Présage

le monde profane, l’homme se trouvant confronté à la taille des colonnes se dressant face lui, lesquelles le renvoient à sa propre petitesse. En effet les colonnes outre le fait d’en marquer l’entrée, fixent la solennité des lieux en en laissant présager la grandeur, tout en en précisant le caractère secret, ainsi la lettre « J » gravée sur la colonne du Septentrion dont la signification n’est accessible qu’aux seuls initiés. A la suite des colonnes un escalier de sept marches permet d’accéder

la Mésoamérique, « leur vision du monde contribua à leur défaite » En fait, selon leurs cadres de référence, ces peuples ne pouvaient imaginer que les Espagnols avaient comme but premier de détruire leur religion et leurs lois. Rien ne laissait présager que ces « hommes de fer » avaient l’intention de s’installer, s’emparer de leurs richesses et implanter un nouveau culte. Lorsque les Incas où les Aztèques faisaient la guerre, celle-ci se soldait par un traité qui accordait au vaincu la conservation

avec l'impératif « berce-le » au v. 11. C'est donc un cadre impressionniste dans son esthétisme avec des touches colorées, une lumière omniprésente et une absence d'ombre. C'est un cadre accueillant pour l'homme, mais un cadre qui laisse pourtant présager la révélation tragique de la fin du sonnet avec dès le début l'utilisation des expressions « trou » v.1 et « lit vert » v.8 qui suggèrent la tombe ou le cercueil. II/ Le dormeur a) La jeunesse est l'innocence : Le dormeur est présenté à

Le Rêve Introduction: Dans l’antiquité, les rêves étaient considérés comme des présages de l’avenir ou même des recommandations pour soigner une maladie; on peut même voir que selon l’Ancien testament, les rêves de la fin de la nuit indiquent ce qui va se passer. Ainsi les superstitions populaires croient que dans les rêves il y a des signes, qui peuvent être soit bénéfiques soit maléfiques. Le rêve intrigue et inquiète. Aujourd’hui le rêve implique toujours une fascination chez l’être

apparaît comme un enfer La religion semble vaine C'est la guerre En tout cas une lutte Et finalement Boileau est vaincu "importuns" (v .2) "jurer les passants" (v .8) " paveurs" (v .9) Allitération en [l] des vers 5-6 explication "funeste présage" (v .10) "la foule qu'elle augmente" (v .14)"qui suis las d'attendre" (v .34) Hyperboles - Pléonasme du vers 20 "vient menaçant " (v .14) "Répétition" de "mal" au vers 23 - vers 36 - Parallélismes des vers 39-40 v .3-4 - v . 13-22 v .8 & 25

passages ouvrent sur le passé ou sur le futur des personnages. Ce mouvement par lequel se trouvent juxtaposées les états lointains de l'existence rend plus sensible l'action de la mort. Beckett a su donner une épaisseur au temps à la fois mémoire et présage, qui fait de la vie ne éternité de souffrance. 2. Une comédie et des acteurs : Il est un fil qui court tout au long de la pièce et qui laisse à penser que tout ce qui s'y passe n'est que comédie. En effet, en plusieurs endroits apparaît le vocabulaire

ville apparaît comme un enfer La religion semble vaine C'est la guerre En tout cas une lutte Et finalement Boileau est vaincu "importuns" (v.2) "jurer les passants" (v.8) " pa- veurs" (v.9) Allitération en [l] des vers 5-6 explication "funeste présage" (v.10) "la foule qu'elle augmente" (v.14)"qui suis las d'attendre" (v.34) Hyperboles - Pléonasme du vers 20 "vient menaçant" (v.14) "Répétition" de "mal" au vers 23 - vers 36 - Parallélismes des vers 39-40 v.3-4 - v. 13-22 v.8 & 25 Expression de

gaz, ce qui peut faire penser que l'aire est empoisonné par la mort. Le panneau central Jambes d'un mort. Les muscles sont contracté. Le panneau de gauche Le panneau de gauche Roue : symbole du destin. La roue est cassé, ce qui ne présage rien de bon pour les soldats . Le panneau central Des soldats qui partent a la guerre ( avant la guerre, pendant et après ) = ordre chronologique. Le panneau de gauche Les soldats ressemble a des fantômes, a une « armée déchue » ( Brumes

boutons et des épaulettes attire en premier le regard du spectateur. Le regard disparaît en partie sous le casque, le visage disparaît derrière le costume. L ’ or fait ressortir le fond noir qui forme comme une auréole autour du peintre, comme un présage funeste. Le peintre se représente en plan rapproché et de trois quart. Le regard du spectateur est attiré par le regard fuyant, inquiet, méfiant du peintre transformé par la guerre en bête apeurée et sauvage.

intimes Maladie de sa femme (pas vraiment d’amour mais maladie) ; les femmes sont peu présentes dans le roman. II – LES SIGNES ANNONCIATEURS DE L’ARRIVEE DE LA MALADIE 1- Apparition des rats « premier jour de la peste » Signe du mauvais présage, rythme saccadé. 2- Séparation avec sa femme à cause de la maladie III – LES REACTIONS FACE AUX SIGNES 1- La collectivité met un certain temps à se rendre compte de la situation Rieux à les pensés ailleurs, population naïve, idem au nazisme