Poesie Descriptive

Tendances nouvelles : à la fin du siècle les tendances nouvelles montrent que l’équilibre classice est menacé. La Bruyère et Fénelon annoncent des goûts qui s’affirmeront dans la littérature du 17ème siècle. François de Malherbe (1555-1628) et la poésie Si jamais le terme d’école littéraire a été justifié, c’est bien à propos de Malherbe. Son nom n’évoque pas seulement un poète, mais toute une doctrine poétique. Malherbe domine bien son temps. Il fait des études de droit. Attaché à la personne

particulier. Premierement le poeme eponyme illustre un déssin de Man Ray qui se veut étrange, cet enchevetrement de lignes figurent les méandres de l'ecriture automatique. L'esprit prend le controle du déssin et le raison s'éfface au profit de la poesie. Le poeme n'entretient aucun rapport avec le titre. Dans le dessin solitaire Man Ray représentait des fils emmélés tenus par des mains de femme. Dans le déssin les mains libres paradoxalement il n'a pas de mains comme si les fils s'etaients libérés

Poétique, Aristote : la poésie comprend la tragédie (dramatq élevé), la comédie (dramatq bas), l’épopée (narratif élevé) et une 4è catégorie non définie (semble relever du narratif bas). Querelle Platon/Aristote porte sur le statut de la mimèsis. Platon pense que tt poème est récit (diègègsis), à côté du narratif pur il pose le récit mimétique (théâtre) et le récit mixte (poème épique). La mimèsis est la reproduction de la praxis, l’action humaine, c’est l’objet de la poésie. La mimèsis est plus une

Shalott de Waterhouse. Ophélie sert parfaitement la représentation de l’idéal féminin préraphaélite, à la croisée des figures délicates et raffinées du Quattrocento, de l’idéal chevaleresque du fin’amor et des héroïnes excessivement romantiques des poésies de Keats ou de Tennyson. Le premier à faire entrer Ophélie dans la légende est sir John Everett Millais, créant en 1852 les principaux détails iconographiques du mythe : étendue sur l’eau, Ophélie flotte entre sommeil et mort, étroitement encadrée

devant un arbre, je peux me contenter de le nommer arbre et de me satisfaire de cette désignation, mais si « j’ouvre » la chose, je me rends compte que le simple mot d’arbre réduit ce que je vois, ne prend pas en compte la couleur, la grandeur, la poésie, ou les souvenirs qu’il peut faire naître en moi. Ainsi le langage atteint sa limite pour décrire ce ressentit. L’invention du terme «  indicible » rend compte de cette incapacité du langage à dire justement ce qui ne peut pas être dit. La

« le seul Christ que nous méritions. » I Une volonté d’objectivité absolue. A. L’écriture à la première personne Tout le texte est écrit à la première personne. Il ne s’agit toutefois pas d’un monologue intérieur, « qui est dans l’ordre de la poésie, le discours sans auditeur et non prononcé par lequel un personnage exprime sa pensée la plus intime, la plus proche de l’inconscient, antérieurement à toute organisation logique, c’est-à-dire à son état naissant, par le moyen de phrases directes

de l'artiste maudit (V.Van Gogh), de la folie. - D'un point de vue esthétique, on peut y voir la difficulté pour la société du second empire d'accepter les choix poétiques d'un écrivain qui fonde la modernité. Baudelaire présente l'exemple d'une poésie dont l'originalité réside dans le fait qu'elle mêle des éléments du romantisme à d'autres issus d'une tradition plus anciennes. A l'aube de la société capitaliste, se poète lyrique ne pouvait que rencontrer une hostilité dont il souffrit autant qu'il

caractérisée par une dimension oratoire plus présente, notamment par le biais de l’aposthrophe « Ô sante Muse »/ « Ô saintes Muses ». La figure paradigmatique du poète s’incarne à travers la Muse Calliope dont la nature est loin d’être anodine. Muse de la poésie épique, elle fait bien sûr allusion à l’œuvre de Virgile, guide artistique et spirituel du narrateur, mais aussi à Dante lui-même. L’étimologie de Calliope, « Belle/voix », renforce le caractère lyrique de l’invocation, se reflétant dans le vers suivant

l'utilisation de thèmes communs ? Ou peut être à des techniques artistiques qui sauraient, de la littérature à la peinture, trouver une équivalence, prouvant ainsi la véracité des propos de Plutarque qui disait que « la peinture est une poésie muette tandis que la poésie est une peinture parlante ». La peinture d'un monde absurde L’émergence du sentiment de l'absurde dans le quotidien On classe souvent Hopper avec les artistes appartenant au courant du réalisme américain parce qu'il offre, il est

Qu’est-ce que la poésie ? Aristote : tragédie (dramatique élevé)/comédie (dramatique bas), l’épopée (narratif élevé) + une 4ème catégorie « fourre-tout » (narratif bas). Le récit dramatique et le récit épique sont deux modes du mimétique. Platon : pour lui, tout poème est récit (diègèsis). Il introduit la mimèsis : le discours donne l’illusion d’être pris en charge par un autre que l’auteur : théâtre. Il distingue le récit mixte (récit/dialogue). La mimèsis Aristote : la poésie est de l’ordre de