Porte-drapeau

2) L'artiste met en scène la liberté, en représentant la femme brandissant le drapeau de la France, 3) Les personnages de cette scène appartiennent à la bourgeoisie, au civil et à la modestie. 4) La femme dont la poitrine est dénudée est vêtue d'une robe jaune et d'un bonnet phrygien. Elle se trouve en hauteur au centre de la scène ce qui la met en valeur, pointant vers le ciel sa main droite tenant le drapeau de France et dans sa main gauche un fusil à baïonnette. 5) La violence de

décombres. Ce que l’on remarque en premier sur le tableau c’est une femme, Marianne, dressée sur l’entassement des corps, portant des symboles de la France. Elle porte un bonnet phrygien (repris en France au début de l’été 1790 comme symbole de la liberté et du civisme. Ce bonnet devient le symbole de la révolution française) et le drapeau tricolore (emblème de la France). Quatre autres personnages se distinguent particulièrement : deux enfants plutôt pauvres, l’un coiffé d’un bonnet s’agrippant aux

Cocarde : Avant d'être drapeau, le tricolore fut cocarde. La Fayette, raconte dans ses Mémoires que, trois jours après la prise de la Bastille, il obligea Louis XVI se rendant à l'hôtel de ville de Paris, à porter la cocarde tricolore, le blanc représentant la monarchie, le bleu et le rouge, la ville de Paris, signe de « l'alliance auguste et éternelle entre le monarque et le peuple ». Le succès de la cocarde tricolore, symbole du patriotisme, est alors assuré. 2) Le Drapeau : Son origine reste

reproduction d’une affiche anglaise publiée en novembre 1914. Elle critique la situation géopolitique de l’Europe à cette époque en représentant les grandes nations européennes par des animaux (dogue à l’Union Jack pour le RU, caniche au bonnet phrygien et drapeau tricolore pour la France, teckel au casque à pointe pour l’Allemagne, ours et tsar pour la Russie). L’Europe est donc en guerre et après quelques mois de guerre de mouvements, les fronts sont en cours de stabilisation.  II. Décrire et expliquer

insignes aux couleurs nationales revêtus d'un emblème quelconque ; Ce faire, attendu, d'une part, qu'il résulte des termes mêmes de l'arrêté attaqué, que tout en visant l'art. 99 de la loi du 5 avr. 1884, le préfet de l'Herault a entendu „maintenir au drapeau de la France son caractère national" ; qu'en agissant ainsi, il a empiété sur les pouvoirs réservés au législateur et au Gouvernement par le décret du Gouvernement provisoire du 7 mars 1848, lequel a déjà réglé la matière ; qu'au surplus, aucun motif

y voit une jeune femme, le crane rasé, avancer au milieu d'une foule qui la regarde en souriant. Elle porte dans ses bras un bébé et n'a d'yeux que pour lui. Dans ces deux œuvres, on voit une ou plusieurs femmes tondues, défilant dans les rues sous les railleries de la foule. Aucune personne ne prend leur défense, tout le monde est contre elles. On voit des symboles de la Liberté comme le drapeau français ce qui nous prouve qu'elles représentent la même période. 6 – CONCLUSION Grâce à son court

| Emblème national de la 5ème république, le drapeau tricolore est né de la réunion sous la révolution française. Déplus il est déployé dans la plus part des cérémonies. | | Le porte-drapeau de la fête civique. A l’automne 1790 l’assemblé constituant décide de mettre une couleur à tout le matériel de guerre. | | En 1792, à la suite de la déclaration de guerre du roi en Autriche, un officier de police en poste à Strasbourg dans la nuit du 25 aux 26 chants de guerre pour l’armé

(anneaux, drapeau, devise, serment, hymne, flamme…). Ces symboles permettent de transmettre un message de façon simple et directe. Ils donnent au Mouvement olympique une identité. Nous rencontrons les valeurs et leurs symboles pendant les Jeux Olympiques mais en dehors de cet événement, les efforts continuent. Education aux Valeurs Olympiques 2005/Idéal Olympique et Symboles/Fiche pédagogique 4 CDOS76/IA76/USEP76 DES SYMBOLES AU SERVICE DES VALEURS OLYMPIQUES Les anneaux et le drapeau olympiques

Le président Charles de Gaulle (1958-1969) pose debout dans la bibliothèque et de trois quart. On ne sourit pas : l'instant est solennel. Il porte l'habit de cérémonie avec des épaulettes et des boutons en métal, le collier de l'ordre de la Libération et le cordon avec la plaque de la Légion d'honneur. Le président s'appuie sur deux livres, la Constitution de la Vème République (1958) et l'Histoire de l'armée française. A travers ce portrait, il montre qu'il est le père et le garant de la Constitution

Dietrich, le maire de la ville. Ce chant est appelé « Marseillaise » car il a été repris pas des fédérés de Marseille participant à l'insurrection des Tuileries. Ce chant devient l'hymne officiel en 1887 sous le IIIème République. Le drapeau tricolore : Sur ce drapeau la couleur blanche représente la monarchie, le bleu et le rouge, la ville de Paris, signe de « l'alliance auguste et éternelle entre le monarque et le peuple ». Celui-ci devient pavillon nationale le 15 février 1794. On peut le voir