Poesie Representation Du Reel

œuvre se divise en deux parties. Premièrement, il y a ses propres créations littéraires dont le style majeur est la poésie. Deuxièmement, du à son rôle de professeur, il publie aussi des critiques littéraires. Ainsi, il opère une double vision sur l'art qu'est la poésie. Car, d'une part, il la crée lui-même, donc il a une expérience vécue avec la poésie, en tant qu'il a fait l'épreuve de l'écriture. Et d'autre part, il pose sur elle un regard extérieur, non pas seulement en termes

l'adaptation d'un texte sacré par un athéiste communiste. Malgré l'impiété avec laquelle j'envisage la liturgie, il est évident que la Bible reste un texte évocateur et intense. Il me semble qu'en ses qualités, il est intéressant d'étudier cette représentation. "je ne crois pas que le Christ soit le fils de Dieu, parce que je ne suis pas croyant, du moins consciemment. Mais je crois que le Christ est divin : autrement dit, je crois qu’en lui, l’humanité est si élevée, si rigoureuse, si idéale qu’elle

et les formes poétiques médiévales à travers des ballades, des comptines… On peut donc se demander en quoi la poésie moderne illustre cette citation médiévale : « Qui chante son mal enchante ». On verra dans un premier temps que dire son mal peut être beau, enchanteur, mais en seconde partie que l’expression du mal ne l’est pas forcément, en synthèse nous verrons en quelle mesure la poésie moderne qui traite du mal peut faire la beauté de cet art. Un poème lyrique est par définition un poème

{text:soft-page-break} 4/ Le renversement de l’opinion opposée. L’œuvre d’art présente un côté technique dont on n’arrive à se rendre maître que par l’exercice. La fécondité du génie tient à une pensée cultivée qui lui fournit des sujets de représentations et à un exercice, un apprentissage, une expérience qui lui permette de maîtriser une matière plus ou moins dense, résistante. II Œuvres d’art et produits de la nature. 1/ L’opinion. Les œuvres d’art sont des produits humains et non divins

car c’est l’histoire humaine qui fait passer le réel à l’état de parole, c’est elle et elle seule qui règle la vie et la mort du langage mythique. Lointaine ou non, la mythologie ne peut avoir qu’un fondement historique, car le mythe est une parole choisie par l’histoire : il ne saurait surgir de la « nature » des choses. Cette parole est un message. Elle peut donc être bien autre chose qu’orale ; elle peut être formée d’écritures ou de représentations : le discours écrit, mais aussi la photographie

l’action plus vraisemblable. * L’unité d’action : les intrigues secondaires sont proscrites. Cela permet de concentrer l’intérêt dramatique sur le sujet principal de l’œuvre, de simplifier l’intrigue. * L’unité de temps : la durée de la représentation théâtrale doit coïncider avec la durée de l’action représentée. À la différence du théâtre baroque où les événements pouvaient s’étendre sur plusieurs jours, mois, voire plusieurs années, l’action des pièces classiques n’excède pas les vingt-quatre

: comme Jason, il entreprend un voyage pour obtenir la toison d’or qui sera, ici, le souvenir, avec l’aide de la chevelure, métonymie de la femme, qui représente elle-même Médée. Vers 5, Baudelaire réitère l’invitation au voyage, à travers la représentation du départ : « Je la veux agiter dans l’air comme un mouchoir ! ». Le voyage est permis par la chevelure, qui donne naissance à cette vision (v. 7 et 8). Ainsi, la chevelure est source d’évasion : elle éveille un monde de sensations et d’images

....................................................................................... 3 Piste 1 : Face à l’Histoire......................................................................................................................... 4 1. La poésie épique : de la matière légendaire à une métaphysique de l’histoire ......................... 4 2. Quelle responsabilité des poètes face aux désastres et crises de l’histoire ? ........................... 5 3. Mêler l’intime et l’historique : l’historicité

son sens et de sa valeur. Plan : I] L’art et le problème de la vérité 1) L’imitation du réel 2) La modification du réel II] L’art et le problème du beau. 1) Les critères du beau 2) Le jugement de goût Principales analyses : - l'esthétique - Art et la nature - Arts et représentations : Beauté esthétique/ Beauté adhérente(Kant) /Beauté libre - Platon : Imitation et représentation - Kant : L’opinion = Jugement déterminant Le gout = jugement réfléchissant - Aristote

ACTIVITES Etablissement : Lycée Condorcet, Saint Priest Nom du candidat : Classe : 1ère S3 Anthologie de la classe : D. Rincé, Français Littérature 1re, Nathan, 2007. Séquence n°1 : Variations sur le thème du carpe diem Objet d’étude et perspective La poésie : étude d’un lieu commun poétique. Convaincre et persuader dans le texte poétique Textes étudiés • • • • Textes et activités complémentaires Texte 1 : Ronsard, Ode à Cassandre, « Mignonne allons voir… » Texte 2 : Ronsard, Sonnet pour Hélène, «