Prisonnier politique

montrer comment le texte suggère de la monotonie de la vie du prisonnier L'œuvre soumise à notre étude est un extrait du roman d'Albert Camus : « L'étranger », écrit en 1942. Elle fait donc partie du mouvement de l'absurde et de l'existentialisme. On parle ici du narrateur, Meursault, entrainé dans une histoire de vengeance qui la poussé a commettre un meurtre, il fut donc emprisonné. Cet extrait nous raconte son séjour plutôt monotone en prison et sa façon à lui de « tuer le temps ». Mais alors

La liberté est absence de contrainte Par définition, un prisonnier n'est pas libre dans la mesure où il n'a pas la possibilité d'agir à sa guise. Son emprisonnement est une contrainte qui s'exerce sur sa liberté, notamment de mouvement. Être libre, ce serait donc pouvoir agir sans contrainte. Or, pour agir il faut vouloir. Être libre, ce serait donc faire ce que l'on veut. Problème : si tout le monde fait ce qu'il veut, alors comme tout le monde ne veut pas la même chose, les désirs de chacun

tragique d’un condamné à mort. L’extrait étudié est l’incipit de cette œuvre écrite sous forme de journal intime où le narrateur captif dans un cachot attend son exécution. Le condamné nous livre ses premières impressions concernant sa condition de prisonnier et de condamné à mort. Quel message Victor Hugo veut-il nous faire passer au travers de ce journal intime ? Plan : 1) Les sentiments du narrateur 2) Une narration au service de la persuasion DEVELOPPEMENT : I / Les sentiments du narrateur

», pourtant, les chutes et les ruptures qu’elle représente pour l’acteur sont singulières. La chute est caractérisée par une rupture dans une vie normale (logement, travail, famille) qui s’avère être une fracture identitaire et sociale pour le prisonnier. L’incarcération est donc souvent très mal vécue, qualifiée d’ « enfer » par les acteurs eux-mêmes. Cette « incarcération catastrophe » crée chez l’individu une distinction nette entre un avant idéalisé et un après marqué par l’abandon, le stigmate

Marianne est la quasi irresponsable. Elle attend son processus, espère que son vorarrest vient. Son Peter vient de devenir deux mois. Il est né à la maternité de l'Bruges Sint-Jans, les refuges fixes AZ Sint-Jan de Bruges, Bruges refuge fixe pour les prisonniers qui ont besoin de soins médicaux. Immédiatement après la naissance de la mère et de l'enfant est retourné en prison. Marianne: Chaque jour, nous devons nous réveiller tôt pour notre enfant à se laver, s'habiller et la bouteille. Nous obtenons, en

et conserver indemne ledit Guglielmo, au nom de ladite société, de tout dommage et charge, qui pourrait lui advenir au nom de ladite société, du fait de la jument qu’il tua à Ugone Alevato dans la chevauchée faite à Pollexno, quand furent faits prisonniers ceux de Pollexno, au nombre de vingt et un, jument que ledit Gugliemo avec sa société devait racheter en partie, à ce qu’on disait, puisque ceux qui furent à ladite chevauchée le furent à leur avantage et dommage. Ce que fera ledit Oberto di Lavezola

indigne. Le récit de Robert Antelme nous confronte à cette interrogation sur la dignité, nous retrouvons posée cette limite entre l’homme et l’animal représentée par la dualité horrible que constituent les SS “dominateurs” d’une part, et les prisonniers “soumis” d’autre part. Le projet d’Antelme est de s’interroger sur les limites du sadisme et du désir malade de soumission et de maltraitance de l’Homme sur ses semblables. Pour répondre à notre problématique et montrer comment le concept de

français avec les pénitenciers américains? Dans une première partie,nous verrons se qui permet d’associer les prisons françaises au prisons américaines par leur similitudes. Puis dans une seconde partie, nous allons analyser le mode de vie des prisonniers en mettant en évidence les différences entre deux prisons. I- Les points communs qui associent les pénitenciers français aux pénitenciers américains 1-Des prisons surpeuplées La surpopulation carcérale décrit l’inadéquation matérielle

guerriers. Les cannibales sont en effet des guerriers. C’est pour cela que l’auteur utilise des mots choquant mais qui sont le langage de la guerre : “combats“ (l. 4) ; “meurtre“ (l. 5) ; “effusion sang“ (l. 5) ; “trophée tête de l’ennemi“ (l. 6) ; “prisonniers“ (l. 7). Par cette liste on observe que dans l’espace de quelque ligne Montaigne utilise de nombreux mot qui choquent, ces derniers sont atténués comme montrer dans le paragraphe précédant. Il ne les atténue pas pour ce mettre du coté des cannibales

de la fatalité ressort. En effet, l’auteur semble triste, abattu mais il semble avoir une sorte d’acceptation : « C’est un oiseau tenu captif, La mort dans ma cage d’os. » (C.v.13-14). Le fait que l’auteur dise qu’il a un oiseau tenu captif, donc prisonnier, comme s’il ne pouvait sans départir mais qu’il l’accepte. L’auteur ne donne pas l’impression qu’il veut se battre pour survivre ou échapper à la fatalité. Par contre, l’auteur donne l’impression d’avoir longtemps vécu avec cette fatalité et de