Potes

Le fils( les yeux rieurs)  : Quoiiii ? Mais c’est n’importe quoi p’pa. Et puis de toute façon , ce que je dépense tu sais bien que c’est à chaque fois pour une bonne raison ! J’exagère jamais ! Soit c’est pour un anniv , soit pour un repas avec des potes dehors , parce que la cantine c’est vraiment pas mon truc et en plus la nourriture est plus que limité si tu vois ce que je veux dire . Je ne fume pas , je ne bois pas , dit toi que tu devrais débourser beaucoup plus si tu avais conçu un fils comme

qui il aurait tant voulu passer plus de temps. Mais voilà c'est passé et on ne peut rien changer : "Mais la nostalgie tu sais Autour de quarante balais Quand ca t'chope Ca t'donne envie d'te r'tourner Sur toutes ces journées ratées Sans tes potes" ("Les dimanches à la con") Ensuite, en 1994, avec "Le sirop de la rue", Renaud sort du domaine de la famille afin d'orienter ses mots vers l'époque de son enfance. De cette enfance il retiendra deux choses : Tout d'abord, il se plaît à rappeler

commence sa descente aux enfers. Il commence à boire, il perd son travail, ses amis et par la suite son logement. Il se retrouve donc à la rue comme de nombreuses personnes à Paris. La galère et la misère deviennent son quotidien. Ainsi que pour « ses potes de galère » comme Titi, qui meurt seul dans le métro parisien face à l’indifférence la plus totale de tous. Rico est terriblement attristé par la perte de son seul véritable ami et se raccroche au plus heureux souvenir qu’il ait : son amour de jeunesse

interfère avec le management et la gérance d’entreprise. Par ailleurs il sera reconnu pour son étude sur la culture d’entreprise en 1971 chez IBM qui mettra en relation l’aspect culturelle et social dans un groupe de travail. Après cela il occupera des potes dans le secteur des ressources humaines pour de grosses compagnies. Il enseignera comme professeur de gestion, d'anthropologie des organisations et Management International. Il deviendra aussi en 1980 co-fondateur et premier directeur, l'IRIC (Institut

plastique" en revanche les faux sourires par "des coups d'hashtag" donc la pressions de se donner une autre image de sois mêmeLe refrains montre la solitude que l'on pourrait ressentir lors de cette addiction car finalement on ne différencie pas les "potes" et les "followers" c'est vu comme une "erreurs" donc se tromper. Finalement on voit que tout cet inconvénient on un impacte dans la vie amoureuse ou même familial du poète il met donc en garde le lecteur en s’adressant grâce au pronoms personnels

Puis c’est le fracas de la réalité. Et le retour à la vie normale comme si de rien n’était… ou presque. mouchoirs8.jpg Guillaume Canet nous immerge alors dans la vie de ces amis au Cap-Ferret avec la volonté délibérée de faire « un film de potes » comme il le dit lui-même. S’il évoque notamment « Mes meilleurs copains » de Jean-Marie Poiré, en inconditionnelle du cinéma de Claude Sautet, j’ai évidemment plutôt pensé à « Vincent, François, Paul et les autres ». D’ailleurs, Benoît Magimel s’appelle

les vendredis soirs après les cours. En plus le parrain de Benjamin est le patron du bar, c'est un petit avantage, on avait des réductions sur les consommations. Après avoir bu une bière chacun, c'est l'heure pour moi de faire mes au revoirs à mes potes car je part samedi, et eux partent tout les deux en vacances demain. « Bon, Benji, Sulli, c'est la dernière fois qu'on se voit avant les prochaines vacances d'étés » « T'inquiètes pas pour ça, on t'accueillera les bras ouverts à ton retour »

bien, il fait beau et je suis content La journée commence bien, il est instruit, il reçoit de l’affection et il débute l’adolescence. En pleine forme, plein d'envie et juste ce qu'il faut d'insouciance Je commence à me la raconter, j'ai plein de potes et je me sens fort Je garde un peu de temps pour les meufs quand je suis pas en train de faire du sport Sa vie va très bien, assez remplie par les sports, il a plein d’amis et il est en pleine forme. Il trouve que la vie passe trop vite. Emploi du

sers-moi de l’eau », car une faute d’inattention peut arrivée. Malgré tout la cantine est un moment agréable. La cafétéria : Pour Fabien cette cafétéria est normale, c’est là où ils s’occupent quand ils ont du temps libre, mais quand sa famille ou des potes viennent le voir, il voit bien que pour eux ce n’est pas une cafétéria normale, puisqu’il y a différentes pathologies comme des gens amputés qui se promènent en short, des personnes brûlées enroulées dans des bandages. Pour ceux qui vivent là bas ou

ne nous a jamais séparés et ce n’est pas maintenant que ça va commencer, dis-je pour les rassurer. Nous continuons de manger tout en arrêtant de parler de Sharon. On finit par programmer une virée au squatte parc pour se faire un bon délire entre potes comme d’habitude. Néanmoins dans ma tête, je pense beaucoup à elle et pour arrêter d’être focaliser sur elle, je dois trouver un moyen de l’oublier. Le repas terminé, je me rends à mon prochain cours avec Craig, quand soudain Camille, la meilleure