Pierre Gassendi

Kahn (1859-1936), initiateur du vers libre, animateur et historien du mouvement symboliste (Les Palais nomades, 1887 ; Symbolistes et décadents, 1902), René Ghil (1862-1925), auteur d'un intéressant Traité du verbe (1886), préfacé par Mallarmé, Pierre Louÿs (1870-1925), inspiré par la poésie érotique grecque, auteur des fameuses Chansons de Bilitis (1894), et Henri de Régnier (1864-1912), à travers lequel le symbolisme reçut sa consécration sociale, puisqu'il fut élu à l'Académie française en 1911

Pierre de Ronsard (1524-1585) "Le prince des poètes, le poète des princes" Fils de famille aristocratique, parent de Bayard et de la reine Elisabeth d'Angleterre, Pierre de Ronsard est né, en 1524. élevé dans le culte des arts et des lettres par un père admiratif de l'Italie. II se montre également très doué pour les exercices physiques, l'équitation, ou l'escrime. C'est une surdité précoce qui le fait renoncer à la carrière militaire. Il se découvre alors une vocation pour la poésie. En 1547

Dom Juan Le premier Dom Juan est celui de Tirso de Molina, moine espagnol qui présente cette pièce en 1630 sous le titre de Le Trompeur de Séville et le Convive de pierre, une pièce mettant en scène un séducteurs Don juan Tenario. Ce personnage aime se déguiser pour séduire les femmes et ne respecte pas les morts. Il se repent trop tard devant l’apparition de la statue du Commandeur qu’il a tué auparavant après avoir séduit sa fille. Cette pièce de dimension morale eut un énorme succès dû notamment

théorie incomplète et insuffisante pour bien comprendre les faits observés. En revanche, il reconnaît qu’une telle théorie ne saurait être qu'un produit de la spéculation et non le fruit d'une étude sans parti pris de la réalité. 2ème leçon : Pierre Janet : En France, il analysa les processus psychiques de l'hystérie en faisant du dédoublement mental et de la dissociation de la personnalité comme le pivot de sa théorie. Il montra le rôle de l'hérédité et de la dégénérescence dans l'origine des

roi, qui s'était éprise de Jason. Experte en l'art de la magie, la jeune femme donna à son amant un onguent dont il devait s'enduire le corps pour se protéger des flammes du dragon qui veillait sur la Toison d'or. Elle lui fit aussi présent d'une pierre, qu'il jeta au milieu des hommes armés nés des dents du dragon : aussitôt, les guerriers s'entretuèrent et le héros put s'emparer de la Toison. Pour remercier Médée, Jason lui accorda le titre d'épouse. La magicienne s'enfuit alors avec lui, et, afin

aussi, des troupes irrégulières qui montaient des pièces d’une façon spontanée dans la rue. Les privilégiés obtenaient les meilleures places et toute la noblesse se réunissait pour voir ces spectacles. Les grands dramaturges de l’époque sont Pierre Corneille, célèbre pour ses tragi-comédies et Molière, pour ses farces. L’église, qui exerçait un pouvoir important à cette époque, tantôt tolère les acteurs tantôt les condamne à cause du ton moqueur envers la foi que prennent parfois les farces

le prêt-à-porter se présente comme une alternative entre la haute couture et la confection traditionnelle. Les Galeries Lafayette vont révéler les nouveaux talents, en proposant, souvent les premiers, des " corners " à Sonia Rykiel, Daniel Hechter, Pierre Cardin, Cacharel, Yves Saint-Laurent, Dorothée Bis, etc. La vocation des Galeries Lafayette est en effet de refléter la mode sous tous ses aspects mais aussi de la rendre accessible. Une démarche qui amène l'enseigne à composer une offre où se côtoient

d'affaires avec le ménage Dambreuse, le petit bourgeois rêvant de pouvoir dans le personnage de Deslauriers, ami de collège de Frédéric, la courtisane avec Rosanette… Cette diversité permet la peinture de la fin de la Monarchie de Juillet à Paris. Pierre Bourdieu a vu ce roman comme un champ d'expérimentation sociologique4. Ce point de vue permet de voir Flaubert comme l'un des phares du réalisme. Justement parce que Flaubert cherche à pointer les idées toutes faites de chaque milieu, L'Éducation

Odes (1550-1552) Pierre Ronsard « Mignonne, allons voir si la rose » Ce poème est d’avantage dédié à l’amour qu’à Cassandre Salviati. A Cassandre Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au Soleil, A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vostre pareil. Las ! voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place Las ! las ses beautez laissé cheoir ! Ô vrayment marastre Nature, Puis qu'une telle

à la fin du 1656). De retour à Paris en 1658, il obtient la protection du frère du roi : sa troupe prend le nom de « Troupe de Monsieur » et représente ses deux premières comédies, des comédies de Scarron et de Thomas Corneille et des tragédies de Pierre Corneille (en particulier Nicomède et Cinna), de Rotrou et de Tristan L'Hermite. Sa carrière d'auteur dramatique commence vraiment avec Les Précieuses ridicules, pièce qui remporte un grand succès en novembre 1659. Soutenu par le roi Louis XIV, marié