Piémont

(au départ). L'un de ces royaumes, le Piemont, avec à sa tête Victor-Emmanuelle II (un roi libéral), est décidé à réaliser l'unification nationale. Le roi nomme un Premier ministre. Cavour qui à l'aide de Napoléon III, chasse l'autriche de la région de Milan annexé au Piemont. Ensuite, le centre de l'italie et les états pontificaux décident de se rattracher au Piemont. En 1860, Garibaldi, un patriote, conquiert les Deux-Siciles et l'annexe au nom de Piemont. Après la proclamation du royaume d'Italie

Synthèse En Prusse et en Italie, le développement des nationalismes débouche sur la création de deux nouveaux Etats. En 1850, l’Italie ressemble à un ensemble fragmenté de royaumes, de duchés et d’états. A cette époque, Victor-Emmanuel II règne sur le Piémont-Sardaigne et il veut réaliser l’unité de son pays. Le Premier ministre, Camillo Cavour, le seconde, en développant, notamment le chemin de fer, l’industrie et les exportations agricoles. Dès lors, le royaume devient quasi le plus développé de toute

fait les frais de l’unité allemande ?I] La France et l’unité italienne : du soutien au désaccord A) Les espoirs d’unité italienne au lendemain de 1848Au milieu du 19e siècle, la nation italienne est divisée politiquement. Au nord, le royaume de Piémont-Sardaigne, au sud, le royaume des Deux-Siciles, au centre les Etats pontificaux (les Etats du pape) et le nord-est de la péninsule est dominé par l’Autriche-Hongrie (dominé par l’Empereur par François-Joseph jusqu’en 1916). Depuis l’occupation française

en 1849, avec le Piémont. Mais le nouveau roi de Piémont, Victor-Emmanuel II (1849-1878) et son ministre CAVOUR, renforcent le royaume. Le roi conclut une alliance avec Napoléon III (entrevue de Plombières en 1858). La guerre de 1859-1860 unit Français et Piémontais contre les Autrichiens (victoires françaises de Solferino et Magenta). Vaincue, l’Autriche cède la Lombardie au Piémont. Celui-ci récompense la France en lui cédant Nice et la Savoie, berceau de la dynastie.Le Piémont poursuit sa politique

Maintien de l’ordre ancien. 2) En Italie Les mouvements étudiants : les Carbonari et libéraux : les libéraux italiens. Autriche(Piémont / Prusse(Etats pontificaux. Exactement la même logique. Carbonari et libéraux se séparent dans les 40’s 50’s. On aura : République italienne unie ? (Carbonari, Mazzini) Italie libérale fédérale ? Union autour de Piémont (Cavour) ou des Etats Pontificaux (projet Néo-guelfes) 1846 ; un nouveau Pape est élu, Pie IX, libéral : capable d’unifier l’Italie

se rallier au roi de Piémont Sardaigne, qui s’appelle Victor-Emmanuel II. Il s’allie au roi, le roi va s’allier avec la France. Le roi de piémont Sardaigne s’allie à Napoléon III pr débuter l’unité italienne, il va rencontrer un obstacle, le royaume lombardo vénitien appartient à l’Autriche et il a besoin d’une plus grande armée. 1859 : la France et le Piémont Sardaigne remportent 2 victoires, ls victoires de Magenta et Solferino. Ces 2 défaites sont imp, le royaume de piémont Sardaigne annexe la

pontificaux dirigé par pape qui est à la fois le chef spirituel des chrétiens et le souverain de ces territoires  Sud : Bourbon d’Espagne (tyran)  Processus d’unification nationale italienne se fait à partir de 1858 sous l’impulsion du royaume de Piémont-Sardaigne dont le roi est Victor-Emmanuel II  Initiative du premier ministre Cavour : veut chasser les autrichiens du Nord de l’Italie.  Il a conscience que se battre contre les autrichiens et espérer gagner des terres est impossible sans l’aide

L’Italie en tant que nation n'existe en effet pas encore, puisque son territoire est morcelé en sept États, dont trois (le royaume de Lombardie-Vénétie, le grand-duché de Toscane et la duché de Parme) appartiennent à l'Autriche. Le royaume de Piémont-Sardaigne est sous domination de la maison de Savoie, et le Royaume des Deux-Siciles sous domination des Bourbons. Les Bourbons sont quant à eux à la tête du duché de Parme et le pape Pie IX dirige les États pontificaux. Déjà, en 1820-1821, puis

Note de rapporteur Résumé des faits : A la suite des opérations électorales s’étant déroulés à Saint Jean de Maurienne, le second tour du 19 février 2012 a établi la victoire de la liste « Pour le rattachement au Piémont » d’une légère avance sur la liste « Les Savoisiens autonomistes ». Mon client Monsieur Chappaz membre de la liste « Les Savoisiens autonomistes » conteste la régularité de la présente élection en raison des nombreuses irrégularités observées lors de son déroulement. S’agissant

succès, mais l’Autriche réussit avec la Russie à réprimer ces mouvements nationaux en 1849. Les patriotes hongrois, tchèques et italiens sont vaincus. Les députés allemands voulant unifier l’Allemagne sont dispersés. Le salut viendra du Royaume de Piémont-Sardaigne, où le roi, Victor Emmanuel est le seul à avoir laissé une Constitution : c’est un libéral. Son premier ministre, Cavour, considère qu’une guerre avec l’Autriche est inévitable et il prépare son pays en le modernisant (développement du port