Poeme Finir Par Paul Eluard

Léopoldine Hugo morte d’une noyade le 4 septembre 1843. Hugo rassemble ses poèmes lyriques et engagés. Ici nous allons étudier le poème Oh je fus comme fous qui est quatrième poème extrait du livre 4 Pauca Meae qui est le livre du deuil. Le poème est construit avec une strophe de 16 vers et d’un quatrain tout cela en alexandrin avec des rimes plates. Il écrit ce poème pour le neuvième anniversaire de la mort de sa fille et dresse un bilan sur les difficultés à surmonter cette perte et fait part d’une

thèmes présent dans ce poème qui est l'invitation à l'amour. Nous poursuivrons notre étude avec « Comme un chevreuil » de Pierre de Ronsard qui est un poème extrait du recueil intitulé Amours de Cassandra datant de 1852. Il reflète un coup de foudre lors d'une rencontre amoureuse mais l'homme se compare à un chevreuil. Ensuite nous étudions un poème de Paul Verlaine se nommant « La bonne chanson » publié en 1870. « La courbe de tes yeux » est un poème en quintils tiré du recueil

miroir. “Il ne faut regarder que dans les miroirs, car les miroirs ne nous montrent que des masques“ .Oscar Wilde. Le titre de ma deuxième partie sera : “ le miroir : objet de fascination“ et sera composée de 3 poèmes : - Le miroir d'un moment de Paul Eluard - Le miroir brisé de Jacques Prévert - Elsa au miroir de Louis Aragon. Nous verrons dans ma dernière partie des poèmes de Baudelaire car c’est un poète qui a donné naissance au symbolisme au XIXe siècle. De plus c’est un poète que nous avons

3- Charles Baudelaire, Le rêve d’un curieux p9 4- Charles Baudelaire, La fin de la journée p11 5- Arthur Rimbaud, Le dormeur du val p13 6- Paul Eluard, Notre vie p15 3. Production personnelles p17 4 Conclusions

Rivière, fontaine et ruisseau Portent en livrée jolie Gouttes d'argent, d'orfèvrerie; Chacun s'habille de nouveau: Le temps a laissé son manteau. - Analyse : Ce poème est sous la forme d’un rondeau et est composé de trois strophes de quatre vers. Chaque strophe est composée d’octosyllabes. A travers ce poème, le poète fait l’éloge du printemps notamment en accentuant sur la répétition du même vers («Le temps a laissé son manteau de vent, de froidure et de pluie»). Le temps, les saisons

QUESTION DE CORPUS. Le corpus qui nous est proposé nous invite a travailler sur 5 textes. A savoir ( Les regret sonnet 91, 1556 de Du Bellay ; Le Beau Tétin, 1535 Clément Marot ; Blason de l’œil, 1547 de Saint-Gelais ; La courbe de tes yeux, 1926 de Paul Eluard ; Le blason, 1960 de George Brassens ). Ces textes ont pour thème commun la femme aimée. Il s’agit de savoir quelle image de la femme propose ces textes. Nous verrons d’abord l’image élogieuse de la femme et dans un second temps qu’elle est l’expression

première partie nous montrerons qu’en effet l’un des thèmes les plus abordés dans la poésie est la célébration de l’amour. Ensuite dans une deuxième partie nous expliquerons que la poésie peut avoir d’autres fonctions tel que la poésie engagée. Pour finir, nous démontrerons que la poésie peut avoir un apprentissage comme finalité. Depuis longtemps la poésie est vue comme le meilleur moyen de célébrer l’amour. Il s’agit de la poésie lyrique. Cependant, cette inspiration des poètes sur la

Lecture analytique 3 : Paul Eluard, « Ma morte vivante » Paul Eluard est un poète du XXème siècle qui appartient au mouvement littéraire du surréalisme. C’est un poète révolutionnaire engagé au côté de la résistance, ce qui fait de lui un poète des résistants. La liberté est son idéal, qu’il s’agisse d’une liberté de langage ou poétique. « Le temps déborde » a été écrit en 1947 après la mort brutale de sa deuxième femme, Nush, en 1946. Paul Eluard exprime la douleur de la perte et la façon dont

dans un ordre chronologique, ensuite le blâme avec deux poèmes disposés de la même manière et enfin un poéme où une femme parle de la condition féminine. J’ai pris sept poèmes pour l’éloge et seulement deux pour le blâme car à mon humble avis, la femme cette sublime créature mérite d’être plus élogiée que d’être blâmée. Comme premier poème j’ai choisi AD LEUCONOEN d’Horrace car c’est un poème qui m’a beaucoup inspiré et qui est d’ailleurs très ancien ce qui le place au début de mon anthologie

Introduction Paul Eluard et Man Ray ont tous deux été de grands amoureux, et surtout des artistes qui ont su magnifier le corps des femmes : Man Ray comme peintre du désir et, plus encore que dans ses dessins, en génial photographe de la beauté féminine, comme dans Le violon d’Ingres ; les poèmes de Paul Eluard n’ont jamais cessé de dire combien la femme lui était vitale et de célébrer la force de l’amour. Rien d’étonnant donc au fait que la femme soit le centre, le cœur vivant des Mains libres