Pneumonie aiguë

Ramel Alexia 1E IFSI Raisonnement clinique 1- Le contexte de la prise en charge de la personne Madame Jezequel Louise, âgée de 66 ans, est entrée 16 jours pour exacerbation et dilatation des bronches (DDB), avec une surinfection bronchique, une insuffisance respiratoire chronique et une détresse respiratoire. 2- Les antécédents de la personne Elle présente les antécédents de : Au niveau médical : * HTA : hyper tension artérielle * OAP ischémique : œdème aigu pulmonaire

La situation dysfonctionnelle en lien avec l’UE 2.11 s’est déroulée dans le box de la patiente et non du patient. Mme Z, 59 ans, a été admise dans le service pour détresse respiratoire aiguë. Un examen radiologique a été effectué afin de définir l’origine de cette SDRA (syndrome de détresse respiratoire aiguë). Une masse a été découverte au niveau du poumon. Mme Z est bien atteinte d’un cancer du poumon et il ne lui reste plus longtemps à vivre. Le cancérologue a dit que le cancer était à l’origine

GERARD 1. La Bronchite A. La bronchite aiguë Inflammation des bronches, d'origine virale Signes cliniques : - Douleur vive et brutale dans le thorax - Toux sèche puis grasse - Expectorations (crachats) purulents (vert) Pas de traitement, la bronchite aiguë part seul, c'est banal. B. La bronchite chronique Inflamation des bronches Signes cliniques : - Toux grasse - Crachat chronique pendant au moins 3mois/ans, 2ans de suite - Exacerbation aiguë  Surinfection bactérienne ou virale

douleur aigue doit faire rechercher la cause et la traiter. Cas clinique • L’interne de garde décide de traiter cette douleur. • Quelles seront les étapes préparatoires à sa décision thérapeutique? Cas clinique • L’interne de garde décide de traiter cette douleur. • Quelles seront les étapes préparatoires à sa décision thérapeutique? – Quel type de douleur ? • Aigue ou chronique • Par excès de nociception ou neurogène • Part du spasme ? Part de l’inflammation ? Douleur aiguë / chronique

c'est-à-dire en dessous de la dernière côte, à droite de l'ombilic peut être le résultat des pathologies suivantes (liste non exhaustive) : * Un ulcère duodénal. * Une cholécystite aiguë. * Une hépatite. * Une appendicite. * Une pyélonéphrite. * Une hépatomégalie congestive. * Une pneumonie droite. Une douleur survenant dans le cadran supérieur gauche c'est-à-dire à gauche de l'ombilic, au-dessous de la dernière côte (zone de la rate) peut être résultat des pathologies suivantes

fois ou supérieure à 500cc en plusieurs fois. pathologie sous-jacente. Étiologies de l'hémoptysie : origines néoplasiques : pathologies cancéreuses (ex: cancer bronchique ou trachéal). origines infectieuses : bronchite aiguë, pneumonie, tuberculose, aspergillose (aspergillome = champignon qui se développe dans le poumon provoquant une érosion des vaisseaux bronchiques entrainant des saignements abondants), dilatation des bronches. origines cardiovasculaires : OAP, EP

Interprétation d’une pathologie (volet théorique) Décrire la pathologie La pneumonie est une inflammation aiguë du parenchyme pulmonaire causée la plupart du temps par un microorganisme pathogène. La pneumonie nosocomiale est un type de pneumonie survenant dans les 48h ou plus suivant l’admission à l’hôpital, donc qui n’est pas en incubation au moment de l’hospitalisation. Facteurs de risque: âge avancé, pollution de l’air, altération de l’état de conscience (alcoolisme, blessure à la tête, crise

    1258912         6                                    Insuffisance  respiratoire  aiguë    -­‐1257814   Insuffisance  cardiaque  et  circulatoire  aiguë  -­‐1895678   Arrêt  cardiaque  -­‐  8915678   Choc  traumatique,  situation  de  choc  et  analogues  -­‐1895132           7   

Florian Le Glaunec,6fra | 10/02/13 | La pneumonie atypique 1) Il s’agit d’une maladie infectieuse provenant du virus SARS-CoV appartenant à la famille des Coronavirus (du latin, virus à couronne).(illustration ci-contre). | La pneumonie atypique a provoqué une épidémie en Chine le novembre 2002. En raison de sa mortalité importante, elle a été appelée « pneumopathie atypique », puis Syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS).Auparavant encore inconnue, elle se serait propagée dans un hôtel

diagnostic des maladies interstitielles pulmonaires (cliniciens, radiologues, anatomopathologistes, chirurgiens) à toutes les étapes de la démarche diagnostique. 2/27 I. INTRODUCTION Les pneumopathies interstitielles diffuses (PID) aussi appelées pneumonies infiltratives diffuses, sont d’étiologies et de mécanismes très variés. Leur point commun est leur présentation radiologique sous forme d’opacités infiltratives diffuses. Anatomiquement, l’atteinte de l’interstitium pulmonaire (tissu conjonctif