Prétoire

justice. Douze jours plus tard, le texte est voté dans les mêmes termes par le Sénat, par 160 voix contre 126. C'est l'aboutissement du long combat mené depuis deux siècles par la cohorte de ceux qui, dans les enceintes parlementaires, dans les prétoires ou dans leurs écrits, ont défendu la cause de l'abolition devant une opinion réticente, voire résolument hostile. En effet, bien avant les années 1900 le premier grand débat parlementaire sur la peine de mort a lieu lors de la discussion du projet

seulement à partir des citations et des utilisations probables) valut à Suétone une certaine notoriété. À la mort de Pline, son ami et son protecteur, il devint le protégé de C. Septicius Clarus, qui fut choisi par Adrien, vers 119, comme préfet du prétoire. C'est Clarus qui fit appeler Suétone à la cour impériale. Adrien, lui-même lettré, aimait, semble-t-il, la compagnie de Suétone, et lui ouvrit les archives impériales, où se trouvaient des documents d'une valeur inestimable datant des premiers règnes

question suivante : « Quelle place pour le droit du sport dans le système juridique français et européen ? ». Historiquement, c’est seulement dans les années 1970 (C.E., 22 novembre 1974[1]) que le sport commence à prendre, régulièrement, le chemin des prétoires. Émerge alors un contentieux du sport. C'est seulement en 2004 par l'article 84 de la loi n° 2004-1343 du 9 décembre de simplification du droit que le droit du sport commence réellement à être une branche du droit officiel et en découle la création

semble assister à son procès en tant que spectateur. Toute cette procédure l’ennuie et il est encore une fois guidé uniquement par ses besoins physiques. « J'étais un peu étourdi aussi par tout ce monde dans cette salle close. J'ai regardé encore le prétoire et je n'ai distingué aucun visage. Je crois bien que d'abord je ne m'étais pas rendu compte que tout ce monde se pressait pour me voir. D'habitude, les gens ne s'occupaient pas de ma personne. Il m'a fallu un effort pour comprendre que j'étais la

situation juridique des administrés,cette considération explique d’ailleurs le refus opposé par le juge s’agissant des recours dirigés contre ce type d’acte.Selon la formule latine : « de minimis non curat praetor »,ce dernier ne souhaite pas voir son prétoire encombré par des problèmes insignifiants mais manifeste également le désir de laisser une certaine marge de manœuvre à l’administration.Il apparaît manifeste qu’il y a une véritable difficulté du juge administratif d’apprécier la légalité de mesures

intrigues. C'est ainsi qu'elle parvient à le faire adopter par son époux et à lui faire épouser sa fille, Octavie. A la mort de Claude, Néron est proclamé empereur au détriment du fils naturel du défunt, Britannicus. Encadré par Burrus, préfet au prétoire et par le philosophe Sénèque, Néron reste sous la tutelle de sa mère. Il s'intéresse davantage à la poésie qu'à l'Empire et ces premières années de règne sont plutôt bénéfiques. Toutefois, Néron semble prendre peu à peu conscience de sa position

qui ont été invoqués sont loin d'être probants ; novelle 119 de Justinien, De retractationibus sententiarum, P. pretorio, novelle de Théodose le Jeune permettant le recours à l'empereur par voie de supplication contre les décisions des préfets du prétoire rendues contra jus [6]. Monsieur Chénon a péremptoirement démontré que ces textes se devaient entendre d'un appel à l'empereur, peut-être d'un principe élémentaire de requête civile, mais que l'idée d'une voie de recours légal contre les décisions

censé protéger Néron, il fait courir le bruit que Néron a fuit. Sabinus va avec Galba. Néron est obligé de fuir. Il est déclaré ennemi public. Il se suicide le 9 juin 68. Le pouvoir de Galba est assuré. Or il fait des erreurs. Il tue le chef des prétoires. Et ne donne pas la prime (Donativum) il fait eliminer Rufus. Pis il est vieux, pas d'enfant.. Marcus Salvius Othon est gouverneur de la lusitanie. Il serait le candidat. Galba a des idées plus aristocratiques. Il veut Lucius Calpurnius Piso.

postérieure à 122), Suétone a fait partie de l’ordre équestre et a, sur le tard, au début du règne d’Hadrien, exercé une carrière administrative dans les bureaux de la chancellerie impériale, grâce à la protection de Septicius Clarus, le préfet du prétoire. Il fut notamment procurateur de la correspondance impériale, ce qui lui permit de consulter des documents qui fournirent une partie de la matière de son œuvre majeure les Vies des douze Césars. Publié en 121, un an avant la disgrâce de son auteur

dans la Ville, à savoir Rome (ligne 8 : « il ne souffrit pas cependant qu’il y eut jamais plus de trois cohortes dans la Ville. ») Pour l'aider dans le commandement de ces cohortes il avait sous ses ordres immédiats deux suppléants, les préfets du prétoire, praefecti praetorio, qui ne sont sous Auguste que de simples officiers. Pour la garde de la capitale, Auguste institua quatre cohortes urbaines, placées sous l'autorité du préfet de la ville; sept cohortes vigilum, placées sous les ordres d'un préfet