Prison Montluc

importante. Surpris, l’état avait invalidé les élections et jeté en prison bon nombres des membres de ce parti, elle fut victime de cette injustice ; cette pauvre femme, fille du général Aung San (grand leader de la lutte pour la démocratie), a lutté pour sa liberté depuis 1988 et elle fut libérée en 2010 grâce aux pressions internationales et aux militants d’Amnesty. Il faut se rendre compte que cette femme est restée 22 ans en prison avec pour unique crime celui de revendiquer un parti politique démocratique

tuer quelqu'un, même un pédophile. Il y a des peines de prisons pour ça, il existe aussi des traitements avec des "castrations biologiques". Autoriser la peine de mort serait un premier acte meurtrier : vous autorisez, et cautionnez la mort d'un individu voire d'un groupe d'individu, vous êtes donc coupable d'un crime. Est-ce que le pédophile choisit d'être pédophile ? Choisis t'il consciemment d'être attiré par les enfants ? La peine de prison qu'ils vont recevoir pour cet acte infâme est peut être

siècle , un enfant coupable d'un crime était châtier et non éduquer . L'éducation de celui -ci n'était pas au rendez vous , la punition était la seul solution . C'est pour cette raison qu'a cette époque , L ’État, accroît le nombre de création de prison pour mineurs dite maison de redressement . C'est à la fin du XIXe et début du XX e siècle qu'on peut apercevoir comme un changement dans la lutte contre chez les jeune délinquants qui mettra en avant non pas la punition mais l'éducation , en effet

elles savent que si elles commettent un crime, elles mourront. Donc, elle ne commettent pas de crime afin de rester elles-même en vie * C'est moins barbare que la prison à perpétuité. Car passer sa vie derrière les barreaux est un châtiment beaucoup plus horrible que d'être exécuté; on souffre toute sa vie, enfermé en prison * La peine de mort n'est pas arbitraire. Elle est prononcée au nom du peuple et par le peuple. Les arguments contre la peine de mort ; * La peine de mort

surveillance. L’exécution des peines : L’administration pénitentiaire prend en charge les personnes placées sous main de justice. Les mesures prononcées à leur égard interviennent avant ou après jugement et sont exécutées soit en milieu fermé, dans les prisons, soit en milieu ouvert, avec ou sans enfermement préalable. En milieu ouvert, dans le cadre de mesures non privatives de liberté tels le contrôle judiciaire, le sursis avec mise à l’épreuve ou le travail d’intérêt général, les personnes sont suivies

d’emprisonnement en matière de diffamation et d’injures sont supprimées. Seules subsistent des peines non privatives de liberté, telles l’amende ou la publication du jugement. HISTOIRE DES PRISONS ________________________________________ 1788 - 1944 : Naissance de la conception moderne de la prison. La Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen érige la liberté au rang des droits inaliénables de l'Homme : la privation de liberté est reconnue comme peine à part entière. 1788 Abolition

Interventions socio-judiciaires et pénitentiaires L'hôpital dans la prison 1/11 SOMMAIRE Introduction ………………………………………………………………………………………. p.3 I – Le SMPR …………...…………………………………………………………………………. p.4 1) Le rôle et les missions 2) Le personnel 3) L’obtention d’une consultation 4) Le placement en SMPR II – Les limites …....………………………………………………………………………………. p.7 Conclusion …..……………………………………………………………………………………. p.8 Bibliographie …..…………………………………………………………………………………. p.9 Annexe …..………………………………………………………………………………

jusque 30 ans de prison. Si, au contraire seul les faits de violence sont retenus, il risque une peine de prison plus faible car ayant déjà effectuer 2 ans de prison depuis les faits en Mars 2009. 2) Procédure Les procès en cours d’assises se déroulent de la manière suivantes : Tous d’abord, seul les affaires relatant des crimes (assassinat, meurtre, viol…) sont traités, et ces derniers sont passibles de peines de détention criminelle ou de réclusion au minimum de 10 ans de prison allant jusque

Il n’aime pas la foule et il ne l’aimera jamais et lui-même n’a jamais aimé voir tuer un condamné à mort. Il aime sa fille Marie et il est très préoccupé pour son avenir. 2)  Les représentants de la société : juges, magistrats, directeur de la prison représentent la société. Pour eux, une exécution est une chose banale qui doit se dérouler dans les formes. 3)  Le prêtre : Il est détaché dans ses rencontres avec le condamné. Selon le protagoniste, ce prêtre ne parle par avec son Cœur, mais

Côte d'Ivoire : Les droits de l’enfant ivoirien restent à la porte des prisons Beaucoup d'enfants ont atterri dans le centre de sauvetage du Bice après un détour par le Centre d'observation des mineurs d'Abidjan, qui fait office de foyer éducatif fermé. Au bout de six mois, le juge ordonne généralement la relaxe des adolescents pris en charge par le Bice, ce qui évite un procès. Quand le visiteur franchit la grille de la Maca, la maison d'arrêt et de correction d'Abidjan, il plonge dans un univers