Polyculture

Lors de mon stage BTS ACSE, M et Mme Delrieu m’ont accueilli au sein de leur exploitation de type polyculture-élevage bovin viande. Cette exploitation familiale est située en Ariège, dans la vallée de l’Arize, sur la commune des Bordes sur Arize. M Delrieu, a repris avec son épouse en 1974, l’exploitation familiale de ses parents. L’exploitation s’est alors considérablement agrandie passant de 35 ha à 300 ha SAU mais aussi spécialisée en vaches gasconnes laissant de côté l’activité ovine

possédaient pas la terre, ils la louaient. Elles appartenaient aux seigneurs auxquels les tenanciers payaient une rente soit en nature – c'était alors un métayer – soit avec de la monnaie – c'était alors un paysan. Les tenanciers pratiquaient la polyculture vivrière, pour subsiter à leurs besoins. Ils vivaient pratiquement en autarcie économique. Ce n'est pas un consommateur car il n'achète rien, il n'est pas prolétaire non plus. Ainsi, le marché extérieur était très réduit. Puis, les seigneurs

-l'ensemble de la façade méditerranéenne est concernée par les déboisements, les terrassements, les travaux de drainage comme en Camargue et dans les bouches du Pô, les travaux d'assèchement des marais aussi. En irriguant, on peut pratiquer la polyculture. - partout les hommes conquièrent les vallées et les pentes et aménagent les versants plus ou moins abrupts pour les mettre en culture. D'ailleurs le nombre de petites terres paysannes, les "alleux" progresse ce qui montre la création de

durant les guerres puniques, la concentration de la propriété foncière (provenant souvent de confiscations) entre les mains d'un petit nombre, le développement de l'élevage ou de monocultures « spéculatives » (vigne, oliviers) au détriment de la polyculture céréalière expliquent, avec l'extension des latifundia, le besoin de main-d'œuvre servile en Italie et en Sicile. Cette dernière se trouve en dehors des cadres civiques ; elle est en outre plus stable, puisqu'elle échappe aux mobilisations comme

une mosaïque de petites parcelles renforcée par la révolution française qui renforce la petite et la moyenne propriété. On a une division du territoire national en région ( à peu près 10) et chaque région est presque autonome car on pratique la polyculture ce qui maintient certaines espèces végétales. Exemple : dans toutes les régions françaises il y a des vignobles. Les régions ont quand même des disparités. Nuit du 4 aout 1789: abolition des privilèges: tout est confisqué. Il y a une redistribution

de l'intensivité, qui devait améliorer la sélection et le rendement laitier de la chèvre. La politique agricole fige les « exploitants agricoles » dans leur fonction de production, voire de surproduction. La fin des paysans, liée à celle de la polyculture remplacée par la spécialisation a précipité et amplifié le mouvement de concentration caprin et de confinement des animaux en ateliers intensifs. Ainsi selon "La Chèvre" n°201, mars avril 1994, « en Poitou-Charentes, région qui, avec 260 000 chèvres

au cœur de cette région, se consacre à des services et une industrie agro-alimentaire. On y construit aussi du matériel agricole, et des chariots de levage. Au centre, un espace polarisé par la capitale Le centre de la Moldavie est un espace de polyculture. Chisinau, la capitale, fondée au XVème siècle, est un centre universitaire depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Elle possède des centres de recherches sur l’énergie solaires, les membranes, les filtres pour jus de fruits, et des usines

décline lentement les machines agricoles, moissonneuses et batteuses à vapeur sont rares (présentent surtout dans le Nord et dans le Bassin parisien)bien que multipliée par 6 entre 1886 et 1913, la consommation des engrais reste très faible La polyculture familiale, tres orientée vers l’autoconsommation, reste prépondérante, et l’exploitation moderne capitaliste marginale (liée aux industries de l’alimentation: sucreries de Picardie et meuneries d’Ile de France) Les rendements restent inférieurs

lors d’une insurrection royaliste, subira une féroce répression... Au XIX e siècle, on construit l’Hôtel de Ville et la halle. L’Isle-Jourdain était un centre naturel important de commerce agricole : blé en particulier. Peu d’industries mais de la polyculture qui dès la deuxième moitié du XXe siècle se spécialisera dans les céréales et les oléagineux (tournesol, soja, colza, lin) au détriment de la vigne et de l’élevage. Isle Jourdain aujourd’hui : carte et photo satellite | | Source : GoogleEarth

climatiques sont difficiles) On remarque aussi que la révolution verte a été bénéfique au grand fermier, les petits exploitants ont été exproprié. Cette révolution a eu des effet sociaux pervers : augmentation de la vulnérabilité des paysans (polyculture remplacé par monoculture), aggravation des inégalité foncières. Il y a aussi eu des conséquence sur l'environnement, a cause de l'utilisation intensive de pesticide. cependant c'est le modèle des années 70. La lutte contre la pauvreté rural devient