Place de la Liberté

patrilinéaire ; légitime/naturelle…), héritage, succession, lignée, patronyme, dynastie, clans, « maisons », consanguinité. - Organisation de la famille : Matriarcat, patriarcat, division du travail, partage des tâches au sein du couple, place et rôle delà femme, de l’homme, place de l’enfant. - Mutations de la famille contemporaine : La constitution du couple (concubinage….), divorce, famille recomposée…Incidence du travail féminin. Nouveaux liens intergénérationnels, droit à l’enfant, procréation médicalement

philosophe présente sa conception de la liberté. Selon lui, la liberté doit passer par les lois, autrement elle est impossible. À la lumière de cette théorie, il est pertinent de se demander si se soumettre aux lois, cela signifie renoncer à sa liberté? Ou alors est-ce Rousseau qui a raison d’affirmer qu’il n’y a point de liberté sans lois? En premier lieu, comme l’indique la théorie de Rousseau, l’obéissance aux lois qui s’appliquent à tous, garantit la liberté humaine. Selon ce philosophe, les individus

à petit. C’est dans un contexte de dépression économique que va s’enraciner la République opportuniste avec la déflation monétaire causée par la guerre franco-prussienne. C’est une véritable politique libérale qui s’instaure avec l’extension des libertés publiques. Le régime va évoluer dans un climat de crises idéologiques qui vont changer le visage politique de la France, ce qui pousse les républicains à consolider leur position pour pouvoir résister à ces crises qui menacent le gouvernement. Enfin

La liberté de la presse  I. La loi de 1881 A. De 1788 à 1881 La presse française a connu au 19ème de nombreux changements suite aux rapports difficiles qu’entretiennent le pouvoir politique et la presse française. C’est tout d’abord avec Napoléon Bonaparte à partir de 1788 que la presse est de plus en plus contrôlée et restreinte. Il instaure la censure en autorisant simplement 14 journaux à Paris et quatre feuilles de province qui sont évidemment en faveur de l’empire. A partir de 1915

● La construction de la démocratie française (1880-1946) a IIIe République (1870-1940), le régime le plus durable qu’ait connu la France, marque profondément le pays. Dès avant 1914, les grands traits du modèle démocratique français sont en place. Face aux crises, la nécessité de réformes se fait sentir. Après l’écroulement du régime en 1940, la Résistance prépare un approfondissement de la démocratie. Quelles sont les caractéristiques de la démocratie française ? Cours 1 Cours 2 Dossier

Obéir, est ce n'etre plus libre? La liberté est propre à chaque homme, car ils naissent libres et égaux en droit, elle permet aux hommes d'agir comme bon leur semble sans pour autant porter atteinte à la liberté d'autrui. L'obéissance, c'est se soumettre à la volonté de quelqu'un afin d'exécuter un ordre, et elle a pour tendance de venir contrer cette notion de liberté. Mais obéir, est ce réellement n'être plus libre? On tentera alors de savoir si obéir est une solution pour pouvoir vivre libre

des individus, il n'y a pas de sanction puisqu'il n'y a pas d'autorité compétente pour cela. De plus, les inégalités progressent du fait de l'apparition de la monnaie. Les individus ont donc jugé nécessaire de conclure un pacte social qui met en place un pouvoir politique, afin de défendre leurs droits. Ce pouvoir n'a de légitimité que grâce à cet accord, cette volonté des individus de sortir de l'État de Nature. b. « Une société à participation limitée ». La participation politique

et sociétés aristocratiques) ? Une première contradiction déjà mise en avant dans le premier chapitre montre que l’aristocratie est une forme de société contre laquelle les peuples démocratiques lutteront. Ils veulent jouir de l’égalité dans la liberté, les démocratiques peuvent beau souffrir de beaucoup de maux mais l’aristocratie est une forme qu’ils ne respecteront pas. Une différence à noter c’est que chez les peuples aristocratiques, les familles restent pendant des siècles immuable, toutes

vous semble t-elle un obstacle à la liberté ? INTRODUCTION Certaines personnes disent très facilement que les femmes musulmanes, de par leur religion sont asservies, soumises aux hommes et perdent de leur liberté. En revanche, un jeune homme ambitieux, quelque soit sa confession religieuse, ayant foi en son destin est tout à fait libre de choisir de quelle manière il va construire sa vie future. Mais alors, quelles relations existent-il entre la foi et la liberté ? L’une empêcherait-elle l’autre

l’auteur » : Bergson présente la décision comme le moment de la liberté, dont « l’âme », l’essence même de l’homme, est le seul moteur. La notion de décision amène donc la question du signe, de l’indice de la liberté humaine. Bergson cherche la liberté dans le moteur de la décision, mais il avance également la notion d’ « acte », qui seul atteste de la liberté. Il ne semble donc pas y avoir de décision sans action, ni de signe de la liberté sans décision. On peut donc se demander où (où plus exactement