Physiognomonie

s’acheter des habits qui conviennent à la bourgeoisie. Anastasie, bien qu’elle ait endetté son père, voient essentiel de se payer une robe extravagante à l’occasion d’un bal. Une importance considérable est attribuée aux apparences physiques, à la physiognomonie, puisque ceux-ci permettent de statuer la situation sociale et économique d’un individu. Donc, la question de l’augmentation de la fortune d’une personne, ainsi que les apparences auxquelles une grande importance est accordée expliquent le matérialisme

aspect inhumain au personnage. II- Le type de l’usurier A- Le thème de l’avarice -Champ lexical de l’avarice : « économiser », « ménager ». Associe Gobseck à l’économie. -Clichés physique de l’avare : « lèvres minces », « nez pointu ». Physiognomonie -> Il correspond au cliché de l’avare. -Référence au métal : « vermeil dédoré », « bronze », « yeux jaunes ». Evoque les différentes monnaies. B- Généralisation vers le type -Système de comparaison : à des personnes célèbres ; à des

saut du lit. Pour Balzac, il s'agit de montrer le personnage et les lieux où il vit. Le décor a été modelé par le personnage et le décor agit sur ce personnage : c'est une interaction entre le décor et le personnage. Aussi, on va assister à la physiognomonie : le rapport entre physique et caractère. II ) LE PERSONNAGE ET SON DECOR L.9 : « sa personne dodue [.] sont en harmonie avec cette salle ». Le personnage et le décor sont étroitement lié. A ) Harmonie implicitement exprimée 1°)

définissent les caractères psychologiques de chaque individu dans leur globalité avec les grandes tendances positives ou négatives, sont établies à partir de l'antropomorphologie, examen de la totalité du corps ou uniquement du visage par la physiognomonie, et sont classifiés de manière Hyppocratiques, Homéopathiques ou Psychologiques. VII Comment interprétez-vous la pensée suivante : « Rien ne vient s'installer sur un terrain sain » Un terrain sain est obtenu par une personne qui s'implique

mur''. L'autre aspect que le texte fait ressortir par rapport à la description de la chambre de Germinie est une métaphore filée présente tout au long du texte et qui compare l'état de la chambre à l’état de Germinie et que la chambre est la physiognomonie de Germinie c'est-à-dire son apparence, son état physique:''Le lit, une chaise et une petite toilette boiteuse avec une cuvette cassée, faisaient tout le mobilier'' ici la cuvette cassée est comparable a l'état de Germinie qui est en mauvaise

choses de la vie. : le participe « trahie » et le verbe « accusait établissent ici clairement l'idée que le physique révèle le moral. N'oublions pas que Balzac adhère à la physiognomonie de son époque qui croit que la physionomie des gens permet de connaître leur caractère. La science moderne réfute cette idée, mais la physiognomonie est considérée comme une science à l'époque de Balzac et l'on en retrouve trace dans ses œuvres. Et quand le romancier prête à l'antiquaire une « finesse d'inquisiteur »

peur de transgresser les règles. Le texte se termine d’ailleurs sur le champ lexical du mystère avec les mots « percer », « ne pouvoir pénétrer les pensées », « faire supposer », « mystère enfoui »… Dans cet extrait, Honoré de Balzac pratique la physiognomonie en décrivant le physique d’un personnage fort et ouvert qui laisse à penser que Vautrin est un homme serviable et ouvert aux autres. Mais très rapidement, le lecteur se rend compte que tout ceci n’est qu’une façade, une « barrière » entre Vautrin

ascensions, artiste, banquiers…) dont il expose les mécanismes).Afin de mettre à bien ce projet Balzac a recours à un narrateur tout puissant doté du don de seconde vue (capacité à percevoir les choses autrement que par les sens) intussusception, physiognomonie. Ainsi, d’après ces observations il en tire une réflexion puis des leçons, presque une vérité générale. Le narrateur sait tout, même s’il est interne, il se révèle en peu plus savant qu’il n’en a l’air.La C.H. se divise en 3 parties : · Les Études

mis en œuvre ? Etude de la situation spatio-temporelle. - Le personnage romanesque et la vision de l’homme proposée : • ses caractéristiques : nom, portrait, pensées, langage, milieu social ? • son portrait : description physique ? morale ? Une physiognomonie ? Le lexique est-il élogieux ? péjoratif ? Quel est alors le point de vue donné sur ce personnage par l’auteur ou par un autre personnage du roman ? pourquoi ? Est-ce un portrait en actes ? Quels actes ou paroles ? Qu’apprennent-ils sur le personnage

traitement de son physique. D'ailleurs, tout comme dans Lorenzaccio, Leiris paraît fuyant tout comme il le dit lui même, d'où ses deux majeurs laissent « dénoter quelque chose d'assez faible, d'assez fuyant dans mon caractère », ce qui ramène à la physiognomonie du portrait. Jean-Paul Sartre laisse entendre un Moi à deux facettes. D'un côté il raconte un événement de son enfance avec ses ressentis de l'époque, « forts et rapides » où il idéalisait les autres tels des « héros ». D'un côté est présenté