Position schizo-paranoïde

Trouble psychotique partagé (folie à deux) • Trouble psychotique induit par une substance • Trouble psychotique non spécifié • Trouble psychotique du à LA SCHIZOPHRENIE HISTORIQUE et DEFINITION • Terme proposé par Eugène Bleuler en 1906 • GREC « schizo » et « phrénos »: « je sépare » et « l’esprit » • Remplace la « démence précoce » de Kraepelin • Ensemble de troubles caractérisés par une altération de la vie psychique et du dynamisme vital. • Pathologie hétérogène du point de vue des symptômes

A. Le Gall a classé les pathologies du père en quatre groupes : - Le groupe schizo-processif : Le père rigide, introverti ou démissionnaire induit chez la mère une conduite irréaliste, paranoïde, à la fois dominatrice et douloureuse. La conséquence est pour les enfants la gêne ou le blocage de leur communication avec leur famille et, par extension, avec le monde. - Le groupe obsessif-dépressif-paranoïde: Le père autoritaire, hypercritique, obstructif, désire, en raison de sa réussite personnelle

Parmi les facteurs qui sont à l'origine de la compulsion de répétition, on trouve les situations d'angoisse qui proviennent de nos toutes premières expériences. Il s'agit d'angoisse persécutrices et dépressives (cf. Mélanie Klein "Position schizo-paranoïde et position dépressive), et de sentiments de culpabilité qui nous obligent à répéter encore et toujours une certaine conduite envers nous-mêmes et les autres pour nous défendre contre ces dangers fantasmés au début de la vie. Evidemment on est

notions autour de la précocité des premiers mouvements œdipiens et a cherché à rendre compte de la complexité de la vie fantasmatique des petits enfants.  A partir des années 30, elle proposera les concepts ( qui lui sont propres) de position schizo-paranoïde et de position dépressive pour décrire les rapports entretenus par l'enfant avec ses objets d'amour. Mère d’une famille de trois enfants, divorcée, elle aura été analyse en 1917 avec Sandor Ferenczi à Budapest puis en 1920 avec Karl Abraham qui

primale envers une mère frustrante, et généré la fixation au stade oral (H.Segal). Munch eut une relation de plusieurs années avec une jeune fille nommée Milly Thaulow. Il fut alors sujet à des délires paranoïdes contenant des thématiques de jalousie et de persécution, ainsi que des épisodes hallucinatoires. Notons que Milly était femme et fille de militaire. Munch monta un système représentationnel dans lequel les

qui pèsera lourdement sur le futur adulte. La normalité n’est pas prédictive. Un enfant malade ne sera pas forcément un adulte malade (p.ex. un enfant hyperactif). La psychanalyste Mélanie KLEIN, affirme l’existence d’une position schizo –paranoïde mais dans une phase de développement normal. C’est pour elle une phase maturative pour un développement psychologique chez l’enfant. La différence entre le normal et le pathologique sera l’intensité et surtout des l’intensité pulsions

Etat de dépendance et d’impuissance Appels dirigés vers la mère et premières interactions L’enfant se représente ses états internes Possibilité de tolérer une frustration modérée/ un manque KLEIN Position schizo- paranoïde : Clivage du bon et mauvais objet/ clivage du Moi Position dépressive : Bon et mauvais objet = objet total / Moi total Angoisse de perte et sentiment de culpabilité Enfant capable de tolérer la perte de l’objet idéal par la répétition de satisfactions SPLITZ

: dans la constitution même de la personne. Cela rend difficile l'accès à l'indentité, à l'autonomie et donc au détachement. On parle d'une angoisse de morcèlement, de difficultés à être unifié soi-même. Mélanie Klein : 1ère position : Schizo-paranoïde 2ème position : Dépressive Au début, l'enfant pleure et sa mère vient le voir : C'est une bonne mère puis, l'enfant va pleurer mais la mère ne viendra pas toujours tout de suite le voir : C'est la mauvaise mère. On observe ici une relation

Kestemberg et al. (1994) émettent l’hypothèse selon laquelle le père par son attitude séductrice induirait en partie l’émergence de l’anorexie. Cette hypothèse vient appuyer l’idée plus ancienne de Jeammet (1985), pour qui, le père replié dans une position paranoïde présenterait des comportements de séduction ou bien de maternage envers la jeune fille. Le processus anorectique Formes d’angoisse : La réactualisation, à l’adolescence, du conflit oedipien dans sa dimension génitale, amène avec elle

discours de la famille a sa naissance. Ce désir d’enfant est conditionné par l’histoire singulière de ses parents. Devenir parent entraine des modifications, des bouleversements. C'est plus ou moins intense, inconscient. On parle de réaménagement des positions identitaires. (Comment on se défini, comment on se perçoit..). Françoise Dolto disait que «  tout enfant est adopté » car il faut l’accepter tel qu’il est, pas comme on l’a imaginé. Certaines femmes, après l’accouchement, même après avoir attendu