Ponge Et La Poésie Moderne

rayonne I il jette sa flamme Sur l'éternelle vérité ! Il la fait resplendir pour l'âme D’une merveilleuse clarté. Il inonde de sa lumière Ville et désert, Louvre et chaumière, Et les plaines et les hauteurs ; A tous d'en haut il la dévoile ; Car la poésie est l'étoile Qui mène à Dieu rois et pasteurs ! -Le poète est un intermédiaire entre Dieu et les hommes. La Fonction du poète est un poème certes didactique, mais possédant une force intérieure, une puissance évocatrice, par la profusion des images

ou pour être plus exacte de culture personnelle était très variable dans la classe. Je n’avais jusque-là eu à travailler que la poésie du 19ème siècle, les noms d’André du Bouchet ou de Philippe Jacottet m’étaient donc totalement étrangers. J’ai choisi ce thème dès que nous avons eu la liste des exposés possibles. J’avais lu une première fois les deux œuvres, et la poésie de Du Bouchet m’apparaissant plus opaque et le thème du corps étant un des thèmes récurrents de la littérature, mon choix fut très

poème Fenêtre sur cours de Raymond Queneau (cf. Fenêtres en poésie p. 38) qui évoque essentiellement des perceptions auditives. Références au film : « les cris des radios/ l’ânonnement des téléviseurs (...) les soixante-dix degrés Farenheit/ que marque le thermomètre ». • L’inversion du public et du privé dans Playtime de Tati (1967) : les fenêtres deviennent des vitrines qui exhibent l’intimité au regard des passants ; satire d’une société moderne, toute en apparence, qui, n’ayant rien à cacher, néglige

6 : Etude d’une section dans un recueil « Tableaux parisiens » in Les Fleurs du mal de Charles Baudelaire Objet d’étude : Poésie et quête du sens ------------------------------------------------- Problématique : Quel regard le poète porte-t-il sur la ville et les hommes qui y vivent ? Quel(s) tableaux(x) de Paris représente-t-il et quelle fonction assigne-t-il à la poésie ? I. Lectures analytiques : 1. « Paysage » 2. « Crépuscule du soir » II. Pour l’entretien : Etudes d’ensemble

« le premier ordre » (les citoyens qui font partis de l'Elite). C'est un mouvement culturel à la recherche permanente de la perfection, dans la forme, le style mais aussi le thème. Le Classicisme est très codifié obeisant à des règles très strictes (poésie, théâtre), est à la recherche permanente d'harmonie (= recherche de la perfection) malgré une censure très présente, et enfin comme moyen de critiquer les courtisant. Louis XIV, qui déteste la cour, se servira de cette art comme un outil politique

le mot poésie vient du verbe grec poiein qui signifie "produire", "créer". Le poète se donne un pouvoir d'invention et de création verbale en exploitant toutes les ressources de la langue. La poésie est un travail sur les mots, un art du langage qui en explore toutes les ressources et vise à exprimer ou suggérer quelque chose, en jouant sur les sonorités, le rythme, la musicalité. A l'origine, la poésie était chantée accompagnée d'une lyre, ce qui a donné naissance à la notion de poésie lyrique

de Dieu (=objectif qu’il cherche à atteindre : « n’ai jamais connu » v24) (« Infini » allégorie v24) (perfection divine)Conclusion :· Le poète pardonne tout à la Beauté car elle l’arrache à l’ennui du Spleen pour le mener à l’Idéal. Baudelaire est moderne car, ici, la beauté n’est pas classique (gentille, angélique, parfaite) : c’est une « fleur du mal ». L’auteur s’amuse avec les clichés littéraires : tout est exagéré.· Ouverture : La Beauté de Baudelaire, décrit une beauté supérieure et calculatriceIII

à mort, etc. En état de légitime défense. Il faut qu'à chaque tour de roue la nudité gagne. • Alors (c'est logique): "tout doit disparaître". Tout, de A à Z, le bruit du feu en continu. L'incendie du grand dictionnaire. Le travail épuisant de la poésie ( histoire, philosophie, encyclopédie, tout devrait y passer). Et le même de poursuivre à la fin de "The Poet" : Pour : gagner le fond, cracher Dieu, marcher vers un arbre, crever l'écran, lécher le sexe jusqu'au bout, tenir la ligne droite

1949. * ** Poème en prose qui se situe d’emblée, par son titre, dans le registre merveilleux (une « mitrailleuse à gifles » n’existe pas ; elle n’est même pas concevable). Le ton en est violent, ce qui s’oppose à la conception conventionnelle de la poésie lyrique comme étalage de bons sentiments (v. questions 1 & 2) mais surprend moins si l’on se rappelle certains Petits Poèmes en prose de Baudelaire (« Le Joujou »), par exemple. Une des différences avec Baudelaire, c’est que l’objectif du poète n’est

comme modèle de perfection physique, intellectuelle et morale. Le roman: Gargantua, Pantagruel de François Rabelais L'Heptaméron de Marguerite de Navarre. Le théâtre: Eugène , Cléopâtre captive d’Etienne Jodelle Les Juives de Robert Garnier La poésie: Défense et illustration de la langue française, Regrets de Joachim du Bellay Amours de Cassandre de Pierre de Ronsard Les réflexions et les essais : Essais de Michel de Montaigne La peinture : La Joconde de Léonard de Vinci LE BAROQUE Dans