Portrait Physique De Rastignac

Le double portrait du Père Goriot. Éléments de situation (pour un oral) Un extrait du Père Goriot, roman daté de 1833, avec lequel Balzac installe la veine du roman réaliste. Les 2 extraits appartiennent au début du roman, nous sommes encore dans la fonction informative de l’ouverture, dans la pension Vauquer. Il s’agit de la présentation du personnage éponyme. Curieusement, ces 2 portraits ne sont espacés que de qq pages, et de qq années. Ils témoignent de l’histoire récente du PG, et

héros admirés de tous. On y suit l'histoire d'un personnage Rastignac, qui cherche à atteindre la haute-société. Pour y parvenir, il sera aidé par divers personnages tels que le père Goriot ou encore Vautrin qui lui révèle cyniquement les rouages de la société ainsi que les moyens de parvenir à la puissance. Dans l'extrait qui nous est présenté, nous nous trouvons dans les premières pages du roman, Balzac nous fait le portrait de l'énigmatique Vautrin, juste après avoir décrit la pension

en trois temps : - quelques aspects physiques d’abord : « Entre ces deux personnages… ne déplaisait point »; - puis viennent les traits marquants de la personnalité : « Il était obligeant… tous els sentiments »; - enfin, les habitudes de vie : « Ses mœurs consistaient… au dessert ». Donc trois angles d’observation ont été choisis, trois approches tout à fait logiques et bien propres à faire le tour du personnage : le physique, la personnalité, les occupations. II

spectacle le portrait débute avec «  la veuve se montre » et il finit par «  quand elle est là le spectacle est complet » → tout n'est qu'apparence mensonges et faux semblants phrase de transition : Un personnage romanesque peut tirer sa cohérence de divers éléments: portrait, paroles rapportées , retour dans le passé, focalisation interne , actions, réactions des autres , etc Ici Mme Vauquer se trouve condamner avant même que le récit commence pat l'omniscience du narrateur . Son portrait s'organise

Vautrin La puissance corporelle :       Vautrin est d’abord un homme impressionnant par son apparence physique, qui rend immédiatement perceptible sa force et laisse deviner un passé intensément vécu.       La force du personnage est manifeste dès l’expression initiale, « Vautrin, l’homme de quarante ans », qui dénote la plénitude de la maturité, en contraste avec Eugène et Victorine, qui sont de tendres jeunes gens, presque adolescents, et avec Poiret et Goriot, tous deux sur le déclin de

auteurs réalistes su 19e siècle, comme Flaubert, Zola ou encore Maupassant, s’attachent à décrire avec exactitude et précision la réalité qu’ils peuvent observer. C’est pourquoi la présentation des personnages ou des lieux entrainent de nombreux portraits très détaillés, les reliant ainsi à leur caractère ou leur milieu social. Balzac est également un de ses grands auteurs du courant Réaliste. Honoré de Balzac est né à Tours en mai 1799 et meurt à Paris en aout 1850, laissant derrière lui une œuvre

en pleine mutation (Julien Sorel dans le Rouge et Le Noir, Rastignac dans Le père Goriot.) 1 Les Amis de la Langue Française http://alf.asso-web.com Milieu 19ème, apparaît le courant réaliste : mettre en scène la société du 19ème et les différents types d’individus qui la composent. Etre romancier, c’est être « docteur en sciences sociales » (Balzac). Fin 19ème, le roman naturaliste met l’accent sur les déterminismes physiques et sociaux qui façonnent les êtres et leurs vies. Les personnages

Le portrait de Vautrin Situation Ce portrait se trouve dans la première partie du roman Le père Goriot, il prend place logique dans le cadre de la présentation très complète des lieux et des personnages. Après avoir décrit la pension, le narrateur nous promène dans une véritable galerie où figurent la propriétaire Mme Vauquer, qui deux séries de figures groupées, la vieille demoiselle Michonneau avec Poiret, qui se ressemblent, et Victorine avec madame Couture sa gouvernante. Voici à son

jeune malheur ressemblait à un arbuste aux feuilles  » à «le cri de douleur exprime encore l’amour » Balzac fait, dans le père Goriot, le portrait de la paternité. Goriot est le Christ de la paternité. Délaissé par ses deux filles qu’il adore, il finira par mourir abandonné d’elles dans le dénuement le plus total. Avant même que l’auteur introduise le portrait des deux filles de Goriot, il fait celui d’un contre-exemple, la fille abandonné du père, qui vit dans une misère forcée par le désintérêt

faire le portrait du héro avec des symbole : épervier et Napoléon d’un côté, image favorisante ; de l’autre côté le paon, image dévalorisante Conclusion : Les deux textes ont beaucoup de point communs : ils sont plutôt réalistes est décrivent la société contemporaine à travers le portrait d’un jeune homme ambitieux. Mais on observe des nuances : les modalités de la narration sont différentes et il est plus difficile de s’identifier à Gil Blasme car l’écrivain Lesage de brosse pas le portrait d’un