Poèmes Saturniens Structure

............................................ 128 Maria-Cristina OBAE (Roumanie) Identité et discours de linguiste .................................................... 130 Mirela-Cristina POP (Roumanie) Une lecture énonciative de « bien » en structure « il y a bien » .... 144 Alina GANEA et Adela DRĂGAN (Roumanie) L’émotion négative comme véhicule de l’opinion dans les médias. Étude de cas : le journaliste roumain Cristian Tudor Popescu...... 152 III. DIDACTIQUE ..........................

Voltaire Voltaire n’a abordé le genre du conte philosophique que tard dans sa vie. Il n’a en effet écrit ses premiers contes qu’après avoir dépassé la cinquantaine d’années. Auparavant, il a touché aux tous les genres sauf aux romans. Il a écrit des poèmes, des pièces de théâtre, des travaux philosophiques et même des ouvrages historiques. Il considérait en effet que les romans constituaient un genre inférieur. Voltaire a maintenu sa position vis-à-vis de ces autres genres pendant longtemps jusqu’au

Force est de constater que la « lecture » se démarque par son aspect polysémique et transversal. L’analyse permet de restituer le texte littéraire dans sa dimension esthétique en mettant en relief sa composition. Elle rend compte de ses structures thématiques (le fond) et « rhématiques » (la forme) qui le composent. Pour y parvenir, il faut utiliser des outils appropriés qu’il revient à adapter à chaque genre littéraire.En effet, chaque genre littéraire appelle son propre métadiscours selon

spécifique au sujet, expressif pour le lecteur, cohérent dans la progression et vis-à-vis du dossier : il doit répondre avec précision et rigueur à la problèmatique d’ensemble du dossier, à partir des seules données de ce dossier. Il doit contenir des structures apparentes avec des titres et des sous-titres. C) Rédaction La rédaction peut être facilitée par l’exploitation ou la reproduction adroite, des meilleures expressions et phrases des textes. Le style doit être sobre, concis : les expressions vagues

analyser 1. Le narrateur brosse le portrait du grand-père par petites touches. - Dégagez les grandes lignes de ce portrait. - Pourquoi à votre avis les mains du grand-père sont-elles évoquées plusieurs fois ? • 2. L’anaphore " Je le revois " structure le texte et assure sa progression. En quoi est-elle révélatrice du lien entre les deux personnages principaux ? 3. Quels sentiments le narrateur éprouve-t-il en évoquant ces " bonheurs d’enfance " ? 4. On ne se fait pas payer pour avoir eu

monde des lettres et du théâtre, sa famille l'envoie à Uzès (dans le Gard), où l’un de ses oncles, le chanoine Scouin, lui promettait un bénéfice ecclésiastique. Il reste dans le Midi à peu près un an, étudiant fort peu la théologie, et préparant des poèmes et des tragédies. Quand il revient à Paris, en 1663, il fait paraître une Ode sur la convalescence du Roi, et reçoit une gratification de 600 livres, dont il remercie Louis XIV par une nouvelle pièce : La Renommée aux Muses.   En 1664, la troupe de Molière

(Victor Hugo, « L’Expiation », Les Châtiments, 1853) “ Le rythme ternaire repose sur la séparation de l’alexandrin en trois parties égales 4/4/4. Ex. : « Rien n’a changé. J’ai tout revu : l’humble tonnelle » (Paul Verlaine, « Après trois ans », Poèmes saturniens, 1866) “ Le rythme est croissant lorsque les mesures sont de plus en plus longues ou accumulatif quand il existe de nombreux accents. Ex. : « Non : il s’en va, froid, sous sa pierre. » (Tristan Corbière, « Le Crapaud », Les Amours jaunes, 1873)

réelle » et plus seulement « entendue », qui tombe sur scène à la fin de la pièce. C) Chercher un facteur de compréhension collective et de continuité dans le recours au mythe et dans la distance du mythe. Dire la violence du présent en utilisant la structure ancienne et toujours disponible des mythes littéraires (Médée), en les réactualisant même de manière dégradée : variations sur la métamorphose de Philomèle de Titus Andronicus à Viol, figure d’Œdipe ou de Gloucester énucléé dans Ian, mais aussi du

semble que ils et elles aient cohabité assez longtemps dans notre langue avant de se dissocier clairement. Tous deux viennent du même pronom latin (illi au masc. pl. et illae au fém. pl.). 20 ) Variante dans une édition bilingue (FrançaisAnglais) des poèmes de Villon : Prince n'enquerrez de semaine Où elles sont, ne de cet an Qu'à ce refrain ne vous remaine Mais où sont les neiges d'antan ? -23- Ce qui signifie : Prince ne demandez pas, ni cette semaine, ni de toute cette année, où elles sont Qu'à

de la langue 7 standard, et le domaine gallo-roman présente une situation de diglossie (français/ dialecte) ou de monolinguisme (surtout dans une vaste zone autour de Paris). De toutes les langues romanes, le français s’éloigne le plus des structures latines grâce à une romanisation tardive, à l’influence profonde du substrat celtique (traces au nord et au sud de la frontière entre oïl et oc) et du superstrat germanique (traces particulièrement très nettes dans la partie romane de la Belgique)