Pouchkine

- Huile sur toile Los Angeles County Museum of Art, Los Angeles "Camille, ou femme à la robe verte" 1866 231 x 151 cm - Huile sur toile Kunsthalle, Brême "Déjeuner sur l'herbe" 1865 (daté de 1866) 130 x 181 cm - Huile sur toile Musée Pouchkine, Moscou "Femmes au jardin" 1866-67 255 x 205 cm - Huile sur toile Musée d'Orsay, Paris "Femme au jardin" 1867 80 x 99 cm - Huile sur toile Musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg "Plage de Sainte-Adresse, temps gris" 1867 75,8 x 102,5 cm

figure du grand éc¬rivain avait inspiré également V. Hugo et H. de Balzac. P. Mérimée possédait six langues avec leur littérature et leur his¬toi¬re: l’italien, le grec, le latin, l’anglais, l’espagnol, le russe. Il tra¬dui¬sait les oeuvres de Pouchkine, Gogol, Lermontov, Tour¬gueniev. En 1834, il est nom¬mé inspecteur des monuments his¬to¬ri¬ques, fonc¬tion qui lui va com¬me un gant, et qu’il remplira sans interruption durant 18 ans. Très con¬sciencieux, Mérimée par¬court la France de long en

Schiller, Don Juan (poème), 1797. E.T.A. Hoffmann, « Don Juan » (conte), 1813. Heiberg, Don Juan, 1814. Lord Byron, Don Juan, satire épique, 1824. Christian Dietrich Grabbe, Don Juan et Faust, 1829. Balzac, L'Elixir de longue vie, 1830. Alexandre Pouchkine, L'Invité de pierre (« petite tragédie »), 1830. Musset, Namouna (poésie), 1832. Prosper Mérimée, Les Ames du Purgatoire (nouvelle), 1834. Alexandre Dumas père, Don Juan de Marana ou la chute d'un ange (théâtre), 1836. José de Espronceda, Don

Juan qui vit le jour sous la plume du dramaturge espagnol Tirso de Molina, fut maintes fois repris après Molière, donnant son nom à la pièce de Goldoni, à l’opéra de Mozart, à la nouvelle d’Hoffmann, au poème de Byron, inspirant encore Baudelaire, Pouchkine, Shaw, Brecht, Montherlant, et bien d’autres auteurs de par le monde. C’est véritablement un mythe littéraire, dépassant largement le simple fait du don juanisme, que les critiques ont tenté d’expliquer par l’histoire, la sociologie, l’anthropologie

française n'est qu'un des aspects tardifs d'un mouvement bien plus général, qui s'est fait sentir dans l'Europe. Comme la France, l'Angleterre, l'Allemagne, la Russie ont eu leurs romantiques, et au nom de Hugo répondent ceux de Byron, de Novalis et de Pouchkine. L'art pictural n'est pas moins concerné que la littérature avec Delacroix, David d'Angers, et la musique avec Berlioz, Wagner. Baudelaire a proposé sa définition du romantisme au Salon de 1847 : « Le romantisme n’est précisément ni dans le choix

troisième prix de Chant/chorale/direction de chœur à Paris. Mérimée aimait le mysticisme, l’histoire et l’inhabituel. Il a été influencé par la fiction historique popularisée par Walter Scott et par la cruauté et les drames psychologiques d’Alexandre Pouchkine. Les histoires qu’il raconte sont souvent pleines de mystères et ont lieu à l’étranger, l’Espagne et la Russie étant des sources d’inspiration fréquentes. Une de ses nouvelles a inspiré l’opéra Carmen. Après avoir fait ses études de politique,

opposées du réalisme et du fantastique, il n’est guère de thèmes qu’elle n’aborde, guère de tons qu’elle n’emprunte. Au reste, son prestige ne se limite pas à la France : en témoignent, entre autres, Hoffmann, Edgar Poe, Henry James, Herman Melville, Pouchkine, Gogol,Tchekhov, et bien d’autres. Il convient enfin de rappeler que c’est au cours du xixe siècle que sont proposées les théories les plus élaborées du genre, d’abord en Allemagne (Goethe, qui fonde avec Novelle (de) (Nouvelle) le modèle du genre

éternelle se sont donné la mort: Jean-Pierre Duprey, André Frédérique, Roger Milliot, Gérard Neveu, Roger Arnould-Rivière, Philippe Salabreuilh... La liste des poètes maudits serait encore longue - Verlaine, Lautréamont, Dino Campana, Alexandre Pouchkine, William Blake, Blaise Cendrars, Antonin Artaud, Charles Albert Cingria, Claude Gauvreau, Beaudelaire, Edgar Allan Poe, Gaston Gouin, Carl Brouard, Magloire Saint-Aude, Ruben François, etc.1 Leur plus grand délit est d'avoir acquis malheureusement

(peinture) * Dom juan de austria par diego velasquez (peinture) * Poeme de Charles beaudelaire Dom juan conçut en tout premier par Tirso de molina, puis repris par la suite par villiers, doriman, moliere, corneille, da ponte, mozart, alexandre pouchkine, charles beaudelaire

Autoportrait du poète en adolescent ardent et voyageur V.1/11· Poème s’ouvre sur une remémoration, mélancolique· Locution prépositionnelle « En ce temps-là » + Emploie d’un imparfait de narrations => écart temporel entre le présent du poète et le passé· Tournure poétique « j’étais en mon adolescence » =>adolescence est tel à un pays qu’on traverse=> poète voyage dans sa mémoire comme il voyage dans l’espace· V.1 => Alexandrin : vers poétique traditionnel· Alexandrin =>modernisé par