Preface D Anthologie Oiseaux

la naïveté des Isopets et redonner tt son éclat à l’original antique. Les humanistes italiens du 16ème s. regpent et traduisent le fonds ésopique ds de luxueuses éditions. ➢ En France, au 17ème s. , Nivelet (neveu de Pierre Pithou) publie une anthologie qui se rattache à cette tradition savante et que la Fontaine utilisera abondamment. Il contient ttes les versions antiques des fables ésopiques, les fables de Phèdre, celle d’Abstémius et d’autres fables inédites (Mythologia Aesopica). ➢ L’humanisme

avec la naïveté des Isopets et redonner tt son éclat à l’original antique. Les humanistes italiens du 16ème s. regpent et traduisent le fonds ésopique ds de luxueuses éditions. En France, au 17ème s. , Nivelet (neveu de Pierre Pithou) publie une anthologie qui se rattache à cette tradition savante et que la Fontaine utilisera abondamment. Il contient ttes les versions antiques des fables ésopiques, les fables de Phèdre, celle d’Abstémius et d’autres fables inédites (Mythologia Aesopica). L’humanisme

(1) Soliloques, poèmes, Bône, Ancienne imprimerie Thomas, 1946 Réédition (avec une introduction de Yacine Kateb), Alger, Bouchène, 1991, 64 p. 17 peuple (…). Devant la mort, on se comprend, on se parle plus et mieux », écrira-t-il en préface du recueil où l’auteur noue définitivement son adhésion à une double cause : l’engagement politique et la vocation poétique. Son milieu familial avait déjà fait de lui un passionné des Lettres, lui-même fera remonter l'éclosion de sa vocation

merveilleux et le pittoresque prennent le pas sur le réel. C’est Bonaparte, en 1798, qui va ouvrir les portes d’un Orient non plus de fantaisie mais vécu, exploité par le romantisme avec ses couleurs propres et ses mœurs. Victor Hugo dira dans la préface de ses Orientales (1829) : « L’Orient est devenu une préoccupation générale ». En 1842, l’historien Edgar Quinet nommait l’orientalisme une renaissance orientale (Le Génie des religions). D’après lui, cette renaissance vise à retrouver les sources

à être ce qu'il aurait pu être, reste certainement l'un des livres les plus faibles de Malraux. Aussi n’a-t-il pas eu le succès des romans précédents, et Malraux le retira plus tard de ses “Œuvres complètes”. Il vaut malgré tout par l’admirable préface de Gaëtan Picon qui y voyait «le manifeste d'une éthique et d'une esthétique de la fraternité humaine». Et ce témoignage de l’engagement de Malraux ouvrit un nouveau cycle romanesque, lié, cette fois, à la lutte contre les fascismes et à l'action

le chagrin, la tristesse - ces sentiments sont constants. De fait, la tristesse imprègne la vie des héros romantiques. * L’exaltation et la passion - le héros romantique passe facilement d’un extrême à l’autre. Les libertés accordées par La Préface de Cromwell permettent l’utilisation de tous les registres de langue, ainsi les héros peuvent s’exprimer avec la plus totale spontanéité, dans une langue qui traduit l’authenticité de leurs émotions et de leurs sentiments. Par exemple, Lorenzo n’hésite

opérée par La Fontaine – s’est vraisemblablement produit dans ce cadre. J-L.P. – La fable était alors un genre vivant... Patrick Dandrey – On la pratiquait sous la forme d’exercices plutôt oratoires et scolaires, assez prosaïques. Il y avait des anthologies, reprenant le corpus ésopique, et on venait de retrouver les manuscrits du fabuliste latin Phèdre (15 avant J.-C./50 après J.-C.). J-L.P. – Le premier apport de La Fontaine serait donc littéraire ? Patrick Dandrey – C’est l’émergence à la poésie

Afrique, en Asie, qui personnifient alors les esprits des anciens et des dieux ; ce sont des créations qui se situent aux confluents de l’art et du mythe. On trouve également des créations qui sont à caractères ludiques ou utilitaires, comme des oiseaux artificiels, des automates créés pour le théâtre, comme on en trouve la description dans le Satyricon de Pétrone. Ce sont des objets fabriqués pour éveiller la curiosité et la fascination. L’être artificiel est aussi bien présent dans de nombreux

le chef du chantier de la tour, « dont le nom signifie « révolté », […] selon Isidore de Séville et, au IXe siècle, Walafried Strabo, est un des symboles historiques du Démon 159 . » Pierre Riffard, L'ésotérisme, Qu'est-ce que l'ésotérisme? Anthologie de l'ésotérisme occidental, Éditions Robert Laffont, Paris, 1990, passim. 156 Omraam Mikhael Aïvanhov, La Balance Cosmique – le nombre 2, Éditions « Prosveta », Fréjus, 1995, passim. 157 Ibidem, pp. 14-15. 158 Paul Zumthor, op. cit., p. 28. Notons

alors qu’en art tout est jeu de formes et de langage, « remise en question permanente », « perpétuelle renaissance ». De sa belle voix grave et amusée, il expliquait volontiers, encore récemment dans ses entretiens radiophoniques repris en livre, Préface à une vie d’écrivain (2005), que ses études scientifiques l’avaient d’abord cantonné aux lettres anciennes, aux classiques, pour la culture littéraire, et qu’il avait eu, jeune homme, des rapports distants avec les romans de son temps, préférant Hérodote