Principauté de Transylvanie

Plusieurs peuples qui aspiraient à l’unité et à l’autonomie restèrent assujettis à plusieurs petits souverains locaux ou furent annexés aux Empires. Ce fut le cas des Allemands, que le congrès de Vienne maintint divisés en une multitude de duchés, de principautés et de royaumes ; de l’Italie, également morcelée et dont certaines portions restaient gouvernées par des puissances étrangères ; des Belges flamands et francophones, que le congrès plaça sous le contrôle néerlandais. Au cours du XIXe siècle, certaines

Attitude paternaliste envers les peuples. Principe dynastique contre principe des nationalités. L’autorité du souverain assure la cohésion du royaume ou de l’empire. Les Etats sont surtout multinationaux. Existence d’Etats infranationaux organisés en principautés, évêché etc. qui réclament unification avc un Etat nation. Qu’est ce qu’une Nation au XIXè ? Plusieurs éléments selon le Larousse : Mœurs & religion communes Langue Territoire Origine & intérêts communs (élément le plus polémique) Nation

directement liée à l’œuvre réformatrice de l’Etat. 1772 = La Prusse a doublé de surface et triplé de population. 1772 = abolition du servage en Pologne. Autre pays = est laissé ou renforcé. L’état prussien apparait comme une greffe de sa société. Principauté de Dessau = on essaye de faire une ville idéale, école obligatoire, Lumières partout. 2) Les Etats autrichiens Monarchie autrichienne, conglomérats d’états et de territoires reliés à un souverain (l’empereur du Saint Empire Romain Germanique),

maison de Bohême, avait fini par acheter pour lui-même ceux de la duchesse de Saxe et avait chargé le bailli de Vermandois d’y exercer le pouvoir en son nom (1458). Déjà aussi Philippe le Bon p042 avait cherché à s’immiscer dans les affaires de la principauté épiscopale de Liège en faisant nommer à l’évêché, en 1456, son neveu Louis de Bourbon, un jeune homme de dix-sept ans. Il s’était heurté, là encore, à la politique du roi de France : Charles VII d’abord, puis Louis XI avaient encouragé les Liégeois

plus de difficulté : c’est le royaume de France. Cela va être la grande confrontation de la renaissance. Le saint empire romain germanique va rester une structure assez lâche, féodal qui comporte en son sein bcp de sous structures telles que des principautés, des petits royaumes, de selleries, …c’est une auberge espagnole mais qui a la légitimité d’avoir un empereur chrétien : le pape. Le royaume de France est un contre modèle très intéressant, toutes les petites monarchies qui ne sont pas dans le

s’établirent près de la mer Noire là où se trouve aujourd’hui l’Ukraine. Les Thervingues ou « Goths de l’Ouest » se dirigèrent d’abord vers la péninsule des Balkans pour s'établir dans un territoire au nord du Danube connu de nos jours comme la Transylvanie. Les Thervingues vinrent ainsi en contact direct avec Rome ce qui entraîna des conflits militaires qui ne furent cependant pas décisifs. En 332, les Goths vivant près du Danube obtinrent le statut de foederati ce qui les obligeait par traité à

ècle.












































 Un
grand
bouleversement
se
produit
avec
l’invasion
par
les
Mongols,
sous
la
direction
 de
Gengis
Khan
(1206),
qui
unifia
toutes
ses
tribus,
et
le
territoire
turc
éclate
en
une
 vingtaine
de
principautés
sous
tutelle
mongole.
Mais
les
mongols
se
turquifièrent
à
 partir
du
14°
siècle.















































































 Osman
(né
en
1258)
va
être
le
fondateur
d’une
dynastie
qui
durera
jusqu’au
20°
siècle

l’Afrique du Nord sous Soliman (le Magnifique, 1520-1566), lorsque les Ottomans envahissent une bonne partie du Maghreb – Maroc et Tunisie[19] exceptés – au détriment des Ibériques, puis le sud du domaine des Habsbourg (sud de la Croatie, Hongrie, Transylvanie). Le coup d’arrêt de l’expansion européenne est donné en 1529, quand les Ottomans échouent devant Vienne. Malgré tout, l’Empire Ottoman apparaît pendant tout le XVIe siècle comme la puissance militaire majeure d’Europe : terrestre, d’une part,

Europe orientale : cas de la Hongrie Petit historique : Le royaume de Hongrie a été fondé en l’an 1000 par le peuple magyar originaire de la Russie occidentale. Les plaines de Pannonie (correspondant aux terres hongroises) furent d’abord une principauté dès 896 dont le premier prince fut le Grand-Prince Arpàd, fondateur de la Hongrie. En 1001, Istvan Ier est proclamé roi de Hongrie. Apres lui s’ensuivit une dynastie de différentes familles royales à la tête du royaume (Habsbourg, Jagellon, Anjou

inconditionnelle en échange d'une protection. À Caciques désignent ceux qui exerçaient leur domination sur ces grands domaines. La loi de l'Etat a du mal à s'imposer dans cette partie du monde. Pouvoir également morcelé, entre ces différentes principautés. Au lendemain de l'indépendance: vide du pouvoir politique, lacune au sein de ces pays, nécessité de remembrer ces pouvoirs. Aucune monarchie ne pouvait instaurer son pouvoir. Pour décrire cette situation, on utilise le terme de codillisme (analogie