Poésie Banale

Beau par excellence, ce qui n’a pas été altéré par l’homme, ce qui est pur, une véritable création divine. Ainsi l’art apparaîtrait comme ce qui tendrait à représenter la beauté de ce qui nous entoure, à magnifier encore tout cela. Mais le rôle de la poésie et de l’art en général se limite-t-il à décrire les beautés du monde ? N’est-ce pas un peu réducteur ? Pour répondre à cette question nous partirons de l’idée selon laquelle l’art a bel et bien cette fonction esthétique de description du monde, puis

fermée donc le sujet nous invite à formuler plusieurs questions. Le poète est-il un rêveur ? Existe-t-il une poésie qui ne se fonde pas sur l’imagination ? L’inspiration du poète vient-elle de l’imagination ? Le poète est-il dans l’obligation de s’évader pour écrire ? L’imagination est-elle la seule source d’inspiration du poète ? Le poète fait-il abstraction du monde réel ? La poésie évoque-t-elle uniquement des mondes irréels ?... Problématique : Le poète se limite-t-il à suivre son imagination

description subjective qui transfigure la scène 1. Une situation banale La banalité réside sur le paysage décrit. On a champ lexical de la banalité « même », « vide », « ennui ». On a aussi la description des voyageurs qui montre également la banalité. Or, dans une scène ennuyeuse, le regard de Fréderic se fixe sur une seule personne. L'activité de broderie est tout à fait commune. L'apparition d'une « négresse » est banale à cette époque. 2. Un point de vue qui transfigure la scène Le

d’autres œuvre pour aboutir enfin au faites que ses difference et similitude font qui lest unique . Certes Exercice de style est un écrit assez particulier voir fantaisiste. En effet, elle relate quatre-vingt-dix-neuf fois la même histoire banale, sans aucun intérêt, : Le narrateur est témoin d’un incident dans un autobus nommé le S : un jeune homme portant un chapeau se dispute avec son voisin. Plus tard, le narrateur rencontre ce même individu. Il discute avec un ami lui conseillant… de

d’exemplaire dans sa simplicité. L’idée que développe ici l’auteur est belle mais banale et surtout l’image sur laquelle il se termine. Mais la vision poétique est notée avec une précision qui donne au lecteur l’impression de voir l’image sous ses yeux. La peinture du réel a) Une scène banale Le lecteur assiste à une scène d’hospitalité entre 2 personnages, le poète (le narrateur) et un pauvre très banal comme nous le voyons dans le poème au vers 1 « Un pauvre ». Alors que le

simplicité. L’idée que développe l’auteur est belle, mais banale, et tout autant l’image sur laquelle il se termine. Mais le paysage de la réalité la plus banale à la vision poétique est ici noté avec une précision qui donne au lecteur l’impression de voir naître l’image sous ses yeux. Annonce des axes : I. La peinture du réel II. La transformation du réel III. Le regard du poète Etude : I. La peinture du réel a. Une scène banale On assiste à une scène d'hospitalité entre 2 personnages

encore "le plus important des poètes" pour Valéry. Ses œuvres inaugurent la modernité en poésie. Les Fleurs du mal 1857 A retenir : Les Fleurs du Mal est un recueil de poèmes de Charles Baudelaire qui intègre la quasi-totalité de sa production poétique depuis 1840.Œuvre majeure de Baudelaire, publiée le 23 juin 1857 et rééditée en 1861, Les Fleurs du Mal sont l’une des œuvres les plus importantes de la poésie moderne, empreinte d’une nouvelle esthétique où la beauté et le sublime surgissent, grâce

La poésie Le genre poétique La poésie est expérience du langage, elle joue avec les sonorités, avec chaque mot : ses différents sens, son étymologie, sa morphologie et ses connotations. Le langage poétique se caractérise donc par une densité du sens que n’a pas le langage ordinaire. -Le mot «  poésie » vient du verbe grec poïein qui signifie « faire, fabriquer, créer » Le genre poétique s’est longtemps opposé aux autres genres littéraires du fait qu’il utilisait le vers et non la prose.

quête d'absolu, dépressif, sans volonté.II- La réalité en dérisionLa meilleure façon de refuser la réalité c'est de la railler. Verlaine rit de l'Art, de l'Homme, de la poésie, de l'antiquité. L'assonance du "i", son aigu, au second quatrain accentue le désordre mental du poète. Verlaine énumère ensuite ses centres d'intérêt, la poésie, l'antiquité grecque, le gothique. Son pouvoir de discernement a disparu, il ne sait plus faire de différence entre le bien et le mal, le bon et le méchant, Dieu et Satan

appelle aussi des romans. » Didier : Éloge de Richardson « L'histoire dit ce qu'on a fait; un bon roman, ce qu'il faut faire. » Voltaire : Lettre en vers et en proses. {text:soft-page-break} Le Roman Le roman est un genre narratif prosaïque (= banal). Cette narration est une histoire fictive, en même temps qu'une fiction historique. Le roman est un art : il se présente comme un discours destiné a produire un effet esthétique (grâce à l'emploi d Rabelais et Cervantès resteront une référence