Président du Conseil des ministres d'Italie

d'opinion réclamant son unification à l'Allemagne et ce d'autant plus que le parti nazi autrichien est en pleine expansion. En février 38, Hitler convoque le chef du gouvernement autrichien Schuschnigget exige qu'il incluse dans son cabinet plusieurs ministres nazis. Celui-ci refuse et est remplacé par un pro-nazi, Syss-Inquart, qui invite l'armée allemande à occuper le pays. Le 13 mars, le rattachement de l'Autriche à l'Allemagne est proclamé. Les puissances occidentales se bornent à protester timidement

chute Napoléonienne, le congrès de Viennes est organisé. Celui-ci regroupe 213 délégations, pour tiré un trait sur la domination de l’empereur français. Ce congrès est appelé le « conseil des quatre » : Angleterre, Russie, Prusse et Autriche soit les ennemies historiques de Napoléon. Présidé par Metternich le ministre de l’intérieur Autrichien, le résultat n’est pas à la hauteur des attentes. En effet Metternich et les Autrichiens se servent du modèle Napoléonien pour s’accaparer en Italie de ses

maire du palais, c'était en somme le premier ministre devenu vice-roi quand le souverain était mineur ou incapable. Avec les maires du palais paraissait une nouvelle force. L'un d'eux, Pépin de Landen, en Austrasie, devait donner naissance à une deuxième dynastie. Les Mérovingiens eurent encore deux règnes brillants et forts avec Clotaire II et Dagobert. Celui-là, grand lettré, grand bâtisseur, véritable artiste, est resté fameux, ainsi que son ministre saint Éloi. C'est peut-être, de tous les princes

de la bande médiane perdra de son influence mais survivra à travers les ducs de bourgognes, le dernier de la partie orientale en 962 fonde le saint Empire romain germanique (Otton/Othon Ier). Otton Ier suit un peux le parcours de charlemagne, roi d’Italie puis sacre empereur en 962. Jusque la, chez Otton il s’agit de reconstituer l’empire de charlemagne. L’un de ses successeurs en 980 prends le titre d’imperator romanorum (empereur des romains). Il y a un cumule des héritages : romain et carolingiens

maire du palais, c'était en somme le premier ministre devenu vice-roi quand le souverain était mineur ou incapable. Avec les maires du palais paraissait une nouvelle force. L'un d'eux, Pépin de Landen, en Austrasie, devait donner naissance à une deuxième dynastie. Les Mérovingiens eurent encore deux règnes brillants et forts avec Clotaire II et Dagobert. Celui-là, grand lettré, grand bâtisseur, véritable artiste, est resté fameux, ainsi que son ministre saint Éloi. C'est peut-être, de tous les princes

une démonstration de force : la « Marche sur Rome ». Lors de cette journée, les squadristes, aussi appelés « chemises noires », s'emparent de lieux de pouvoir dans tout le pays et convergent vers la capitale. Le roi d’Italie Victor-Emmanuel III nomme alors Mussolini président du Conseil et les députés lui donnent les pleins pouvoirs pour un an. ➤ Hitler s'impose comme le seul recours en Allemagne. L'Allemagne connaît une sortie de guerre difficile. Le 9 novembre 1918, l'empire allemand s'effondre

reprise par la suite de la Réforme catholique : réformer " homines per sacra, non sacra per homines ", le Vénitien Gaspard Contarini, qui soutient Savonarole… tous reprochent au pape d'avoir abandonné son pouvoir universel pour devenir " un prince d'Italie ". Or jamais l'administration pontificale n'a si bien marché qu'au tout début du XVIe siècle et nous le savons par le diaire de Burchard, cérémoniaire du pape. La chancellerie est l'organisme le plus puissant (cf Bramante), peuplée de protonotaires

pouvoirs : * Un roi justicier Soit juge, soit délègue ou concède la justice avec un droit de grâce * Un roi législateur Les lettres patentes à portée générale transmis au parlement (ordonnance, édit, ordonnance sans adresse ni sceau et arrêt du conseil) * Un roi à la tête de l’Etat Il est au centre des décisions avec 7 prérogatives * Pouvoir hiérarchique * Pouvoir de police générale (contrôle de la création des universités et métiers) * Pouvoir militaire (nomination des ambassadeurs

gouverne par conseil. A partir du début du XIVe siècle, les Etats Généraux, qui réunissent des représentants des trois ordres, sont convoqués plus ou moins régulièrement par le roi : ils votent des subsides et émettent des doléances, des vœux de réforme. Mais ils ne seront plus réunis de 1614 à 1789. La fonction de conseil est donc régulièrement exercée par d’autres institutions, les organes qui forment le gouvernement central de la monarchie : - Les ministres – Le principal ministre (Sully, Richelieu

subsides et émettent des doléances, des vœux de réforme. Mais ils ne seront plus réunis de 1614 à 1789. La fonction de conseil est donc régulièrement exercée par d’autres institutions, les organes qui forment le gouvernement central de la monarchie : - Les ministres – Le principal ministre (Sully, Richelieu, Mazarin, Fleury). Le poste n'est pas toujours officiellement pourvu. Autres ministres : le chancelier, garde des sceaux, chef du service public de la justice ; le contrôleur général des finances ; les