Prix Sainte-Beuve

femmes dans vos lits Aux déserts que l’histoire accable Luitpold le vieux prince régent Tuteur de deux royautés folles Sanglote-t-il en y songeant Quand vacillent les lucioles Mouches dorées de la Saint-Jean Près d’un château sans châtelaine La barque aux barcarols chantants Sur un lac blanc et sous l’haleine Des vents qui tremblent au printemps Voguait cygne mourant de sirène Un jour le roi

....................................... 235 La réponse de Zola dans « Le Figaro », 31 janvier 1868......... 242 Un échange de lettres entre Sainte-Beuve et Émile Zola, à propos de « Thérèse Raquin » ............................................. 249 La lettre de Sainte-Beuve à Émile Zola, 10 juin 1868 ............. 249 La réponse de Zola à Sainte-Beuve, 13 juillet 1868..................251 À propos de cette édition électronique ................................ 254 –3– –4– Préface

......................................... 235 La réponse de Zola dans « Le Figaro », 31 janvier 1868......... 242 Un échange de lettres entre Sainte-Beuve et Émile Zola, à propos de « Thérèse Raquin » ............................................. 249 La lettre de Sainte-Beuve à Émile Zola, 10 juin 1868 ............. 249 La réponse de Zola à Sainte-Beuve, 13 juillet 1868..................251 À propos de cette édition électronique ................................ 254 –3– –4– Préface de la deuxième

Il n’y a finalement guère que David Swartz (un américain !) qui prenne un paragraphe entier pour rappeler l’attrait de Bourdieu pour les pensées La référence française en matière de méthode distinctive entre biographie et œuvre, cf. Contre Sainte-Beuve , (1908) publié chez Gallimard, en Pléiade ou Folio. 14 L'illusion biographique, in : Actes RSS, N° 62/63 (Thème "L'illusion biographique"), pp.69-72. 15 Pierre Bourdieu et la théorie du monde social, Paris, Seuil 1998, 2002². (p.21-48) 16 Site

village et celle des environs furent plus ou moins respectées, et il fut magnifié. Ainsi, dans une page célèbre, de très petits potins sur des faits insignifiants tissèrent une sorte de réseau entrecroisé autour de l’église Saint-Hilaire, un vieil édifice « qui avait contemplé Saint Louis et semblait le voir encore » (I, page 61), et où, le dimanche matin, quand l’enfant pénétrait à l’intérieur de la massive construction, il pouvait lever les yeux sur « deux tapisseries de haute lice [qui] représentaient

l’auteur se déconstruit et le lecteur se perd et (parfois) se recompose. LA: Couturier, dans La mort de l’auteur, affirme, en analysant l’œuvre de Barthes, que ce dernier s’en prend à la théorie littéraire française de son temps qui, dans la lignée de Sainte-Beuve, a donné beaucoup d’importance à l’auteur. Il affirme aussi que le formalisme anglo-saxon a été étranger à cette discussion. Comment expliquez-vous cette différence? Pourriez-vous situer l’importance de La mort de l’auteur pour le développement

sagesse. Les grands vieillards peu nombreux puisque circonstances ne favorisaient pas longévité donc dans le taoïsme vieillesse apparaissait comme elle-même une vertu. 60 ans = moment où l’homme peut se libérer de son corps par l’extase et devenir un saint. Dans le néo-taoïsme le but suprême de l’homme= la recherche de la longue vie. Occident 1er tableau de la vieillesse écrit en 2500 av JC en Egypte par Ptah-hotep philosophe et poète « Comme est pénible la fin d’un vieillard ! Il s’affaiblit chaque

la langue mais aussi les recoins des coulisses, les pièges des bureaux administratifs et les couloirs des instances. Il s’intéressa avant l’heure à la sociologie des publics, compara les fonctionnements administratifs et culturels de Moscou et de Saint- Pétersbourg, observa les troupes, vanta les mérites de la bonne éducation, des qualités morales et de la formation des acteurs. Homme de théâtre situé, à la différence de Molière auquel on l’a souvent comparé, plutôt en amont de la représentation

à sa façon, l’ouvrage de Florence Terrasse-Riou. Éric BORDAS. Revue critique Éditions et présentations 353 BALZAC (Honoré de), « La Grenadière » et autres récits tourangeaux, édition du bicentenaire établie et présentée par Nicole Mozet, Saint-Cyr-sur-Loire, Christian Pirot éd., 1999, 191 p. Pour accorder et présenter cet ensemble de textes de Balzac dont le lieu géométrique est la Touraine de La Comédie humaine, nul n’était plus qualifié que la balzacienne (et sandienne) Nicole Mozet. Outre

un public français, et des éclats de rire qui passent devant lui. Nous avons vu plus d’un critique, important dans la presse, lui jeter en passant son petit mot pour rire - que l’auteur n’y prenne pas garde. - Il est beau d’avoir un succès à la Saint-Symphorien. Il y a deux manières de devenir célèbre: par agrégation de succès annuels, et par coup de tonnerre. Certes le dernier moyen est le plus original. Que l’auteur songe aux clameurs qui accueillirent le Dante et Virgile, et qu’il persévère