Profanation

huit supects ont été arrêtés. Pour le père Yousi Thomas Mirkis «  cette opération avait été préparé de longue date au vu des armes et des munitions qui ont été retrouvées dans la cathédrale. Cela prend du temps pour les introduire. » Les profanations en France sont en hausse constante En 8 mois, 387 dégradations visant des lieux de culte catholique, juifs ou musulmans et des cimetières ont été recensés. Synthèse personnelle : Aujourd’hui, les faits d’actualités nombreux montrent

avant tout la pureté exigée par tout travail rituel. On les porte parce que les mains qui auront à manier les symboles Sacrés, ne peuvent être celles, qui manient les objets profanes dans la vie quotidienne. Le Sacré doit être préservé de toutes profanations. Les Gants Blancs ne peuvent être portés rituellement que par quelqu’un qui s’est purifié avant de pénétrer dans le Temple. Ils indiquent aussi que les mains d'un Franc-maçon doivent rester pures de tous actes blâmables, de même que sa conscience

des phénomènes naturels catastrophiques comme des ouragans ou cyclones tropicaux, des tsunamis, des moussons, des incendies de forêt comme en Californie, en Grèce en été, etc. ; 2) La deuxième provient de la dénaturation de la nature et sa profanation par la fausse conscience des capitalistes internationaux qui la considèrent à tort comme un vaste réservoir de marchandises renouvelables ; 3) La troisième tire son origine dans la matrice centrale du capitalisme mondial, c’est-à-dire dans la croissance

dignitaires qui y reposaient, fut profanée par des révolutionnaires en 1793, comme le fut aussi le tombeau contenant ses chairs bouillies (à Montferrand). Quant au tombeau qui contenait ses entrailles (église Saint-Laurent, au Puy), il échappa à la profanation : l'urne fut mise en dépôt à la mairie en vue de lui donner une sépulture laïque puis fut finalement replacée dans l'église Saint-Laurent avec son contenu ; ils y demeurent toujours8. Son cœur seul parvint en Bretagne où il fut déposé sous une dalle

magiques, comme on les attribue aux prophètes religieux. La religion rassure les peuples, elle conforte les hiérarchies établies, elle le fait si bien qu'elle tend à faire de l’ordre établi un ordre sacré, qui ne saurait être changé sous peine de profanation. Comme dans les sociétés traditionnelles, la distinction entre le pouvoir temporel et le pouvoir spirituel (texte) n’est pas faite, le souverain cumule en lui-même les deux pouvoirs. Il est regardé comme un chef et le représentant de Dieu sur terre

Bloc). Leur point commun est le rêve d’une société libertaire où chacun agit selon sa volonté , il faut rejeter les contraintes qui entravent l’individu dans ses désirs ou ses besoins ; il en découle une remise en cause des institutions et une profanation volontaire des valeurs fondatrices de l’ordre social : famille, corps, école, police …. Déjà le Marquis de Sade au XVIIIème S faisait du désir et du plaisir de la transgression son fond de commerce. Sur le plan philosophique, il ne faisait que

Satan. Le politique et le religieux vont collaborer dans un combat pour déloger le mal. Cette entreprise prit la forme de chasse aux sociétés initiatiques et secrètes, de destruction d’objets fétiches symboliques du pouvoir et d’une entreprise de profanation volontaire des lieux sacrés par les missionnaires. Cette idée d’emprise diabolique est progressivement entrée dans le système de pensée religieuse de l’Afrique qui voyait dans les Européens les enfants de Dieu et dans les Africains les enfants de

l’âge de fer ; il suffit de relire les vers 36-44 en ôtant les tours négatifs pour voir se profiler les caractéristiques du malheur de cet âge : -La terre est couverte de routes ; « patefacta » donne l’idée d’une ouverture, d’une tranchée, d’une profanation (36) -Du pin, arbre immobile et vertical, on fait des navires en vue d’expéditions lointaines et lucratives. (37-40). Noter la condamnation incluse dans le verbe « contempserat » après la coupe hepht/ainsi que dans l’adjectif « vagus » dans le dactyle

pour le lynchage. Plus tard on apprendra que rire ou l’amusement est la même chose que de se rendre au zoo ou au cirque et regarder des professionnels faire leur show pour épater la galerie. Cela relève, pour les Talibans d’un sacrilège, d’une profanation envers Allah. Petit détail historique, au moyen âge, le rire était le signe du diable. Et ce ne sera pas le seul détail qui nous fera croire être revenu à l’ancien temps. La deuxième règle instaurée par les Talibans est celle du lynchage publique

moralisme, la même obsession de la pureté, et la même propension à imposer des comportements par la police de l’intime, par l’exploitation des tabous. Ici l’affaire des caricatures de Mahomet répond parfaitement à la loi Gayssot, et aux innombrables profanations du Christ : chacun des protagonistes dominants prétend imposer son tabou, et se défoule en blasphémant, pornographe juif ou voyou musulman, le sacré du plus faible. Et le marchand, qui est le régulateur de cette société décivilisée, s’incline devant