Plan Portrait Ovale Edgar Allan Poe

DEVOIR N°2 Intitulé du sujet : A partir du cours du samedi 07 octobre et du plan détaillé qui suit, rédigez un commentaire composé du texte extrait du Horla (deuxième version) de Maupassant, relatant la soirée du 19 août depuis « Je le tuerai. » jusqu’à « frissonner ». Consignes à suivre : INTRODUCTION 1- situation de l’extrait dans l’œuvre 2- annonce du plan en utilisant les connecteurs logiques (ex : d’abord…ensuite…enfin) DEVELOPPEMENT En deux ou trois parties

4e Le portrait ovale, Edgar Allan Poe Correction des questions IV/ n°1 à 13 1) Nouvelles extraordinaires 2) Charles Baudelaire, en 1854 3) Le passé simple (utilisé pour les actions passées, de premier plan Ex : nous nous installâmes, je pris, je lus, je contemplai, tombèrent ...) et l’imparfait (utilisé pour les actions passées, de second plan qui durent ou se répètent Ex : j’étais, rendait, désirais, me déplaisait, avait…) 4) …

Utiliser le discours descriptif dans le récit Exemple : la nouvelle fantastique I-LECTURE : Le Portrait ovale, Edgar Allan Poe Lecture silencieuse de la nouvelle. Réponses au questionnaire. II-LANGUE : Les expansions du nom dans un texte descriptif (réinvestissement du cours) Qu’appelle-t-on les expansions du nom ? A quoi servent-elles ? Dans le Portrait ovale, donnez la nature et la fonction des mots soulignés : 1.Sa décoration était riche mais antique et délabrée 2.Une quantité

d’apprentissage en création littéraire Le 22 décembre 2010 | Table des matières « La face cachée de l’humanité » 2 GRILLE GÉNÉRALE DE LA SÉQUENCE D’ENSEIGNEMENT 4 Cours 1 – 75 min 5 Cours 2 – 75 min. 7 ANNEXE 1 - Le portrait ovale d’Edgar Allan Poe 9 Cours 3 – 75 min. 11 Quatre histoires de vampire 13 Les métamorphoses du vampire de Baudelaire 14 Le vampire de Baudelaire 15 Extrait d’Entretien avec un vampire d’Anne Rice 16 Extrait de La Morte Amoureuse de Théophile

hiver 1870, frappé d'un triple malheur : l'invasion, la famine et le froid, qui enfantent à leur tour cent et mille autres peines. Ses grands doigts de glace profondément enfoncés dans la terre,... 2103 Mots 9 Pages E portrait ovale de edgar allan poe maîtresse. Le journal est lu par le narrateur, sans que ce dernier fasse partie de l’action, sauf à la fin, en tant que témoin. résumé :le meneur de loups de Claude seignolle L’auteur débute ce conte populaire par la description

l’œuvre littéraire sur le seul plan de l’image n’empiétait pas sur le territoire narratif de la littérature. Tout allait donc pour le mieux dans cette relation à la littérature fondé sur l’unique mise en image des impressions de lecture. Cette union a donné naissance à des chefs-d’œuvre filmiques comme La Chute de la maison Usher du cinéaste Jean EPSTEIN adapté en 1928 de deux nouvelles (La chute de la maison Usher et Le Portrait ovale) du conteur américain Edgar Allan POE. Jean EPSTEIN rend en effet

cours, en salle informatique. Si vous avez des questions, vous pouvez me contacter à l’adresse suivante : sbolmont@ac-strasbourg.fr Sandrine Velikonia, Professeur de lettres modernes, Lycée Théodore Deck, Guebwiller. Plan de la séquence Détail des séances PLAN DE LA SEQUENCE Séance n°1  Lecture et analyse de la nouvelle « Le Reflet ». Séance n°2  Lecture à la maison de la nouvelle « Les poissons rouges ». En classe : Ecriture d’invention : changement de narrateur et de point

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » Edgar Allan Poe HISTOIRES EXTRAORDINAIRES Traduction par Charles Baudelaire Première publication en France en 1856 Table des matières EDGAR POE, SA VIE ET SES ŒUVRES..................................4 I .....................................................................................................4 II ....................................................................................................9 III .......................

128-255 Dictée de la semaine : (verbes pronominaux ) Elle s’est dressée et s’est tordue et s’est enracinée avec une sorte de furie sur ce point d’appui. Celui lui a fait l’effet de la première marche d’un escalier remontant à la vie. Elle a remonté ce plan incliné et est arrivée de l’autre côté de la fondrière. En sortant de l’eau, elle s’est heurtée à une pierre et est tombée sur les genoux. Elle a trouvé que c’était juste, et y est restée quelques temps, l’âme abîmée dans on ne sait quelle parole à

année, il alla, pendant les neiges de décembre, se planter quatre heures chaque jour derrière la butte Montmartre, à l’angle d’un terrain vague, d’où il peignait un fond de misère, des masures basses, dominées par des cheminées d’usine ; et, au premier plan, il avait mis dans la neige une fillette et un voyou en loques, qui dévoraient des pommes volées. Son obstination à peindre sur nature compliquait terriblement son travail, l’embarrassait de difficultés presque insurmontables. Pourtant, il termina