Président du Conseil des ministres d'Italie

l’Hérault en 1790 où il était chargé de surveiller la vente des biens nationaux. Elu député de la législative en 1791 puis de la Convention en 1792, il vote la réclusion à vie lors du procès de Louis XVI. Il est membre du Tribunat dont il devient le président en 1801, et secrétaire en 1803. Un Tribun est un membre du Tribunat. Le Tribunat est l’une des trois assemblées créées par la Constitution de l’an VIII et conservé, mais modifié, par celle de l’an X. En 1804, cette assemblée est composée de 50 membres

(comme le système anglais) : • La 1ère chambre : Le conseil des 500 : C’est l’imagination de la République qui va être corrigé par la 2ème chambre • La 2ème chambre : La chambre des anciens : Député que si on a 40 ans, c’est la raison de la république. Ils sont élus aux suffrages censitaires (cens = impôts). Pour être élu il fallait avoir résidé pendant 15 ans sur le territoire national. On a voulu éviter un retour à la dictature = 5 présidents avec une présidence collective (l’âge requis pour

Régime : on fait appel à la monarchie traditionnelle - de 1870 à 1940 : stabilité o La République donne naissance à la Constitution GREVY qui parvient enfin à clore l’ère révolutionnaire. Les institutions fonctionnent quasiment sans à-coups. Le Président de la République a renoncé à la direction personnelle de l’Etat tout en gardant une certaine influence. La chambre ne peut passer jusqu’au bout sa dictature. Il y a donc un équilibre des pouvoirs. Pour autant le pays est constamment malade. La

Franche-Comté, Dunkerque, Strasbourg et Briançon. (Cf. Carte 1). A l'intérieur du royaume, la Réforme protestante est introduite par Calvin (1509-1564). La France se divise religieusement. A la fin du XVIe siècle elle est marquée par la fin des guerres d’Italie avec en 1559, le traité du Cateau-Cambrésis qui signe la paix entre la France et l'Espagne. Mais, la France est affaiblie par les guerres de religions entre catholiques et protestants qui débutent dès 1562. Cette période est aussi marquée, en Europe

de Compiègne ordonne aux juges des parlements et des présidiaux de condamner à mort les hérétiques. Le 10 juin 1559, le roi va à une séance du parlement. Anne du Bourg (conseiller clerc) demande la réforme de l’Eglise et le sursis des exécutions des évangélistes. Henri II, furieux, l’envoie au bûcher et arrête 3 autres conseillers. Pendant l’augmentation des mesures répressives, le protestantisme s’organise sur le modèle mis en place à Genève. En mai 1559, le premier synode des églises à Paris, sous

parlementaire : l’Assemblée nationale détient le pouvoir législatif et contrôle le gouvernement. En désaccord avec ces projets, le général De Gaulle démissionne le 20 janvier 1946 et propose en juin 1946 un régime ou le pouvoir exécutif détenu par le président de la République l’emporte sur le Parlement. Il devient alors un opposant déterminé à la IV République.   La IVe République 1/ L’instabilité politique En 1946, la IVe République est dominée par le tripartisme, coalition de 3 grands partis issus

valeur constitutionnel et ne pourra être modifiée qu’en suivant la procédure constitutionnelle. (Exemple de l’Article 6 de la Constitution actuelle. Cet article dispose (c’est-à-dire qu’il renvoi à un contrat = les deux parties sont d’accord). Le président est élu pour cinq ans au suffrage universel direct et nul ne peut être élu pour plus de deux mandats consécutifs. Formellement, il y a une disposition textuelle qui a valeur constitutionnelle et qui ne pourra être modifiée qui si l’on suit la règle/

considérablement grossi à la fin de son règne et meurt d'une septicémie à la suite d'une fistule vésico-périnéale. Son fils Henri II lui succède. Henri II (1547-1559) -> II poursuit l'œuvre politique et artistique de son père. Il continue les guerres d'Italie. Son règne marque l'essor du protestantisme qu'il réprime avec davantage de rigueur que son père. Après sa mort commencent les guerres de religion. Il est marié à Catherine de Médicis (ils sont tous les deux né en 1519). Il meurt accidentellement

au bout de 24 heures). Jusqu’au 20 mai, un mouvement de grève se généralise sur tout le pays. 24 mai : La manifestation en hommage à la Commune rassemble au chant de l’Internationale 600000 personnes à Paris dont Léon Blum. Celui-ci devient président du conseil le 4 juin, appelant trois femmes au gouvernement. Pour éviter que l’explosion sociale ne débouche sur un processus révolutionnaire encore plus dangereux, le patronat signe les Accords de Matignon (premiers congés payés, semaine de 40 heures…)

comprenait les personnalités suivantes : - Mme Sayda BenHabylès (Algérie), ancienne ministre de la Solidarité, ancien Sénateur, membre fondateur du CIRET-AVT, Prix des Nations Unies pour la société civile, - Mme Roumiana Ougartchinska (France/Bulgarie), essayiste, journaliste d’investigation, - Le Préfet Yves Bonnet (France), préfet honoraire, ancien député, ancien directeur de la Surveillance du territoire (DST), président du CIRET-AVT, - Mr Dirk Borgers (Belgique), expert indépendant, - Mr Eric Denécé