Pierre Nora

dépouillé Ne remporte au logis un œil triste et mouillé, Me consolant au lit et me baisant la face, En essuyant mes yeux par la mort endormis ? Adieu, chers compagnons, adieu, mes chers amis, Je m’en vais le premier vous préparer la place. Pierre de Ronsard - Derniers Vers - 1586 Commentaire littéraire I - Une évocation réaliste et baroque de la mort A - Une description réaliste de l'altération du corps Evocation insistante de son corps → champs lexical : "os", "bras", "oeil", "corps"

SGANARELLE Vertu de ma vie, comme vous débitez! Il semble que vous ayez appris cela par cœur, et vous parlez tout comme un livre. Introduction : En 1665, Molière, auteur, chef de troupe et comédien, fait représenter Dom Juan ou le Festin de Pierre. Il connaît de graves difficultés financières depuis l’interdiction de Tartuffe l’année précédente, et s’est tourné vers un sujet apprécié de ses contemporains : il s’agit du mythe de Don Juan, dont la première version connue de Tirso de Molina a

Le théâtre du XVIIe siècle Dom Juan ou le festin de Pierre, Molière. Scènes V et VI, Acte V. LE SPECTRE, en femme voilée: Dom Juan n'a plus qu'un moment à pouvoir profiter de la miséricorde du Ciel; et s'il ne se repent ici, sa perte est résolue. SGANARELLE: Entendez-vous, Monsieur? DOM JUAN: Qui ose tenir ces paroles? Je crois connaître cette voix. SGANARELLE: Ah! Monsieur, c'est un spectre: je le reconnais au marcher. DOM JUAN: Spectre, fantôme, ou diable, je veux voir ce que

théâtre que pour ses romans. L’ile aux esclaves/ la vie de marianne Corneille : 17 e .Pierre Corneille est un auteur dramatique français. Ses pièces les plus célèbres sont Le Cid, Cinna, Polyeucte et Horace. La richesse et la diversité de son œuvre reflètent les valeurs et les grandes interrogations de son époque. Racine : 17e siecle.Jean Racine est un poète tragique français considéré, à l'égal de son aîné Pierre Corneille, comme l’un des deux plus grands dramaturges classiques français. britannicus

Tout d’abord, on peut considérer Dom Juan comme un archétype du libertin. Il est contre la religion officielle, le christianisme ; il va adapter les valeurs sociales de la noblesse dans la séduction : « sa guerre est la guerre de l’amour » et, il va mettre en doute les valeurs de son siècle. On remarque qu’il est contre la religion dès le début, via son valet, qui fait l’éloge d’une substance interdite par l’église, le tabac. Par la suite, Dom Juan est à nouveau contre la religion lorsque Sganarelle

socialisation, hégémonie et globalisation. Son essaie débute par la banalisation sociologique et la typification des médias. Puis, Eric Macé propose une relecture des classiques en matière de sociologie des médias à travers l’école de Francfort, Pierre Bourdieu et Eric Morin. Son étude se poursuit par une sociologie postcritique des mouvements culturels, qui aboutit à une socio-anthropologie de la francité contemporaine. I. Une sociologie postcritique 1. Un constructivisme conflictualiste

5. Enfin, Kessel c’est le grand reporter, l’aventurier. C’est un auteur qui à vécu la transformation du monde avec les Grandes Guerres et les évolutions qu’elles ont entrainés. Il retrace notamment son aventure en Afghanistan dans le film de Pierre Schoendoerffer : La Passe du diable dont Charles va vous parler.

châtiment » de Don Juan qui gagne de nouvelles résonances. Un acte symbolique Le mythe de Don Juan s’est constitué à partir de sa double légende, autour de ses composantes fondamentales. La rencontre avec la mort est liée à l’épisode du « festin de pierre ». Schmitt substitue à cet épisode l’aventure avec le Jeune Homme dont on peut éclairer le sens par le thème du double. Sganarelle est un pseudo-double qui met en lumière le caractère du maître. Il note, et peut-être envie, son libertinage. Cette

théâtre peut exprimer une vision de la société : Certains auteurs, même beaucoup d'auteurs écrivent des pièces qui mettent en scène des situations de la société de leur époque, qui peuvent encore persister actuellement. Ainsi, dans « Le Cid », Pierre Corneille, dans la scène où le Comte est jaloux de Don Diègue, qui à eu le poste de gouverneur de l'infant, il l'accuse d'avoir obtenu ce poste par brigue. Mais Don Diègue se défend en expliquant qu'il a été choisi grâce aux exploits de son bras.

Á dix neuf ans[1], en 1642, il invente la machine à calculer[2],[3] et après trois ans de développement et 50 prototypes il la présente à ses contemporains en la dédiant au chancelier Séguier[4]. Dénommée machine d’arithmétique, puis roue pascaline et enfin pascaline, il en construisit une vingtaine d'exemplaires dans la décennie suivante[5]. Mathématicien de premier ordre, il crée deux nouveaux champs de recherche majeurs : tout d’abord il publie un traité de géométrie projective à seize ans