Poème Le Galet De Ponge

premier poème de la section “le Vin” des Fleurs du Mal de Baudelaire, recueil de poèmes publié en 1857. Baudelaire, poète du XIXème s entre romantisme, symbolisme et parnasse, s’attache à peindre les “paradis artificiels” - il publiera même un essai à ce sujet en 1860 - dont le vin. Le vin, et boire en général, est un moyen d’accéder à un Idéal, un paradis temporaire mais également une source d’inspiration. L’Âme du Vin étant le premier poème d’une

poétique : la boue et l’or POESIE - FRANCIS PONGES, Le parti pris des choses, 1942 Alchimie poétique : la boue et l’or« Les mûres »Aux buissons typographiques constitués par le poème sur une route qui ne mène hors des choses ni à l'esprit, certains fruits sont formés d'une agglomération de sphères qu'une goutte d'encre remplit.Noirs, roses et kakis ensemble sur la grappe, ils offrent plutôt le spectacle d'une famille rogue à ses

D’ETUDE I : LA POESIE Séquence 2 : la poétique de Ponge, à la recherche du sens. Etude d’une œuvre complète : Le parti pris des choses, 1942. Perspectives d’étude : Les genres et les formes de la poésie à la quête du sens Problématique : Comment un auteur part-il à la quête du sens au cours de son œuvre ? Lectures analytiques : Ponge, Le parti pris des choses, « Le cageot ». Ponge, Le parti pris des choses, « L’huître ». Ponge, Le parti pris des choses, « Le pain ». Documents

ARTS : Les peintres cubistes (photocopies) 2) Lectures complémentaires d’Alcools : « Zone », la fin du poème « Le pont Mirabeau » « Nuit rhénane » 3) Corpus de textes I : « La modernité poétique» : BAUDELAIRE, Les petits poèmes en prose, préface à Arsène Houssaye et « Hémisphère dans une chevelure », 1869 CENDRARS, Sonnets dénaturés, « Académie Médrano », 1923 PONGE, Le parti pris des choses « L’huître », 1942 Etudes d’ensemble Introduction au recueil Alcools (le titre, le lyrisme

La Pluie, Francis Ponge La pluie, dans la cour où je la regarde tomber, descend à des allures très diverses. Au centre c'est un fin rideau (ou réseau) discontinu, une chute implacable mais relativement lente de gouttes probablement assez légères, une précipitation sempiternelle sans vigueur, une fraction intense du météore pur. A peu de distance des murs de droite et de gauche tombent avec plus de bruit des gouttes plus lourdes, individuées. Ici elles semblent de la grosseur d'un grain de blé,

cristallise et se multiplie. Elle se concentre en des assertions aussi longues et aussi articulées que possible (c'est-à-dire très brèves, et tenant souvent en une seule phrase : sujet, verbe, prédicat), aussi variées et aussi distrayantes (dirait Ponge), aussi péremptoires et aussi dénuées de preuve que possible, et dont chacune, avant de revenir éventuellement sous une autre forme, prenne juste le temps de croyance que le lecteur consentira à soustraire au bruit de fond entretenu par les singeries

vieux rhum mouille.En pousse, des tiges à pulsations brèves, des vierges prodiges sans tuteurs : une vaste saoulerie de palmes ayant perdu tout contrôle qui cachent deux tiers chacune du ciel.LES MÛRESAux buissons typographiques constitués par le poème sur une route qui ne mène hors des choses ni à l’esprit, certains fruits sont formés d’une agglomération de sphères qu’une goutte d’encre remplit.*Noirs, roses et kakis ensemble sur la grappe, ils offrent plutôt le spectacle d’une famille rogue à ses

diverses formes une procédure de préparation semblable : fabriqué à partir de farine de céréale, pétrie avec de l'eau, pour donner une pâte que l'on laisse reposer et fermenter, le pain s'obtient finalement par cuisson à haute température. Diverses galettes ont été préparées à partir de farine de racines de manioc (la cassave des Caraïbes) ou de rhizomes de fougères4 (en France en période de disette, Palma de Majorque, Sibérie) ou de la seconde écorce (cambium) du bouleau (Betula pendula, en Pologne

Vatican lorsqu’il écrit, cette référence est d’autant plus possible. La trace chrétienne de cette formule est mise en exergue (évidence, relief). 3) La Modernité. C’est après le Moyen-âge, que naît la modernité dans le domaine de l’art. Le poème est moderne, il commence donc par 2quatrains suivit de 2tercets ce qui est une forme novatrice, révolutionnaire, qui vient d’Italie grâce au grand poète Pétrarque qui est imité par Du Bellay. Le sonnet est en Français, mais l’on remarque que nous sommes

quant à lui directement à son destinataire (le roi Philippe III le Hardi), auquel il dépeint sa situation de dénuement avec l’objectif implicite d’obtenir son aide en l’apitoyant. La traduction conserve le caractère intime et le ton de sincérité du poème, daté de l’hiver 1276-1277. L’Épitaphe de Villon, composée alors que, condamné à mort, son auteur s’attend à être pendu, a successivement deux destinataires : 1) les « frères humains » apostrophés au début de la ballade et auxquels s’adresse la phrase