Pour être libre

Philosophie « Etre libre, est-ce faire ce que l’on veut ? » La liberté désigne la possibilité d’agir à sa guise, selon ses propres choix, en ne subissant aucune domination étrangère. D’après cette définition, un Homme libre agit donc entièrement selon sa volonté. Pourtant, toute société qui garantit la liberté de ses individus comporte des interdits. Le pouvoir de volonté de chacun n’y est pas absolu. Nous en venons donc à nous poser plusieurs questions ; dans ces sociétés qui promettent la liberté

I) Le sentiment immédiat de notre liberté : la théorie du libre arbitre a) Tout homme se juge spontanément libre Dans le langage courant, la liberté renvoie au pouvoir que possède tout homme de n’obéir qu’à lui-même, qu’à sa propre volonté, et d’agir uniquement en fonction de ses désirs, indépendamment de toute contrainte ou de toute pression extérieure. Tout homme se sent donc spontanément libre, tout simplement parce qu’il se croit capable de faire des choix de petite ou de grande importance

Est-on d’autant plus libre qu’on est conscient ? Avant d’être considérée par les philosophes comme une caractéristique individuelle purement psychologique et morale, la liberté fut d’abord un statut, c’est-à-dire une condition sociale et politique garantie par un ensemble de droits et de devoirs. Nous ne pouvons faire ce que nous voulons, c’est-à-dire exercer notre liberté que si nous savons ce que nous voulons, autrement dit que si nous sommes conscients. Les notions de la liberté, ou la capacité

responsabilité->approbation ou blame ->justice Pas de justice sans liberté. La liberté, en ce sens, est la capacité de nous déterminer nous-mêmes indépendamment des circonstances : le libre-arbitre. La liberté peut aussi être défini négativement comme l’absence de contraintes. I – La liberté s’identifie-t-elle au libre arbitre ? 1/ Le sentiment Renvoie à l’expérience consciente de la liberté. = sentiment intérieur, auquel j’ai accès de manière privilégiée ou intime. Effort de volonté

de l’extérieur EX : On parle d’une chute libre. On dit que les animaux sauvages sont libres . la liberté politique et la liberté civile sont des libertés extérieures. Un prisonnier n’est pas libre de cette liberté là . b) la liberté intérieure : pouvoir de se décider et de choisir sans y être déterminé par des forces intérieures . C’est le pouvoir de se déterminer indépendamment de forces irrationnelles, impulsions, émotions, passions . On peut être esclave mais jouir d’une parfaite liberté intérieure :

Choisit-on librement la personne de qui on tombe amoureux? Arthur Schopenhauer est un philosophe qui ne cherche pas à atteindre le bonheur, mais plutôt atteindre la liberté, cependant pour lui être libre c’est de nier notre volonté. Voici la question à l’étude : choisit-on librement la personne de qui on tombe amoureux. Premièrement, c’est quoi la volonté selon Schopenhauer? Deuxièmement, comment la volonté s’y prend-elle pour nous déterminer? Troisièmement, comment s’y prendre pour nier la

LIBERTE EST-ELLE PLUS QU’UN CAPRICE ? La liberté est, si on la définit d’une manière générale, un pouvoir de faire ou de ne pas faire. C’est ce qu’on appelle le libre arbitre, capacité à être le propre principe de ses actions, sans être contraint par rien d’extérieur à nous. Nous réclamons et revendiquons souvent notre liberté en souhaitant pouvoir faire ce que nous désirons. Les hommes semblent donc avoir un goût pour la liberté. La liberté pourrait, en ce sens, se rapprocher du caprice. Ce dernier

est autonome lorsque celui-ci ne dépend de personne et qu’il se donne à sois même ses propres lois, valeurs et buts. La liberté quant à elle est une notion complexe :être libre se caractérise par le pouvoir d’agir, de décider sois même donc d’être a l’origine de ses propres choix. Etymologiquement, on retrouve cette idée de ne pas être en état de servitude, le propre d’une volonté qui n’a pas d’autre maître qu’elle-même, en effet, en latin, « liber » signifie esclave affranchi  La promiscuité de ces

{text:soft-page-break} La liberté humaine est-elle limitée par la nécessité de travailler? De nombreux mythes font état d'un âge d'or au cours duquel le travail n'existait pas encore, chaque homme pouvant faire ce qui lui plait et donc en quelque sorte être libre, libre de sa pensée de ses actes, de ses dires. La nature lui fournissant directement ce dont il avait besoin pour vivre: nourriture, boisson, divertissement... C'est le cas dans la Genèse. Mais dans ce récit, après avoir gouté à la liberté, les Hommes

Liberté Les hommes se battent depuis toujours pour défendre leurs droits, et notamment leur liberté. Mais en quelle mesure sommes nous libre ? C’est effectivement intéressant de se poser cette question, car s’il on parvenait a démontrer que nous ne sommes pas libre, on pourrait en déduire que nous ne sommes pas responsable de nos actes. Et vu que le principe de la justice est de punir les hommes en fonction des actes commis, il s’avèrerait que la justice soit trompée et faussée. C’est d’ailleurs