Poésie Douleur

l’inspiration poétique ? Pour commencer, nous parlerons du « don divin » que peut être la poésie. Ensuite, nous aborderons le sujet de la poésie étant un travail (un recopiage ou une imitation par exemple). Pour finir, nous étudierons un type de poésie qui vient des souffrances personnelles de l’auteur, de sa vie, son vécu. Tout d’abord le poète peut être inspiré divinement ; Dieu lui insuffle la poésie. Une voix de l’intérieur l’anime et lui fait écrire son poème. « L’esprit de Iahvé s’abattit

français du 19 ème siècle qui est un des piliers du mouvement esthétique du surréalisme en ouvrant la voie à l’écriture engagée notamment à la poésie. « Les poètes luttent, se mêlent a leurs semblables, même et surtout s’ils sont amoureux, courageux. La poésie est un combat. » D’après cette citation qui soutient, la thèse de l’auteur, qui, est que la poésie correspond à une forme d’écriture engager où l’on défend une cause, une façon de penser, on peut penser que tous les poètes se mêlent entre eux

Bac blanc : avril 2012 - Séries Technologiques Objet d'étude : la poésie Regards de poètes sur eux-mêmes au XIXe siècle Corpus : • Document A : Victor Hugo, Les Rayons et les ombres, 1840. • Document B Théophile Gautier, « Le Pin des Landes », Emaux et Camées, 1852. • Document C Charles Baudelaire, « L'Albatros », Les Fleurs du mal, 1857. • Document D : Arthur Rimbaud, « Ma Bohème », Poésies, 1870. Questions (6 points) 1. À travers une étude de ces différents textes, expliquez quelle

viennent qualifier toute sensation (toute sensation est plaisante ou déplaisante, à quelque degré que ce soit) ; et comme tout être vivant, nous avons naturellement tendance à chercher le plaisir et à fuir le déplaisant. Tout plaisir est un bien, toute douleur est un mal : la sensation, juge infaillible de ce qui est agréable ou douloureux, est un guide qui ne saurait nous égarer et qu’il suffit de suivre sans s’en écarter. De ce point de vue, les animaux sont nos modèles : ils nous donnent à voir ce qu’est

indissociable de la condition du poète et on pourra se demander si elle est nécessaire à l’écriture poétique. La poésie est-elle toujours le fruit d’une douleur éprouvée par le poète, ou peut-elle avoir d’autres sources ? De prime abord, nous verrons que la poésie peut effectivement naître de la souffrance, ensuite nous montrerons que d’autres sources d’inspiration peuvent se révéler créatrices. La poésie est un moyen pour le poète d'extérioriser ses sentiments, notamment par le biais du registre lyrique

est le garant de la beauté de l’œuvre et de son pouvoir de transfiguration du réel ? « En poésie, c’est la souffrance qui est féconde » écrit le romancier André Mathieu dans Nathalie. A travers cette citation il semble que la souffrance soit une grande source d’inspiration pour les poètes. La vie n’est, en effet, pas totalement réjouissante car même si parfois en contact avec le bonheur, des douleurs et détresses reprennent souvent le dessus, contre notre gré comme le montre les déceptions amoureuses

Chant = poésie lyrique, celle qui est destinée à exprimer les sentiments intimes, de préférence mélancoliques. Plaisir esthétique du sanglot, il y a là quelque chose qui peut paraître malsain, de masochiste ("Laisse-là s'élargir, cette sainte blessure") ; en tous les cas, cela confirme la nature tourmentée du poète. Introduction : Les poètes ont une réputation de « maudits » depuis le XIXème siècle, la souffrance est leur source d’inspiration, ils nous parlent de douleur physique et de douleur morale

d'amour, le poète est incapable d'écrire : la muse l'incite à reprendre la plume malgré et grâce à sa douleur (cf. rupture Musset/George Sand). L'extrait contient la dernière tirade de la muse, à la fin de la Nuit de Mai. Ce poème est rédigé en alexandrins, avec des rimes suivies excepté pour les premiers vers (rimes embrassées). Musset énonce la conception qu'il a de la fonction de la poésie. Il va utiliser un personnage fictif ("le pélican" - vers 101 à 129) afin de prouver sa thèse : il

Baudelaire, poète romantique du 19° siècle écrit le recueil Les Fleurs du mal en 1857, dont est tiré « le cygne ». Cet extrait de poésie présenté en six quatrains avec des alexandrins et des rimes croisées s’inscrit dans l’objet d’étude : la poésie du 19°siècle au 20°siècle : du romantisme au surréalisme. Nous retrouvons, en effet, certaines caractéristiques de la poésie romantique à savoir la nostalgie et la mélancolie du poète. Les thèmes abordés dans ce texte sont l’évolution de la ville de Paris

1845 et « L’albatros », en 1861. Cette proximité de temps peut sans doute expliquer leur ressemblance. En effet, les deux poèmes reposent sur une métaphore filée et chacun des auteurs tentent d’expliquer leur conception de la poésie : la grande poésie est issue de la douleur (ce qui rejoint la conception romantique). Les deux poèmes ont une structure identique, fondée sur l’allégorie du poète. Ce dernier donne une image douloureuse de lui-même. Nous verrons enfin le sens symbolique de l’art poétique