Phytoplancton

aérosols soufrés, responsables des pluies acides qui endommagent les forêts. Ils sont issus de l'oxydation du dioxyde de soufre produit à la fois par la combustion du charbon et des dérivés du pétrole, et de celle du diméthylsulfure généré par le phytoplancton marin. Appartiennent aussi à cette famille les aérosols carbonés produits par l'oxydation des composés volatils (notamment les terpènes), rejetés par la végétation. Les aérosols naturels sont indispensables au bon fonctionnement du système climatique

verre sur les substrats (pierres, débris immergés…). L’identification et la comptabilisation des différentes espéces rencontrées permet de calculer un indice de pollution. Cette methode est bien adaptée à l’etude des petites riviéres; * Le phytoplancton sur les plans d’eau: plusieurs espéces sont indicatrices d’eutrophisation, notament chez les chlorococcales, Volvococcales, Cyanophycées, Eugléniens; * Certaines algues vertes (Ulva, Enteromorpha), qui indiquent des zones cotieres ‘eutrophisées’

surveillance a été mise en place et différentes directives doivent être respectées [11] [12] [13]. Les études sur les éléments toxiques sont très nombreuses et en particulier sur les toxines provenant de micro-organismes (dinoflagellés) présents dans le phytoplancton. Ces toxines ont des fortes activités sur le métabolisme humain [10]. Elles sont classées en plusieurs catégories selon leurs différentes modes d'actions sur l'homme [14]. Dans ce rapport nous doserons certaines toxines diarrhéiques (DSP - Diarrheic

peut créer de graves problèmes dans les réseaux de distributions : consommation de l’oxygène dissous, corrosion, apparition de mauvais goûts. 2.2.2 Micro organismes divers Les eaux de surface contiennent de nombreux organisme constituant le phytoplancton et le zooplancton. Plusieurs de ces organismes, sécrètent des composés (comme la géosmine) donnant à l’eau un goût et une odeur désagréable. D’autres sont pathogènes pour l’homme (amibes). La présence d’algues et de macro-organismes dans le réseau

kilomètres carré; les océans sont donc contaminés de façon quasi permanente par un film d'hydrocarbures. Cette pollution a des effets pernicieux sur les ressources vivantes. On a même démontré une baisse de l'activité photosynthétique des algues et du phytoplancton. » « La combustion de produits pétroliers libère dans l’atmosphère non seulement des polluants atmosphériques mais aussi des gaz à effet de serre. Les gaz à effet de serre ne sont pas des polluants mais des composants naturels et nécessaires

dissoute ou particulaire. 2-2- La biocénose La biocénose peut être subdivisée en trois ensembles : - Les producteurs : ce sont les végétaux verts qui poussent sur les rives ou en pleine eau ou les organismes microscopiques flottant dans les eaux (phytoplancton). Il faut y ajouter le périphyton : végétaux se développant sur d’autres végétaux ou sur les galets. Ce sont des producteurs primaires : ils transforment l’énergie solaire en énergie chimique. Ils sont autotrophes. - Les consommateurs : ils

massivement perdus par l'agriculture intensive ou par les stations d'épuration ("STEP") ; ces substances peuvent être à l'origine de phénomènes d'eutrophisation, qui se traduisent par exemple par l'apparition d'algues vertes ou de microalgues (phytoplancton) dont quelques espèces sécrètent des toxines, conduisant localement à la mort de la plupart des organismes marins. Ces trois phénomènes se combinent souvent. L'ONG Ocean Conservancy organise tous les ans, pendant une journée, une action de ramassage

qu’elles soient dans l’air ou dans l’eau. Selon les organismes concernés, ces composés peuvent être bioaccumulés*. Ceci est vrai pour les organismes n’ayant pas de système de biotransformation efficace tels que les bactéries, les protozoaires, le phytoplancton ou certains invertébrés. La plupart des HAP environnementaux à quatre cycles et plus ainsi que le phénanthrène sont géno- développés tels que le test d’Ames (Maron et Ames, 1983) ou le SOS Chromotest (Quillardet et al, 1982). Ces tests ont permis

effets de cette pollution sont d’abord une modification de l’équilibre des espèces, la détérioration de l’eau, et l’apparition de maladies et intoxications. Par exemple, l’accumulation de virus dans des coquillages ou celle de détergents dans les phytoplanctons. Ceux-ci vont être mangés par des prédateurs, à leur tour mangés, et ainsi le virus et la toxicité du détergent sont transmis à toute la chaîne alimentaire. Ainsi, il y a quelques années, il y eut un problème car beaucoup de poissons contenaient

soit viable mais non cultivable. C'est-à-dire qu’elle garde sa pathogénicité mais ne l’exprimera qu’au retour à sa forme initiale lorsque les conditions sont favorables. V. cholerae peut faire une association avec les algues, le zooplancton et le phytoplancton, ce qui aide à sa nutrition et à sa survie dans les conditions de dormance. 2. Facteurs climatiques à grande échelle Le réchauffement climatique global joue probablement un rôle important dans les épidémies de choléra, car il offre des conditions