Phèdre Acte Ii Scène 5

Introduction : Dans une pièce de théâtre, le monologue est une scène ou le personnage se parle à lui même. Il est né dans les romans du XIIème siècles. Ce n’est qu’au XVIème siècle qu’il trouve véritablement sa place dans le théâtre. Le monologue est t-il un simple artifice, un moment peu vraisemblable de pause dans l’action dramatique et théâtrale ? Pour répondre à cette question on peut ainsi se demander quelles sont les fonctions du monologue au théâtre. Ainsi dans une première partie nous verrons

Phèdre Acte I, scène 1 (p. 36– "Hé depuis quand seigneur…") - Acte I, scène 3 (p. 42– "...et conspire à me nuire") Nota : les lettres "h, b, m" qui suivent les numéros de pages indiquent le haut, le Milieu ou le bas de la page. Passage qui se situe à l’ouverture de la pièce, et qui consiste paradoxalement en une sortie, ou un désir de fuite, dans le monde aventureux ou dans la mort. Au delà de la dimension strictement informative que doit avoir une scène d’exposition, on s’intéressera

Phèdre - I,3(Texte1) THEATRE : TEXTE ET REPRESENTATION   TEXTE 1   Racine PHEDRE - Acte I, scène 3 Introduction :   Racine, dramaturge du XVIIème siècle, s’inspire essentiellement de l’Antiquité grecque pour écrire ses tragédies. Comme tout classique, défenseur de la Raison, ce poète dramatique, à l’opposé de Corneille, choisit de montrer avec pessimisme les ravages de la passion sur les protagonistes souvent féminins.             Dans Phèdre, créée en 1677, l’épouse du héros Thésée, tombe

Phèdre Acte I scène 3, Jean Racine Introduction Phèdre est la dernière tragédie qu’à écrit Jean Racine, elle est formée de 5 actes en vers  C’est son œuvre la plus connue. Voilà six mois que Thésée a quitté Athènes dont il est le roi. Son fils Hippolyte est sur le point de partir à sa recherche et de fuir la jeune Aricie dont il s'est épris. La scène 3 de l’acte I est la 1ère scène où le spectateur rencontre Phèdre. Celle-ci est présentée auparavant comme souffrante et mourante

pas à celui de la bande qui pouvait le conquérir? » (chap. 9) « Il n'y avait qu'un assassin possible, cette bête brute »... L'école des femmes L’École des femmes est une comédie classique de Molière en 5 actes et en vers, créée au Théâtre du Palais-Royal le 26 décembre 1662. Acte I - Arnolphe, aussi appelé M. de La Souche, est un homme d’âge mûr qui aimerait jouir du bonheur conjugal, mais il est hanté par la crainte d’être trompé par une femme. Aussi a-t-il décidé d’épouser sa pupille

auteur d’un acte fautif peut se culpabiliser lui-même et se sentir moralement victime. Il peut tenter de réparer sa faute pour apaiser son âme sous différentes formes et c’est ce qui retiendra notre attention dans les pages qui vont suivre. L’objectif de cet exposé est de chercher à savoir non seulement comment s’exprime la culpabilité chez les personnes ayant commis des fautes mais aussi les conséquences qui peuvent en découler. Notre analyse va se fonder sur le personnage de Phèdre en tant que

Phèdre racine Acte II, Scène 5 PH=Phèdre T =Thésée H =Hippolyte introduction: PH est une pièces de théâtre qui s’inscrit dans la 2eme partie du XVIIe s.Une période sous la domination du roi Louis XIV, qui instaure une monarchie absolue de droit divin. Racine est un grand dramaturge classique. Le classicisme est un mouvement littéraire qui nait en réaction au courant baroque qui est dans l’excès. Le manifeste classique est l’Art poétique de Boileau. Les règles sont les unité de temps lieu et

Texte 2 : L’école des femmes, Molière Acte II, scène 5 L’aveu d’Agnès à Arnolphe Molière : auteur dramatique français L’école des femmes : comédie publiée en 1663 XVII°siècle : classicisme Arnolphe adopte Agnès quand elle a 4ans dans une ferme. Il l’a fait élever dans un couvent et décide de la modeler selon ses désirs : il veut qu’elle soit soumise et fidèle. A force de vouloir la préserver du monde extérieur il est prit à son piège puisqu’elle tombe amoureuse d’Horace. Agnès avoue ici

Phèdre, Jean Racine, 1677, Acte I scène 3 Jean Racine, dramaturge de tragédies classiques du XVIIe siècle, écrit Phèdre en1677. Cette pièce met en scène une jeune femme qui éprouve pour son beau-fils Hippolyte un amour impossible. Dans l'extrait de l'acte I scène 3, Oenone tente d'arracher à Phèdre ses aveux afin de comprendre pourquoi elle souffre. LECTURE I - Le poids du crime 1 - La méprise Tout d'abord, nous allons voir comment se présente la méprise dans le poids du crime

de texte : Cet extrait de Phèdre, pièce écrite par Jean Racine en 1677, montre l’héroïne prise au piège d’une violente passion qui l’anime pour Hippolyte, fils du héros Thésée, son mari. Cette œuvre est la tragédie la plus reconnue de l’auteur. Dans cet acte qui met en place l’intrigue et les conditions de naissance de cet amour Phèdre après un long questionnement d’Oenone, sa nourrice et servante va lui révéler son secret. Ainsi, dans cet acte 1, scène 3 où Phèdre apparaît pour la première fois