Potes

avec Andreas alors qu'aucun système ne le permette, étrange. Suite à ça, Eric et Thierry essayent de convaincre Andreas d'arreter le jeu pour qu'il n'y arrive rien de plus grave encore mais Andreas est un fonceur, il continue à vouloir battre ses potes à l'Expérience Ultime. Un jeu qui permet de rentrer totalement dans la peau de la guerre civile espagnole de 1936-1939 entre les fascistes et les Républicains. Parallèlement à cela, on apprend que Eric est amoureux de Elena, d'origine serbe et on sait

gendarmerie ou encore l’armée. Ils ne sont d’accord avec aucune de ces institutions. Avec ce couplet, on voit déjà le thème principal, qui est l’antimilitarisme, un peu ressortir. Dans le second couplet, on découvre la vie de Renaud. Il se dit entouré de potes écolos en Ardèches. Ils retapent une veille maison et travaillent quand ils veulent dans leur ferme. Ces lignes nous montre bien l’importance de la liberté pour Renaud. C’est donc un autre thème important de la chanson mais toujours lié au premier

de se préparer. Rejoint son époux .Mr et Mme Will referment la porte doucement histoire de ne pas réveiller les enfants. Séquence 6/INT/CHAMBRE DE JADEN/NUIT (jaden) Apres le départ de ses parents jaden se mit a envoyer des textos a tout ses potes, pour leur fait part de la nuit de branlette. JADEN : Oh my god, La !la !la !la !la !la !la Jaden chante de sa chambre jusqu’au salon Séquence 7/INT/SALON/NUIT (jaden) 7 JADEN :La !la !la !la !la !la !la ,La nuit des branlettes (*3)

 j’étais un peu timide avant cet accident mais  une fois mon renfermement sur moi même, je suis devenu bien pire que ça… Je parlais  rarement à ma mère, une fois que je rentrais de l’école, j’allais dans ma chambre, et j’allais sur  le PC. Heureusement que j’avais les potes de primaire qui étaient dans le même collège/lycée  que moi, ce qui me permettait d’oublier cet accident et de passer de bons moments avec eux.  Et c’est encore comme ça maintenant, je vis chez ma mère, et je la vois que 2 ou 3 fois par  jours, juste pour un bonjour

sur le quai de la gare, Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard. Les trains démarrent souvent au moment où l'on s'y attend le moins, Et l'histoire d'amour t'emporte sous l'œil impuissant des témoins, Les témoins c'est tes potes qui te disent au revoir sur le quai, Ils regardent le train s'éloigner avec un sourire inquiet, Toi aussi tu leur fais signe et tu imagines leurs commentaires, Certains pensent que tu te plantes et que t'as pas les pieds sur terre, Chacun y va

frappant le coeur avec un cri sauvage, Il pousse dans la nuit un si funbre adieu, Que les oiseaux des mers dsertent le rivage, Et que le voyageur attard sur la plage, Sentant passer la mort, se recommande Dieu. Pote, cest ainsi que font les grands potes. Ils laissent sgayer ceux qui vivent un temps Mais les festins humains quils servent leurs ftes Ressemblent la plupart ceux des plicans. Quand ils parlent ainsi desprances trompes, De tristesse et doubli, damour et de malheur, Ce nest pas un concert

sur le quai de la gare ? Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard ? Les trains démarrent souvent au moment où on s'y attend le moins Et l'histoire d'amour t'emporte sous l'oeil impuissant des témoins Les témoins c'est tes potes qui te disent au-revoir sur le quai Et regardent le train s'éloigner avec un sourir inquiet Toi aussi tu leur fait signe et t'imagines leurs commentaires Certains pensent que tu te plantes et qu't'as pas les pieds sur terre Chacun y va de

autres : « Quand tu n’es pas autonome, tu passes plus de temps à attendre qu’à faire les choses. Un bon patient sait patienter. » (p.56) D’où l’importance des liens qui se créent avec les autres patients « Ici, on est potes parce qu’on n’a pas le choix…On a intérêt à devenir potes. Ça rend le séjour un peu plus agréable. » (p.58) Il prend conscience que le fait d’être handicapé change le regard que les autres portent sur soi et que pour beaucoup il se réduit seulement à ce statut de personne handicapée

ouais tu crois ? Ca fait deux ans que je supporte ta face « d’homme à femme », que je doit entendre toutes les conneries que tu débitent toutes les 5 minutes, je te répond a chaques fois de la même manière tu devrais t’y faire non ? Je regardais ces potes, puis lui. Zac, le charmeur de ses dames par exellence. Vous savez, c’est le gars de votre bahu qui fait tomber toutes les filles par terre quand il marche dans les couloir, qui parles des filles comme si elles etaient des objets embulant, qui couche

scènes ouvertes des petits bars parisiens pour partager ses textes a cappella, dans la plus pure tradition slam. Il remporte les premiers grands tournois de slam (Bouchazoreill’ à la Boule Noire puis au Trabendo, Slam United à la Java…) 2004 Avec ses potes John Pucc’ Chocolat et Ami Karim, il anime Slam’Alikoum, les soirées slam mensuelles du Café Culturel de Saint-Denis. Avec John Pucc’, Droopy et Techa et les 129H, il forme « Le Cercle des Poètes sans Instru » pour une création de poésie urbaine que