Phèdre Acte 3 Scène 3 Racine

Lecture analytique : L'aveu indirect de Phèdre (Acte II Scène 5) Introduction Phèdre est une pièce de théâtre qui fait partie du classissisme, écrite par Jean Racine en 1677. L'extrait que nous allons étudier est situé dans la scène 5 de l'acte II. La reine Phèdre est amoureuse d'Hippolyte, fils de son mari Thésée. La princesse a honte de cette « fureur » qui l’accable jusque dans sa santé, elle est même décidée à mourir. Toutefois, on annonce la mort de Thésée, et Oenone, sa confidente,

petit théâtre. C’est alors que sa carrière va débuter Critères | Corneille (jésuite) | Racine (janséniste) | Public | Corneille écrivait pour les esprits indépendants et fiers de la Fronde. | Racine, pour les courtisans assouplis et galants de Louis XIV. | Inspiration | Corneille avait imité de préférence les Espagnols et il est influencé par le goût baroque. | Racine aimait mieux chercher ses modèles parmi les tragiques grecs : la doctrine classique trouve son

Phèdre, Racine La pièce de théâtre " Phèdre" a été écrite par Jean Racine et a été jouée pour la première fois le 1er janvier 1677. 1- Les contextes Biographie de l'auteur. Jean Racine est né dans une famille modeste à la Ferté-Milon en 1639. Il s'est retrouvé orphelin à l'âge de 4 ans. Racine a été receuilli par des religieuses de Port-Royal. Il a acquis de solides connaissances sur l'humanité, la culture grecque et latine ainsi que les traditions chrétiennes. Il a fait des études

est aussi vrai, que Phèdre, même en vue de sa situation, est incriminé par ses initiatives sur son amour, sa face cruelle mais aussi rendu coupable par la majorité d'un avis. En effet Phèdre à mesure que la pièce avance on verra une gradation des initiatives pour séduire Hippolyte ce qui peu a peu nous détache de l'idée d'une fatalité.Tout d’abord Phèdre fait son aveu à Œnone débutant offensive en l'avouant à Œnone mais aussi a elle même «J'adorais Hippolyte» (Acte I scène 3) prononçant son nom pour

donner la réplique. (Beckett Fin de partie) Parfois, explication partielle avec un “récitant” (Brecht) ou un coryphée (théâtre antique) mais ce perso ne peut être objectif car il appartient à la pièce. Rareté des portraits “Le personnage, sur scène, est d’abord appréhendé à travers l’acteur” (MCH) La perception de sa personne est immédiate. Le portrait d’un personnage est fait souvent par un autre perso, exemples, le portrait de Thomas Diafoirus par son père dans Le Malade Imaginaire, les portraits

troupe de Molière ait joué Tite et Bérénice de Corneille juste une semaine plus tard, la pièce de Racine est entièrement différente de celle de son illustre aîné. Contrairement à ce dernier, qui s'est attaché à s'inspirer des faits historiques et à construire l'intrigue de sa pièce sur la rivalité entre Bérénice et Domitie, future épouse de Domitien (frère et successeur de l'empereur Titus), Racine a voulu conserver l'image idéalisée d'un Titus renonçant à l'amour pour obéir à la raison d'État, qui

RACINE : PHEDRE : ACTE II SCENE 5 : VERS 663-713 : L'AVEU DE PHEDRE (COMMENTAIRE COMPOSE) Introduction : Phèdre, épouse de Thésée, aime Hippolyte, le fils de Thésée et de sa première femme. Au début de la pièce, nous apprenons par un aveu fait à Oenone, sa confidente, qu'elle aime Hippolyte. Au début de l'acte II, on apprend la mort de Thésée (fausse mort). Phèdre qui se croit veuve avoue dans cette scène son amour pour Hippolyte. Après l'aveu masqué de la tirade précédent, c'est ici le véritable

Phèdre La pièce de théâtre Phèdre est une des tragédies les plus connues de Jean Racine, grand dramaturge classique. A partir de l’âge de quatre ans, Jean Racine reçoit une éducation janséniste par sa grand-mère. Arrivé à l’âge mûr, il travaille comme historiographe au service du roi Louis XIV et ses tragédies rencontrent un grand succès à la Cour. Phèdre est la dernière tragédie écrite par Racine et se situe dans la période du classicisme

particulière : La tirade où Phèdre déclare son amour à Hippolyte, à l'acte II, scène 5 du Phèdre de Jean Racine : « Oui, prince, je languis, je brûle pour Thésée (…) » La tirade de Dom Juan sur l'hypocrisie, acte V, scène 2 de Dom Juan ou le Festin de pierre de Molière : « Il n'y a plus de honte maintenant à cela, l'hypocrisie est un vice à la mode, et tous les vices à la mode passent pour vertus. (…) » La « tirade du nez » du Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand, acte I, scène 4 : « Ah ! non !

Comment se présenter aux autres ? Petrarca : Ad Familiares e Secretum Guicciardini : Ricordi Montaigne : “Avis au lecteur” Etude du genre autobiographique Etude du genre autobiographique Etude du genre autobiographique Thématique culturelle 3: La Contre-Réforme et le Baroque Cadre historique et social de la première moitié du XVIIe siècle o Baroque et préciosité: le théâtre baroque Corneille: L’Illusion comique,: “la tirade de Matamore” Corneille: Le Cid: « le dialogue des pères », «