Principauté de Moldavie

diplomatiques pour l’empereur qui voit les Empires russe et autrichien devoir accepter ses conditions. 30 mars 1856 Traité de Paris. La guerre de Crimée est finie. Le tsar Alexandre II, par ce traité, accorde leur autonomie aux principautés danubiennes, Moldavie, Valachie et Serbie. De plus, il garantit l’intégrité de l’Empire ottoman. 14 janvier 1858 Attentat d’Orsini contre Napoléon III. Le révolutionnaire italien Orsini et ses complices font exploser une bombe au passage de la voiture

deux principautés ottomanes de Moldavie et de Valachie. Le Piémont-Sardaigne, allié des vainqueurs, profite de l'occasion pour dénoncer l'occupation de l'Italie à l'Autriche des Habsbourg et de prendre ainsi date auprès de l'Empereur des Français. La signature de ce traité marque également l'apogée de la bonne entente de Napoléon III avec la Grande-Bretagne de la reine Victoria. Par la suite, appuyées par Napoléon III et en dépit de l'opposition de l'Autriche, les deux principautés de Moldavie et

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s'ensuit une période de confusion qui dure jusqu'en 1472. Le Maroc se trouve coupé en deux avec à Marrakech la dynastie arabe émergente des Saadiens, et à Fès le sultanat wattasside déclinant. Plus au nord, à Tétouan et à Chaouen, apparaît une principauté à dominante andalouse peuplée par les réfugiés du royaume de Grenade (conquis par les Espagnols catholiques en 1492) et dirigée par une femme nommée Sayyida al-Hurra42. Sayyida al-Hurra (ou Sitt al-Hurra) mène une lutte implacable contre les Portugais

des Hongrois accentue la désagrégation de l'autorité royale. Les souverains impuissants à défendre leurs sujets doivent se résigner à voir passer le pouvoir de commandement de leurs mains à celles de puissants seigneurs qui se sont constitués des principautés, vastes territoires quasi indépendants. Pour stopper la menace viking, le roi Charles le Simple est obligé de céder la Normandie au chef Rollon par le traité de Saint-Clair-sur-Epte en 911. Le titre de roi redevient électif et les Carolingiens

au Saint Empire romain germanique. Or, cet empire s’affaiblit et se divise, jusqu’aux Traités de Westphalie, en 1648, qui marque la fin de la guerre de Trente ans, mais confirme la dissolution du saint empire en près de 300 micro-Etats (ou micro-principautés). Les Traités de Westphalie consacrent aussi le principe de la souveraineté étatique sur la scène international et le principe de non ingérence dans les affaires internes des Etats. Ce traité empêche donc la formation d’un Etat allemand unifié

des Hongrois accentue la désagrégation de l'autorité royale. Les souverains impuissants à défendre leurs sujets doivent se résigner à voir passer le pouvoir de commandement de leurs mains à celles de puissants seigneurs qui se sont constitués des principautés, vastes territoires quasi indépendants. Pour stopper la menace viking, le roi Charles le Simple est obligé de céder la Normandie au chef Rollon par le traité de Saint-Clair-sur-Epte en 911. Le titre de roi redevient électif et les Carolingiens

287 habitants. 18. TS : Moldavie et Valaquie unies à Compiègne TC : Moldova şi Valahia unite la Compiègne Ce titre ne fait pas référence à une vraie unification dans nos jours, mais à une exposition historique consacrée à Napoléon et de l’unification de principautés roumaines. Nous avons un titre informatif, court et concis. Il renvoie le lecteur dans le passé en évoquant la couleur locale de l’époque. « Moldavie et Valaquie unies à Compiègne » est aussi

à partir de l’idée de respect de la souveraineté de l’Etat.     Auparavant, les deux puissances dominantes étaient l’Eglise ainsi que le Saint Empire romain germanique dirigé par les Habsbourg.  Cet empire est caractérisé par une multitude de principautés : il est puissant mais la souveraineté y est fragmentée. Ses institutions étatiques sont faibles : ce n’est donc pas un Etat centralisé moderne.  Les rapports internationaux reposent sur une chaine hiérarchique de droits et de privilèges en faveur

maison de Bohême, avait fini par acheter pour lui-même ceux de la duchesse de Saxe et avait chargé le bailli de Vermandois d’y exercer le pouvoir en son nom (1458). Déjà aussi Philippe le Bon p042 avait cherché à s’immiscer dans les affaires de la principauté épiscopale de Liège en faisant nommer à l’évêché, en 1456, son neveu Louis de Bourbon, un jeune homme de dix-sept ans. Il s’était heurté, là encore, à la politique du roi de France : Charles VII d’abord, puis Louis XI avaient encouragé les Liégeois