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d’archétype tel que les trois anorexiques, Michelle et les deux meurtriers. Le film est divisé en deux parties, l’intrigue est rythmée par les trois apparitions du plan axées sur le ciel. Ceux-ci constituent les trois moments forts du film. Le premier plan montre un ciel voilé, le second devient orageux puis, pour finir, au dernier plan, il apparaît dégagé. L’intrigue est construite de façon classique avec tout d’abord la situation initiale qui présente les personnages dans leur vie quotidienne ainsi

est constitué de 6 triangles équilatéraux, de côté 5cm. 1)a) SAD est équilatéral, et (SO) est médiane de [AD], donc médiatrice aussi Donc SAO ests rectangle en O, càd (AO)perpendiculaire à (SO) De plus (PM) perpendiculaire à (SO) par définition du plan parallèle à la base Finalement, on a deux droites perpendiculaires à une même troisième, elles sont donc parallèles. b) On applique le théorème de Thalès dans le triangle SAO ù on a (PM)//(AO) : SP/SA=SM/SO=PM/AO, donc PM=SM/SO . AO = (x/10).5 =

léo ( deuxieme perso a etre presenter ) . Le plan suivant par montage cut ( passage rapide et brutale a un autre type plan ) et un peu enigmatique, champs rempli de ligne vertticlaehoryzontal, très rapidement une petite enigme. Mais très souvent almodovar fait ça. On est a 3min 54, sequence a l’autr,e passage du generique a la sequence fictive à la seuqnece initiale. Et jeu des camera interessant à étudier. Donc transition assurer par gros plan sur pertienne d’une fenetre de l’appart de léo,

transition en cut, nous avons un gros plan sur les objets posés sur la coiffeuse. On a une succession de plan par transition en cut, les plans sont rapides et s’enchaînent. Nous sommes dans la précipitation. Le réalisateur montre l'empressement de Mme Davies, et sa combativité. Malgré sa maladie, elle se bat pour aller au théâtre. Pour revenir a ce deuxième plan, ce gros plan ou l'on voit ses mains chercher sous des papiers sur la coiffeuse,on a une succession de gros plan, passant du dessus de la coiffeuse

Le planPour repérer un point sur un plan, qu’a-t-on besoin ? → d’un repère, donc de deux droites sécantes, donc trois points non alignés. Ainsi, un plan est défini par trois points non alignés. Le plan contenant les points A, B et C se nomme le plan (ABC). géométrie dans l'espace, cours - seconde : image 7 II. Position de deux droites de l’espace1. Droites coplanairesDéfinition : Deux droites sont dites coplanaires lorsqu’elles sont contenues dans un même plan. Remarque : Dans ce cas, elles sont

dans l’obscurité. On peut observer la jeune femme en arrière-plan dans une autre pièce dont la lumière est tamisée de façon à créer une ambiance intimiste. Rima, la coiffeuse, arrive dans la pièce, la caméra fait un zoom pour se concentrer sur la tête de la cliente, gros plan, qui détache ses cheveux donnant ainsi l’impression de se dévoiler  quelque peu. L’eau commence à couler et la caméra se rapproche d’avantage pour faire un gros plan du visage de la cliente, la lumière se fait plus intense. Seul

qui tente pas tous les moyens d’aider tous ses compatriotes à être sur le même pied d’égalité que les blanc aux États-Unis. La séquence contient deux partis, une d’elle est un plan séquence de la ville de Détroit qui est sous le coup de la révolution des noires afin d’être reconnu comme étant l’égal des blancs. Ce plan séquence on peut le comparer, un peu, au vidéoclip. Cette comparaison est plausible car tout se passe extrêmement rapidement, donc on condense le tout, car on veut en montrer le

orthogonaux. IJ 0 ; − ; 2 2 2 2 − → → − Les vecteurs IK et IJ ne sont manifestement pas colinéaires ; ils définissent → − donc le plan (IJK). Le vecteur n orthogonal à deux vecteurs non colinéaires du plan (IJK) est donc normal à ce plan. Une équation du plan (IJK) est donc : H(0 ; 1 ; 1), F(1 ; 0 ; 1), donc K M(x ; y ; z) ∈ (IJK) ⇐⇒ 2x + 1y + 1z + d = 0. 1 1 Comme I appartient à ce plan on a I 1 ; ; 0 ∈ (IJK) ⇐⇒ 2 + + d = 0 ⇐⇒ 2 2 5 d = − . Donc 2 5 = 0 ⇐⇒ 4x + 2y + 2z − 5 = 0. 2 −→ − −− −→ −→ − a.  calcule

Terminale S novembre 2004 Nouvelle-Calédonie 1 Exercice 1 (5 points) Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormal direct [pic], on considère l’application f du plan dans lui-même qui, à tout point M d’affixe z associe le point M’ d’affixe z’ telle que : [pic]. 1. Soient A et B les points d’affixes [pic] et [pic]. a. Calculer les affixes des points A’ et B’ images des points A et B par f. b. On suppose que deux points ont la même image par f. Démontrer qu’ils sont confondus