Pinceau

Ste Colombe apprécie car il partage la même vision de l'art. C'est à dire arriver à faire quelque chose de beau avec des objets communs "vous entendez monsieur cria-t-il comment se détache l'aria et la basse."11 p 39 "écouter le son que rend le pinceau de monsieur Baugin"12 p 41. C'est en lui chuchotant à l'oreille qu'il lui apprend la musique. Contraste donc mais autre contraste: Marin Marais demande donc si la véritable musique est liée au silence p 43 et le maître répond catégoriquement non

en accord avec la respiration de la nature se trouvera splendidement mise en ' uvre par son disciple Titien. C’est plutôt à Venise que l’utilisation du pinceau se « modernise ». Adeptes d’un style pictural, les artistes comme Carpaccio, Giovanni Bellini et Giorgione créent une atmosphère favorable au développement d’une technique que le pinceau est plus apte à rendre que la plume. Au cours de cet apprentissage, Titien fait la connaissance de Giorgione, grande figure de la peinture vénitienne

précise les détails de la nature morte sur la table : bouteilles, verres, coupe de fruits, plats…Il met ainsi en relief la robe des deux femmes dont la luminosité d’un noir teinté de bleu constitue une puissante tonalité. Ajoutons que, reproduits d’un pinceau particulièrement souple, bouteilles, verres étincelants, fruits semblent animés d’une vie autonome. Le noir teinté de bleu ne semble dépendre que des incidences fortuites de la lumière. A cette couleur répond la teinte de la veste, du haut-de-forme

chaise électrique. Chez Bacon, tout est lié pour que l'ambiance marque l'esprit des gens. Pour étayer cette thèse, nous pouvons nous référer à la manière dont ce tableau est peint. Il est peint de manière brutale, par touches très visibles du pinceau, ce qui donne un aspect très brut. Cela fait donc évidemment référence au cri que pousse le personnage. Il pourrait être intéressant aussi de relever certaines oppositions que l'on peut trouver dans ce travail. Tout d'abord, on trouve un opposition

hauteur de l'artiste. On voit l’artiste de dos, assis sur un tabouret, se penchant pour se regarder dans un miroir posé sur une chaise (miroir où nous voyons son reflet presque comme il doit le voir lui-même), tandis que sa main reste levée avec le pinceau sur la toile qui est devant lui et où commence à apparaître son autoportrait. Le peintre et son image dans le miroir se correspondent parfaitement : même taille (le peintre de dos en entier, l’image de face et seulement en plan rapproché), mêmes

avec des figures claires de la couleur de l’argile du vase. Les peintres enduisent le vase de vernis noir à l’exception des figures qui, laissées en réserve, gardent, après cuisson, la couleur de l’argile. Le peintre travaille ensuite les détails au pinceau. Cratère des Niobides : Face 1 : (grande image) Massacre des enfants de Niobé par Artémis et Apollon. Face 2 : (troisième image) Héraclès et les Argonautes ou Héraclès et les héros de Marathon. 1-La scène se déroule dans un paysage montagneux

chez les frères Lévy où il peindra, jusque l'âge de 17 ans, des bouquets, des fleurs, sur de la porcelaine. En 1858, Renoir s'adonne à la peinture sur éventail. Ces travaux lui laisseront un goût des oeuvres fortes et lumineuses ainsi qu'un coup de pinceau sûr et rapide. En 1862, Renoir entre aux Beaux-Arts et dans l'atelier de Gleyre où il rencontre Bazille et Sisley. Ses premiers tableaux de nature classique, romantique et réaliste étaient souvent sous-estimés. Cependant, la première oeuvre qu'il

image au pinceau avec des encres. Fautrier répand des poudres ou semblables matériaux sur l'enduit encore humide, ce qui donne cet aspect de substances brut. L'artiste passe à ce moment une première couche de pâte, en suivant à peut près le dessin. Des poudres de couleurs sont ensuite éparpillés, puis d'autres couches de pâtes plus ou moins amples et nombreuses, superposées à la spatule. Des poudres de couleur sont enfin placées sur la dernière couche. Fautrier trace un dessin au pinceau sur la pâte

quelques toiles mais il abandonne très vite cette décision et revient en 1889 et produit des toiles de plus en plus vivantes mais peu a peu il est atteint de rhumatisme ses doigts sont paralysés mais il continue à travailler en se fesant attacher son pinceau au poignet. Il peindra ainsi jusqu'à la fin de sa vie . Renoir en 60 ans a peint plus de 6000 toiles . II-le contexte historique En 1870 la III république est proclamée. En 1873 Napoléon III meurt et c'est mac mahon qui dirige la France

beaucoup de personnes qu’on aurait trouvées laides. Lui, ne s’en rendait pas compte. En effet, ces gens ne représentaient qu'un thème qu'il voyait de façon exclusivement pictural. Sous son pinceau, chaque être était égal, qu'il soit grand, petit, beau, laid, roi ou vigneron, il subissait le même sort de la magie du pinceau. Par après, on retrouve un peintre tel que Goya pour lequel la laideur n'est que décrépitude physique. C'est ce qu'il montre à travers son art. Par exemple les toiles « Les Jeunes »