère qui les entoure dès leur entrée en scène.1 Chez Plaute, il s’agit d’un dieu agréable qui avance sur scène tranquillement et qui entre le premier pour faire le prologue. Le lare dans la « Marmite » représente l’âme de la maison voire même l’âme de l’ancêtre qui surveille sa famille. C’est lui qui expose l’intrigue aux spectateurs et grâce à lui on arrive à comprendre l’ensemble de l’intrigue, le nœud et le dénouement

lors de la « première » leçon annonce la fin du roman et celle du musicien. Film : le prologue évoque la mort de Monsieur de SC , comme si Corneau le cinéaste dialoguait avec le romancier Quignard ; inscrivait son prologue dans la continuité du roman et validait le personnage de Marin Marais adulte et âgé / Gérard Depardieu (narrateur en voix off) comme le successeur de SC dont il conte l’histoire : le prologue s’achève sur l’évocation de la mort de SC: « J’avais un maître , les ombres l’ont pris

adolescentes, la colère du père, chacun des frères partant à bicyclette, et le rituel s’est arrêté). L’opposition criante entre la détermination de Louis à vouloir dire (Prologue et scène 5 « pensée claire ») et l’impossible aveu (épilogue : pendant du prologue, mais de façon antithétique : l’épilogue signe l’échec du projet du prologue, signe l’échec de la parole (on peut parler de palinodie : à la fin d’une pièce de théâtre, ou en poésie, l’auteur révoque tout ce qu’il s’est forcé de démontrer et

Antigone, Bertolt Brecht Prologue Berlin, Avril 1945 La deuxième : Sœur, qui est-ce qui crie devant notre porte ? La première : Ils recommencent à torturer qui bon leur semble. La deuxième : Sœur, nous ne devrions pas aller voir ? La première : […] Sœur, sœur, ne sors pas. Notre frère est devant la maison. Il n’est pas hors d’affaire, hélas, Il est pendu à un croc de boucher. Mais ma sœur est allée dehors Regarder elle-même, elle a poussé un cri. La deuxième : Sœur, ils l’ont pendu, Et c’est

dents, il dit : « C’est la piste seulement que je cherche, et non le lion lui-même. » Cette fable apprend à reconnaître les gens hardis et lâches, j’entends hardis en paroles et lâches en actions. Introduction  : Situation du passage  : Dans le prologue du sixième livre qui clôt le premier recueil des Fables, La fontaine propose une double fable qui vise à illustrer un propos liminaire qu’on retrouve dans sa préface  : l’alliance de la brièveté et de la poésie. En proposant deux récritures de la

tué et se lève déçu, d'en bas les corps et couvert du sang des autres. 2. Le contexte africain 2.1 L'espace/cadre diégétique et mimétique du drame Depuis la description de l'espace par le prologue et les didascalies quelques indices montrent qu'il s'agit ici d'Afrique. Même si le texte du prologue nie que la pièce se déroule en Afrique: “Mais pas d'Afrique, s'il vous plaît!” (La Parenthèse,premier scène,p 5) L'atmosphère de guerre qui règne sur la scène fait déjà penser aux guerres civiles

Reybrouck (2007) Situation du texte : Mission est une pièce de 2007 qui est monologue écrit à partir de témoignages de pères blancs missionnaires au Congo, dans l’est du pays ravagé par la Guerre du Rwanda. Présentation du passage : dans le prologue, il expose les difficultés du père André de retour en Belgique, « en vacance ». Problématique : En quoi ce texte, à la limite des genres est-il un texte théâtral ? I – Les fonctions traditionnelles de l’exposition. A ) La présentation des

est conservée grâce aux entrées et sorties des différents personnages. 1. Le projet d’Antigone : enterrer Polynice Le rideau se lève sur tous les personnages de la pièce. Le Prologue s'avance sur le devant de la scène et les présente, tour à tour, au public. Ils sont onze au total et sortent au fur et à mesure que le prologue décline leur identité et donne leurs principaux traits de caractères. La scène est vide, la tragédie peut débuter sur « une aube grise et livide dans une maison qui dort » (p

intégralité. Dans ce contexte quelle place pour la captation du sens et par là pour l’identification de l’Ironie ? Dans son Prologue à Gargantua, peut-être un des textes, autour de l’interprétation erronée d’un combien que – mais cette erreur est révélatrice sans doute – les plus discutés, mais aussi à travers la progression du statut du lecteur que l’on observe dans les différents Prologues, Rabelais semble anticiper ces querelles à venir, tout en fondant la dissolution du sens. Nous pouvons citer Bernd

caractéristique est d’ors et déjà présente dans la première scène. Cette première scène est-elle, comme voudrait la décrire Corneille dans l’épitre dédicatoire, une introduction à un prologue ? Il faut, afin de répondre à cette interrogation, rappeler les caractéristiques qui sont propres au prologue. En effet, le prologue était utilisé par les Classiques, puis au Moyen âge. Il prenait la forme, le plus souvent, d’un discours prononcé par un personnage, appartenant ou non à la pièce, qui avait pour but