Poeme Lyrique Joyeux

du colloque critique littéraire Présentation Engagement : imaginaires et pratiques 9 17 Marie-Pierre Bouchard, Jean-Nicolas Paul et Vicky Pelletier Jacques Pelletier (UQAM) Préface Dossier privé : de l’Un aux autres Foutre un joyeux bordel : l’artiste/écrivain amérindien Jimmie Durham L’engagement par la fragilité, deux cas : Kim Doré et Fernand Durepos Contre le corps-image, le corps-scandale : Des fois que je tombe de Renée Gagnon (Re)définition de l’engagement littéraire contemporain

Introduction à la Littérature Française Beatriz Baquedano Montañés INTRODUCTION À LA LITTERATURE FRANÇAISE 26/09/2012 1. Évolution des genres et courants littéraires du Moyen Âge 1.1. La Chanson de Geste La chanson de geste est un long poème épique qui chante les mythes d’un guerrier et les histoires des héros. Ces héros sont associés à la France Royale ou Feudale. Geste héro. gesta récit des hauts faits qui définit les histoires et aventures de la famille du Caractéristiques

......................................................39 MARIE..............................................................................................41 LA BLANCHE NEIGE.....................................................................42 POÈME LU AU MARIAGE D'ANDRÉ SALMON .........................43 L'ADIEU ............................................................................................45 SALOMÉ.................................................................................

bouche édentée ». • Vers de nouveaux horizons. Le jeune poète s’écarte déjà des règles strictes de la poésie : il affectionne notamment les rythmes brisés, enjambements et rejets, comme dans « Le Dormeur du val » ou « Ma Bohème ». Dans ce dernier poème, il n’hésite pas à introduire un lexique familier au milieu de termes recherchés : « muse », « féal » mais aussi « Oh la la », « unique culotte ». La polysémie de « pied » dans le dernier vers lie intimement les deux registres. Par ailleurs, certains

intérieure fondamentale. C’est observable dans la vie et dans l’art : la tristesse fondamentale des comiques (Molière, Chaplin, Keaton), des clowns, des lieux dits de plaisir (foires, music-halls). C’est ce qui arrive à Verlaine dans “Clair de lune”, poème où il voulait célébrer sa fiancée, lui faire un compliment galant. Ces trois quatrains de décasyllabes aux rimes croisées étaient donc un madrigal, mais quel étrange madrigal ! Le poète y oublie vite l’âme de sa fiancée et rend plutôt, à travers l’évocation

la Troade, traduite par Jasper Heywood. En 1581, toutes ses pièces connues avaient paru. Pour la forme, le style de Sénèque, que l'on s'efforce assidûment d'imiter, est hautement sophistiqué : la rhétorique classique, aux tours oratoires et lyriques jusqu'à l'enflure, y voisine avec une dialectique savante, où cliquètent les duels verbaux et scintille une stichomythie concise et fulgurante. Ce style fourmille d'épigrammes acérés, de sententiae lourdes de sens : c'est vraiment un miracle fascinant

Extrait du chapitre 5 de Gargantua de François Rabelais (pp. 262-263). Texte C : Extrait du chapitre 2 (livre IV, t. XII) des Misérables de Victor Hugo (pp. 263264). Texte D : Extrait du chapitre VI de L’Assommoir d’Émile Zola (pp. 264-265). Texte E : Poème Enivrez-vous, extrait des Petits Poèmes en prose de Charles Baudelaire (p. 265). Document : L’Ivresse de Polichinelle de Joseph Faverot (p. 266). Objet(s) d’étude et niveau(x) Le théâtre : genres et registres (le comique et le tragique) (Seconde).

d'une classe d'êtres (G.I.L.). Personnage qui se coule dans un moule préexistant : l'avare, le jeune premier, le vieillard jaloux, le valet habile ... (M&T p. 121) Exemple : Scapin, dans les Fourberies de Scapin, est le type littéraire du valet joyeux, habile et rusé dont le maître a besoin. Le chœur : Dans l'Antiquité, le chœur était composé de plusieurs personnages anonymes qui intervenaient pour commenter l'action, dans la comédie et dans la tragédie. Le texte du chœur était chanté, parfois

tristesse intérieure. C’est observable dans la vie et dans l’art : la tristesse fondamentale des comiques (Molière, Chaplin, Keaton), des clowns, des lieux dits de plaisir (foires, music-halls). C’est ce qui arrive à Verlaine dans “Clair de lune”, poème où il voulait célébrer sa fiancée, lui faire un compliment galant. Ces trois quatrains de décasyllabes aux rimes croisées étaient donc un madrigal, mais quel étrange madrigal ! Le poète y oublie vite l’âme de sa fiancée, et rend plutôt, à travers l’évocation

Provinciale donc, cette littérature ? Il convient de voir dans la Belgique actuelle une réserve plutôt qu'une province. 2.  Une littérature sans écoles •  Le « Thyl Ulenspiegel » de Charles De Coster La première œuvre qui ait vraiment compté est le roman-poème de Charles De Coster (1827-1879). Curieuse épopée en prose qui, dans le troisième quart du XIXe siècle, a tenté une synthèse tout à fait personnelle du réalisme et du romantisme. Énergique et frais, le « rêve flamand », coulé en un français savoureux