Poeme Inconstance Amoureuse

manipulateur. c- vocabulaire de la galanterie “la beauté me ravit” l9: language galant ravissement: emporté par quelqu’un. “les inclinaisons naissantes”l16: périphrase pour parler du début de l’amour. “les transports” l 20: émotion amoureuse. “larme et soupirs” l20: voc galant de l’époque. Voc courtoie, polie, galant: hipocrisie de Dom Juan qui utilise ce voc habituellement moral pour que ses victimes le croient. Conclu: argumentation rigoureuse de type dialéctique: thèse qu’on refute

Commentaire : tirade, acte I, scène2 Plan du commentaire I- Le libertinage de Don juan et sa doctrine en amour a- L’éloge de l’inconstance b- Les conquêtes amoureuses c- Renversement des valeurs II- Don Juan, un brillant plaidoyer a- Structure de la tirade b- Langage aristocratique c- Supériorité de Don Juan Pour les modernes, le libertinage, depuis le XVIIIe siècle , évoque la licence de mœurs, la recherche effrénée du plaisir. Pour les contemporains de Molière, il s’agissait

Ce stratagème donne lieu donc a une double intrigue amoureuse sous l’œil amusé de Mr Orgon et de MarioSilvia s’étonne de trouver si charmant le prétendu valet et lisette conquise a l’idée d’épouser un homme de haut rang qui n’est qu’ en réalité arlequin .La vraie identité de chacun finira par être révèle sans

* découvrir des formes et des genres poétiques divers (sonnets, poèmes en prose, blason) * Comprendre les procédés utilisés par les poètes pour exprimer et exalter les sentiments amoureux Séance 1 : Le sonnet du XVIème siècle Support : Poème de Louise Labé Intro : Poétesse du XVIème siècle, Louise Labé assume son statut de femme écrivain en revendiquant sa place dans un domaine jusque-là réservé aux hommes. Celle-ci publie en 1555 une série de 24 sonnets qui traduit au féminin le chant

théâtre. Style: art du dialogue, de la mise en scène de la parole. 2) Querelles des anciens et des modernes Moment de débats littéraires et artistiques important fin 17e, début 18e 1687: querelle qui se cristalise avec Perrault qui lit un poème sur le siècle de Louis XIV: il y réclame le droit de pouvoir tenir l'Antiquité pour vénérable, mais non pour adorable. Il y vante la supériorité du règne de LXIV sur la lointaine Antiquité # classicisme: supériorité des Latins et des Grecs; l'artiste

en apparence comme le titre l’indique il s’agit des amours de Ronsard mais les propos sont plus profonds et plus philosophique.I. Des odes aux amours- Les odes sont inspirés de deux grands auteurs de l’antiquité : Pindare et Horace - L’ode est un poème lyrics destiné à être accompagné d’une lyre et d’un genre élevé - L’ode est souvent composé de strophes d’égale longueurs- En 1550, Ronsard fait paraître quatre premier livres d’odes qui sont consacrés à rendre hommage aux rois, aux princes- Dans la

commis une tragédie d’Annibal, il travailla pour la Comédie italienne où il donna d’abord des pièces satiriques. Sou vrai début date d’Arlequin poli par l’amour (1720), suivi bientôt de ses chefs-d’œuvre : la Surprise de l’amour (1722), la Double Inconstance (1723), la seconde Surprise de l’amour (1727), le Jeu de l’amour et du hasard (1730), le Legs (1736), les Fausses Confidences (1737), l’Épreuve (1740). Son premier texte est une comédie d’intrigue en un acte et en vers le Père prudent et équitable

Renaissance chantant le sentiment amoureux et l’introspection y relative. C’est bien, chez ces auteurs de la Pléiade et de l’École de Lyon, l’influence de Pétrarque qui s’exprime ici. Comme lui, les poètes français de la Renaissance écrivent la douleur amoureuse, le désir charnel proscrit, l’adoration pour la dame courtisée, sa toute-puissance. [1: Louise, Labé, Oeuvres complètes : Sonnets-élegies, débat de folie et d’amour, Paris : Flammarion, 2020, p.76 ] Or, c’est ici Louise Labé qui,

l’histoire de Lydias et Mélandre ? (livre 12) Les récits élargissent le temps (analepses). Le temps dans L’Astrée est à la fois historique (mention de Mérovée et Childéric) et anhistorique (mythique) : - passé récent des personnages (péripéties amoureuses) : histoire d’Astrée et de Céladon, histoire de Galathée, de Diane, de Silvandre, d’Hylas ; - ascendance (passé plus lointain mais historique) : histoire d’Alcippe, histoire de Célion et Bélinde. Ces récits ont aussi valeur d’exemple ; - légendes

définit le donjuanisme, qui fait de la multiplication des conquêtes la condition de l’amour. Ces 2 maximes ressemblent à des alexandrins si on ne compte pas les e muets [vers blancs]. 3. l25 à 50 : il expose sa stratégie, qui fait de la conquête amoureuse une entreprise aussi exaltante que la conquête guerrière. Retour au « on » et aux généralités, pour définir et justifier sa conception. Ici commence une période oratoire construite sur la proposition principale en tête : « On goûte une douceur extrême