Pro Natura

della nossalita », I.U.R.A., Rivista internazionale di diritto romano e antico, Naples, 1960 ; M. Sargenti, « Contributo allo studio della responsabilità nossale in diritto romano », Publ. Univ. Pavie, 1949, pp. 59 et suiv., et « Limiti, fondamento e natura della responsabilità nossale in diritto romano », Publ. Univ. Pavie, 1950, pp. 103 et suiv. ; G. Pugliese, « Appunti in tema di azioni nossali », Studi Carnelutti, 2, 1950, pp. 113 et suiv., et « Obligazioni del capo famiglia e responsabilità diretta

n’est ni transcendant (extérieur et supérieur au monde), ni providentiel (bon et justicier), ni anthropomorphe (sujet personnel, doué de volonté, et que l’on peut prier). Il est au contraire immanent, c’est-à-dire confondu avec le monde : « Deus sive Natura » (« Dieu, ou bien la Nature »). Dieu est une substance infinie et éternelle, constituée par une infinité d’attributs. Tout « objet », y compris l’être humain, est un mode, une manière d’être de cette substance infinie. Dieu est également présenté

des idées grecques en liaison avec la croyance d’un droit naturel commun à tous les hommes et conforme à l’équité sera à l’origine de la prise en compte de l’obligation naturelle, selon laquelle le débiteur est tenu en vertu d’un droit naturel (NATURA) et non en vertu du droit civil (JURE), etc. §2. Le bon sens pratique. Mais le progrès du droit dans son contenu ne doit pas tout à la Grèce. D’autres considérations ont également joué un rôle. Ainsi, le progrès du consensualisme doit-il beaucoup

des espèces d’exception telles que la drosera carnivore, le faucon hobereau ou encore de nombreuses espèces de libellules. Les zones naturelles d’intérêt ou protégées sont nombreuses sur le territoire : 12% de la surface du Parc sont classés en zone Natura 2000 (zones protégées car comportant des espèces rares) et environ 30% sont déclarés en ZNIEFF (zones non protégées mais hébergeant des espèces à fort intérêt patrimonial). Le Parc naturel abrite également une Réserve Naturelle nationale : la Réserve

individuelles et collectives, par notre corps (« cette pensée plus vieille que moi » Merleau-Ponty) et notre mémoire ; elle nous ouvre à la richesse constamment renouvelée du présent, permanence et passage ; elle nous permet d’envisager le futur, projets, pro-tension, imagination. C’est notre présence qui rend ce miracle possible. Notre identité, notre permanence, notre « consistance », notre être qui maintient en cohérence ce qui hors de nous serait éparpillement, disparate, dissociation. Cela devrait

esclairé par faveur divine) mais d'autres opinions y en a il de si estranges, qu'elle n'aye planté et estably par loix és regions que bon luy a semblé ? Et est tres-juste cette ancienne exclamation : Non pudet physicum, idest speculatorem venatoremque naturæ, ab animis consuetudine imbutis quærere testimonium veritatis ? J'estime qu'il ne tombe en l'imagination humaine aucune fantasie si forcenee qui ne rencontre l'exemple de quelque usage public, et par consequent que nostre raison n'estaye et ne

hommes, la deuxième dans les justes seulement et la troisième seulement chez les bienheureux »104. Comme nous pouvons le constater Thomas utilise aussi « le schème l’imago creationis, recreationis, similitudinis : la première image relève de la natura mentis et appartient à tout homme [elle est imprimée par la création dans sa nature] ; la seconde implique une connaissance et un amour de Dieu actuels et habituels, elle se réalise dans les hommes justes per conformitatem gratiae [c’est-à-dire

espèce. La notion d’habitat bénéficie d’un traitement juridique particulier avec la directive du 21 mars 1992 sur la conservation des habitats naturels ainsi que de la faune et de la flore sauvage (dite « directive habitat ») et qui constitue le réseau Natura 2000. De même la convention de Ramsar du 02 février 1971 qui protège au niveau mondial les zones humides (comme La Camargue) vise ces zones en tant qu’« habitats d’une flore et d’une faune caractéristiques ». La réception des concepts écologiques

universelles. Cela pourrait être un élément unificateur de l'Empire. Hohenstaufen vont rajouter leur propres lois aux lois romaines existantes. Il y a donc exaltation du pouvoir impérial puis royal. Le pape se méfie du droit romain car il peut devenir pro-empire. C'était qqch de dangereux dont pouvait se servir son rivale. En France, il faut attendre le début du 13 pour que des légistes de l'entourage du droit soit la preuve de la référence du droit romain. Celle-ci va être défendue à Paris, à la Sorbonne

Papyrologie und Epigraphik 38, 1978, p. 193-200. 08, 16 fécondité, mortalité, rites funéraires. Réflexion sur les limites des informations apportées par les statistiques en raison de coutumes funéraires locales différentes [ 354 BOYÉ (André- Jean), « Pro Petronia Justa », in Droits de l'Antiquité et Sociologie Juridique. Mélanges H. Lévy-Bruhl, Publications de l'Institut de Droit Romain 17, Sirey, Paris, 1959, p. 29-48 (Sur le statut juridique d'une femme : sa mère avait-elle été affranchie avant