Privatisation

| | |1986-88 |La droite gagne les législatives. Chirac devient 1er |Stop |Lutte contre les déficits, réduction des impôts et des dépenses, privatisations. | | | |ministre. | | |

satisfaction d’un besoin administratif précis et ponctuel (A), d’autre part, ils sont présentés comme s’inscrivant dans une perspective plus ambitieuse qui viserait à doter notre appareil administratif d’une structure nouvelle visant à éviter la privatisation et tendant à la permanence (B). A- Une réponse à des besoins précis limités dans le temps. Les lois prévoyant la possibilité d’instituer les GIP multiplient les précisions destinées à limiter l’objet et la durée de ces derniers. Il s’agit

ressources apte à assurer le bien être de la population. Le programme d’ajustement structurel initié par les institutions de Bretton Woods en particulier la Banque Mondiale et le Fond Monétaire International au début des années 1990 a abouti à la privatisation des entreprises publiques dont la gestion de certains a contribué à creuser le déficit budgétaire des pays africains et partant à détériorer la balance des paiements. Ainsi, toutes les économies dans le monde sont assises sur les recettes fiscales

nouveaux défis : la mondialisation de l’économie et l’intégration économique européenne. Dans ce contexte, on observe une réorientation libérale de la politique structurelle qui recouvre principalement deux aspects : la déréglementation et les privatisations. A. Objectifs et champ d’action La politique structurelle désigne l’ensemble des interventions des pouvoirs publics destiné à agir sur les structures (économiques, politiques, juridiques, sociales) afin d’améliorer l’efficacité

la solution du gouvernement ? Quelle menace d’un plan d’austérité ? Quelles menaces sur l’emploi ? En quoi la présence de capitaux privés constitue-t-il un problème pour le fonctionnement même des grands services publics de réseau ? En quoi la privatisation, même partielle, des grands opérateurs de réseau est-elle contraire aux missions de service public qui leur sont confiées ? Revendiquer le retour à une propriété à 100 % de l’Etat suffirait-il à redonner à France Télécom une orientation de service

d’aspects différents, les privatisations ne se limitent pas à un manque de revenu : santé précaire et mauvaise alimentation, manque d’instruction, moyens d’existence inadéquats, logements vétustes, exclusion sociale et participation limitée. L’IPM exprime le nombre de personnes qui subissent des privatisations concomitantes et le nombre de privatisations subies. Il est donc le produit du nombre de personnes touchées par la pauvreté multidimensionnelle et du nombre moyen de privatisations subies par chaque

désinflation compétitive Exemple « désintoxication des salaires, seule me SMG augmente B - Au niveau structurel : Désengagement de l’Etat : substitution de la régulation par l’Etat à une régulation p ar le marché 1986 : privatisation en France 1979 : privatisation de la GB Déréglementation suppression des grands monopoles, assouplissement du marché du travail 1986 : libéralisation des prix Inefficacité des politiques conjoncturelles classiques face à la stagnation changement d’objectif

œuvre d’une politique d’emplois décents permettant le respect des droits fondamentaux des travailleurs, une amélioration des conditions de travail et de rémunération ; ❑ Établissement d’organes de contrôle tripartite en matière de privatisation et de post-privatisation ; ❑ Développement de politiques nationales participatives afin de lutter contre la pauvreté et de l’éradiquer dans le pays. ❑ Appliquer des méthodes fiables pour mesurer la ligne de pauvreté et contrôler le phénomène de

pleins d’autres pays africains) ont été accordé avec comme moyen de chantage, la privatisation de l’eau. Mais également, les entreprises fournisseuses d’eau ne sont pas tenues de recevoir des subventions de l’état et elles doivent assumer pleinement leurs frais et cela évidemment au détriment des consommateurs qui devront payer leur eau plus chère. Par conséquent, ceux qui bénéficient de cette privatisation ne sont en aucun cas les consommateurs urbains, pas les paysans non plus ni l’état

International de France, contrats à terme ferme) et MONEP (Marché des Opération Négociables de Paris, contrats à terme optionnels), fusionnés ultérieurement dans le cadre d’Euronext. En 1987 c’est le début de la privatisation des grandes banques détenues par l’Etat avec la privatisation en quelques mois de Paribas, du CCF et de la Société générale (la BNP suivra en 1993) ; puis en 1996 il y a la création du « nouveau marché » des valeurs technologiques, regroupé en 2005 avec le second marché et le