Prisonnier d'opinion

était « Huron ». Mademoiselle de Kerkabon, réjouie d'un homme si agréable malgré sa nationalité, l'invita à dîner. Le jeune Huron passa ce repas entouré de convives, qui étaient tous très intrigués. Il se présenta alors comme un orphelin, ancien prisonnier anglais qui apprit la langue française dans son pays. Il se nommait « l'Ingénu », par son caractère naïf. Les invités vérifièrent ensuite sa nationalité en lui demandant la traduction de certains mots. Par la suite, « L'Ingénu » raconta son

conséquent, la famille déménage dans un petit village isolé appelé Auschwitz. Malheureusement, l’enfant n’aime pas la nouvelle maison car elle est trop petite. Le lendemain, depuis sa fenêtre, l’enfant voit des personnes tous habillées en pyjama qui sont prisonnier dans un camp de concentration. Quelques jours plus tard, Bruno s’aventure dans une forêt près de sa maison et découvre une clôture.Quelques minutes plus tard, le jeune homme rencontre un autre petit garçon assis de l’autre côté de la barrière. Ensemble

de la prison, se pose beaucoup de questions sur la peine de mort. Est marié à Jane. Il reçoit une petite partie des pouvoirs de Caffey, ce qui lui a permis de vivre plus longtemps. Percy Wetmore : Il est agressif et dangereux. Il considère les prisonniers comme de la vermine. Il déteste Delacroix et sa souris. Il a des contacts hauts placés ce qui lui permait de garder son poste. Il travaille au bloc E depuis 4 mois et est détesté de tout le monde sauf de lui. Edouard Delacroix : propriétaire de

financier en prenant tous leurs biens de valeurs. Pendant l’année 42 près de 200 mille juifs sont envoyés à Auschwitz, il vienne de toute l’Europe et ils sont gazés dès leur arriver. À Auschwitz il n’y a pas que des Juifs on y trouve aussi des prisonniers politiques Polonais où il souffrait de la faim de la maladie et des mauvais traitements. Le 19 aout 1942 Heinrich Himmler décide que tous les Juifs polonais en Pologne seront tuer avant la fin de l’année. Il y avait aussi d’autres camps qui fonctionnaient

battante. Il tremblait de peur, devant la violence des coups de tonnerre et les flash des éclairs. Quand l'un d'entre eux frappa le tronc de l'arbre mort, l'embrasant d'un coup, Fils Suivant Suivant poussa un hululement de terreur. Il était maintenant prisonnier de cette geôle de terre et de cailloux, Feu risquait de lui tomber dessus et les vapeurs délétères l’empêchaient de respirer. Il se mit à chercher une issue frénétiquement, creusant la terre dure et desséchée de ses mains nues. Mais rien n'y faisait

a) Montrez comment le texte suggère la monotonie de la vie du prisonnier. b) Comment le texte fait-il sentir que le prisonnier tente de s'adapter à sa situation ? L'œuvre soumise à notre étude est un extrait du roman d'Albert Camus : « L'étranger », écrit en 1942. Elle fait donc partie du mouvement de l'absurde et de l'existentialisme. On parle ici du narrateur, Meursault, entrainé dans une histoire de vengeance qui la poussé a commettre un meurtre, il fut donc emprisonné. Cet extrait nous raconte

l'Homme et du Citoyen et dans un soucis de faire respecter aux mieux les libertés fondamentales, la Cour Européenne des Droits de l'Homme élabore un véritable "droit commun européen de la détention", rapellant que les détenus malgré leur statut de prisonnier restent des citoyens, des justiciables qui bénéficient de droits comme tout hommes.C'est ainsi que le Conseil d'Etat par une série de décisions récentes, montre sa volonté d'accroître le contrôle du juge administratif sur l'administration pénitentiaire

de prisonnier avec joie. Angora fut réélu. C’était d’autant plus agréable que chaque jour les médias s’intéressaient au «prisonnier du jour», comme ils disaient. Le prisonnier avait droit à sa photo dans le journal, à une br`ve biographie dans laquelle on mentionnait ses passe-temps et ses petites manies. Les journalistes de la télévision, quant à eux, faisaient un reportage sur sa famille, ses amis, n’hésitant pas à filmer la maison, la chambre et les objets personnels du prisonnier.

difficiles et barbares. Beaucoup de prisonniers se suicidaient en se pendant dans les baraques, plutôt que d’affronter une autre journée de « terreur ». Quand ils rentrèrent du travail, les prisonniers étaient obligés de courir dans le camp. Les juifs montrant des signes de fatigues ou d’épuisement étaient sélectionnés et placés dans des barbelés où ils étaient mis à mort. Chaque matin avait lieu un appel au cours duquel les SS « inspectaient » chaque prisonnier : celui qui était « inapte » était

Résumé du chapitre I :Le roman s’ouvre par une réflexion sous forme d’un monologue interne : Interprété dans sa cellule de Bicêtre, le narrateur se rappelle son passé de liberté cependant il se trouve prisonnier de l’idée de sa condamnation à mort. Cette pensée l’obsède et infecte sa vie. Elle est présentée comme une femme à deux bras qui le secoue, hante ses rêves et le poursuit partout. Résumé du chapitre II :Récit de la proclamation de la condamnation à mort : Le narrateur relate les événements