Prison du Cherche-Midi

manoeuvres. Si donc vous voulez y prendre ce qui vous intéresse et le tenir à ma disposition après, je le prendrai. A moins que vous ne vouliez que je le fasse copier in extenso et ne vous en adresse la copie. Je vais partir en manoeuvres." • On cherche un coupable et les soupçons tombent, sans enquête ni preuve, sur un officier juif alsacien, parce qu’il est Juif et Alsacien: Alfred Dreyfus officier stagiaire à l'Etat-Major Le 13 octobre 1894, Alfred Dreyfus est convoqué au Ministère sans qu’on

lui demande d'écrire une lettre qu'il lui cita afin de voir les ressemblance de son écriture avec celle qui a été livrer au allemand, des documents secret aux allemands et l'arrête car il pense avoir trouve le coupable. Il est envoye a la prison du cherche midi . general mercier : Premier accusateur public du capitaine Dreyfus, dès le 28 novembre 1894 ( et coordonnateur des antidreyfusards au procès de Rennes ) La presse en parle L' Eclair, informé confirme l'arrestation d'un officier, , La

Description de la situation et de l’environnement d’Alexandre Dumas : ▪ Mai 1835 ▪ Réside dans une bastide à Toulon, près du fort Lamalgue, près de la mer ▪ Y est venu pour travailler mais la beauté du Midi le mène à la contemplation plutôt qu’à l’écriture du drame Capitaine Paul. A. D. vit dans ses rêves ‼ Description d’une tempête - A.D. décide finalement de s’adonner à la contemplation, tant pis pour son œuvre. ▪ Son ami Jadin

capitaine de l'armée française, Alfred Dreyfus, polytechnicien, juif d'origine alsacienne, est immédiatement soupçonné d'avoir livré aux Allemands des documents secrets, à cause d’une ressemblance d’écriture. En octobre 1894, il est incarcéré à la prison du Cherche-Midi à Paris, alors qu’il proclame son innocence. Durant son procès, plusieurs preuve de son innocence apparaissent, mais celles-ci ne sont pas suffisantes pour contredire les fausses preuves prouvant la culpabilité de l’accusé. Alfred est condamné

Breton rend compte des événements quotidiens survenus durant 9 jours entre lui et une jeune femme inconnue rencontrée le 4 octobre 1926 à Paris. La rencontre de Breton et Nadja qui commence le 4 octobre 1926 et s'achève le 13. Par une fin d'après-midi « tout à fait désœuvré et très morne », André Breton aperçoit une jeune femme très pauvrement vêtue, allant en sens inverse, la tête haute contrairement à tous les passants, curieusement fardée, avec un sourire imperceptible, et des yeux tels qu'il

actuellement la première chaîne européenne en terme d'audiences, devant la B.B.C. et Canal +. Le Monde est un journal quotidien français « tourné vers l'étranger » fondé par Hubert Beuve-Méry en 1944. C'est un journal « du soir » qui paraît l'après-midi et qui est daté du lendemain. Le quotidien s'articule depuis 2005 en trois parties, et fait une large place à l'image (photo, dessin, infographies). Il est le quotidien français le plus diffusé à l'étranger avec une diffusion journalière hors France

rentrent dans le magasin en riant. Une des femmes est mal coiffée et l’autres porte un long manteau élégant. ROGER (en s’adressant au groupe): -Ah, ça fait plaisir ! Qu’est ce qui vous amène ? UN HOMME DU GROUPE (enthousiaste) : -On vient chercher de quoi boire, on le fête ou pas ce réveillon ! L’homme du groupe s’éloigne dans le magasin. Le reste du groupe reste et regarde dans les rayons. ROGER : -Alors, comment se débrouille le charmant Tom Braga avec les filles hen ! Aucune nana pour

juillet 1789, les émeutiers parisiens partent chercher des armes. Dans une atmosphère révolutionnaire, ils pillent l'arsenal de l’Hôtel des Invalides où ils trouvent des armes et des canons mais pas de poudre. Ils arrivent ensuite aux portes de la prison royale de la Bastille pour chercher de la poudre et y retrouvent d'autres émeutiers massés devant la forteresse du Faubourg Saint-Antoine depuis le matin. En juillet 1789, il n'y avait dans la prison que sept prisonniers dont quatre faussaires, ainsi

.............................. p.9 I) Introduction: Historique et contextualisation Avant la Révolution Française, la prison était un simple outils de rétention en attente d'un jugement ( peine, supplice, exécution ou bannissement ). A cette époque, en 1810, le Code Pénal privilégie le principe de prison châtiment. Après la Révolution Française, en 1889, la prison s'est imposée comme une véritable peine en soi. Dans son ouvrage Surveiller et punir, Michel Foucault explique que l'utilisation

des garnitures pour sa robe qu'elle allait emmener à sa couturière. C'est rue des Deux-Ponts que la jeune femme disparut mystérieusement pour réapparaître quelques heurs plus tard dans les locaux de la police politique. La police politique a alors cherché à prouver qu'elle voulait assassiner Robespierre. Plus tard, suite à des procès-verbaux d'intérogatoire signés d'une croix, Cécile Renault aurait avoué s'être rendue chez Robespierre dans la rue Saint-Honoré. Cecile Renault ne s'expliqua ni sur ses