Prisonnier d'opinion

mettre des mots sur les souffrances et les conditions de vie déplorables qu’ont du subir des millions d’hommes, de femmes et d’enfants. Premièrement l’hygiène, ou plus globalement la santé. Les baraquements et les couchettes où dormaient les prisonniers étaient en bois, pas de matelas et encore moins d’oreiller, le dortoir en lui-même était un lieu insalubre, remplit de déchets de toute sorte (même humain) ce qui provoquait des odeurs insupportables ; il y faisait une chaleur étouffante en été

«innombrables» (l.2) et omniprésente dans la vie quotidienne des prisonniers. «Les rites à accomplir sont infinis et insensé» (l.9), les taches sont «réglementaires » (l.16). Le travail demande de la rigueur et de la perfection. Il y a une chronologie dans les obligations, avec «les matins» (l.9), «le soir», «le samedi» et «le dimanche» (l.14 à 18). Ce sont donc des situations répétitives. Les règles sont absurdes car les prisonniers doivent entretenir leurs effets personnels mais on ne leur donne

de Clairvaux, après avoir commis un vol pour nourrir sa propre famille. Prisonnier, il est aimé des autres, mais détesté du personnel carcéral dont il n'hésite pas à lui tenir tête. Un nouveau prisonnier, Albin, fait son apparition à Clairvaux. Albin devient l'ami de Claude en partageant sa nourriture dont ce dernier manque cruellement pour survivre à sa peine. Claude est devenu tellement populaire au sein des prisonniers que M.D., directeur des ateliers, décide soudainement de le séparer d'Albin

adopte une attitude de pardon et de miséricorde envers les soldats - il estimait indigne de lui d’exercer sur eux des représailles et par la suite de profiter de la situation pour mettre feu à la lignée de Picrochole b) Son attitude à l’égard des prisonniers - il les libère sans conditions - il leur assure leur sécurité de manière à ce qu’il ne soit pas attaqué par des paysans. - cette générosité s’appuie sur un solide bon sens, une paix durable ne peut s’instaurer que par les trois mois de salaire

faire la même chose, décide de faire don du sien à deux prisonniers chinois pour leur permettre d'éviter le bûcher. Pour étudier cet extrait, nous traiterons de la fraternité entre des hommes déshumanisés avant d'aborder l'influence que ces derniers ont sur le héros pour finir par étudier les implications de la décision de Katow. On observe que l'action évolue dans un monde très sombre tant au niveau psychologique, car les prisonniers sont condamnés au bûcher, qu'au niveau descriptif, il y

désormais seul dans la prison de Clairvaux, venait de rencontrer un jeune homme, Albin. Ce prisonnier lui proposa de partager sa ration de nourriture. Claude accepta, et une amitié se lia entre les deux hommes. Alors que tout allait bien pour Claude, un homme impitoyable, surnommé M.D, le directeur de la prison, sépara ces deux hommes. Ce fut un terrible choque pour ces deux prisonniers devenu de grands amis... Claude, demanda plusieurs fois au directeur de lui rendre son ami

caverne 2. Donnez aux sections du récit un titre descriptif qui illustre ce qui s’y passe. - Section 1 : Décor de la caverne et de ce qui s’y trouve. - Section 2 : Les prisonniers croient que tout ce qui est autour d’eux n’est qu’ombre. - Section 3 : La libération du prisonnier - Section 4 : La découverte de la lumière par le prisonnier -Section 5 : La réflexion du captif sur ce qu’il connaissait des ténèbres et les découvertes qu’il fait. - Section 6 : Comparaison de la connaissance avec la lumière

directeur des ateliers. Malgré tout, c’est un bon travailleur et il est honnête. Rapidement, il gagne une certaine admiration et en supériorité par rapport aux autres prisonniers qui le respectent. De leur côté, les geôliers ne l’aiment et ne lui font pas confiance. Claude Gueux a toujours faim. Un jour, Albin, un autre prisonnier plus jeune que lui, lui offre de partager sa ration de nourriture. Il accepte et une amitié fidèle se développe entre eux. Puis, Albin est convoqué chez le directeur et

jamais porté de déguisement dans le film. L'apparence de la policière Pleau est plus grande que dans le livre. Anthony Lemaire a les cheveux courts dans le film alors que dans le livre, ses cheveux sont longs jusqu'à la nuque. Lemaire, qui est prisonnier, est ligoté avec une sangle, les deux poignets liés et attachés sur un point d'ancrage sur le plancher (livre: ses poignets sont enchaînés séparément et il est suspendu au plafond). Dans le film, Bruno Hamel fracasse un seul genou à Lemaire avec

faute) ; mais un simple larcin (vol) doit-il être puni comme un crime ? Quelle peut-être ensuite l’image de la justice humaine pour cet homme abusivement puni ? Ce coupable devant vous est avant tout une victime d’une justice inhumaine . Ensuite, ce prisonnier au comportement exemplaire a commis un autre délit aux yeux du directeur : il s’est lié d’amitié avec un autre détenu : Albin. Cela a déplu au directeur de la prison. Claude Gueux a demandé à plusieurs reprises à travailler auprès de son ami. Il