Phobie

d’allure hystérique (crises, tremblements, etc.) ; -des symptômes dépressifs (sentiments de dévalorisation, culpabilité) ; -des troubles alimentaires (anorexie) ; -des troubles du sommeil (insomnies) ; -des manifestations phobiques (phobies de situation, phobies simples, phobies sociales, etc.). 3. Les modifications de la personnalité Elles peuvent être un retrait social, des attitudes d’hostilité et de méfiance, des sentiments de tensions et de menace, l’impression d’être changé ou d’être différent

confiance en vous et en vos capacités. Les souvenirs traumatiques et les phobies Bien que le développement de la confiance ait des impacts positifs sur la peur, elle n’est pas toujours, loin s’en faut, la situation à tous les problèmes. Lorsque la peur est liée à un souvenir traumatique (accident, agression, maladie, etc.), l’approche par la confiance en soi risque d’être fondamentalement insuffisante. De la même manière, les phobies en tout genre (avion, eau, hauteur, insectes, etc.) ne peuvent être

réel et survenant soit sous la forme d'un état permanent (TOC) ou encore sous forme brusque (crise de panique) *** l'anxiété est flottante, ne s'explique pas par des rpoblèmes ou dangers réels. *** TROUBLES ANXIEUX: 1) troubles paniques 2) phobies spécifiques (ex: peur des boutons...) ou sociale 3) troubles anxiété généralisé (TAG) 4) Troubles obsessionnels compulsifs (TOC) 5) Troubles de stress post-traumatique (TSTP) DIMENSION BIO, PSYCHO, SOCIALE NIVEAU SOCIALE: -> aucun concensus

| modifier le code]  Phobie : la phobie est la crainte irraisonnée d'un objet extérieur ou d'une situation sans danger objectif (objet ou situation phobogène). Cette crainte est jugée absurde par le patient. La confrontation à l'objet ou à la situation redoutée provoque une angoisse intense. Le sujet développe des conduites d'évitement pour éviter la confrontation, ou bien alors il s'aide d'objets ou d'attitudes contraphobiques. On distingue les phobies simples, la phobie sociale (au cours de laquelle

capacités affectées par l’amblyopie, une maladie causée par le vieillissement. -La réalité virtuelle a été déterminé comme une avantage majeur pour affronte les phobies aux avions, aux ascenseurs et aux ponts. Une étude de l’Association américaine de physiologie a démontré que cette nouvelle technologie est plus efficace pour combattre ces phobies. -Le jeu vidéo stimule la coordination œil/main. -Les jeux vidéos encouragent aussi le travail d'équipe et la coopération lorsqu'ils sont joués en groupe

d’hystérie : l’hystérie d’angoisse dont le symptôme central est la phobie et l’hystérie de conversion qui exprime le conflit psychique à travers des symptômes corporels. Pour Freud, il s’agit dans l’hystérie de conversion d’un détachement de la libido et de la représentation refoulée (fantasme) qui est transformé en énergie d’innervation (bloque et paralyse une partie du corps concernée). Dans l’hystérie d’angoisse, Freud met en place la phobie comme trait saillant du symptôme. La patiente adopte une peur

me veut du mal (c'est pas moi, c'est lui). --> PROJECTION : c'est la faute de ma victime. Dans l'expérience de Milgram, l'élève donnait des mauvaises réponses et en plus, le professeur l'enguelait. Ce phénomène est bien connu en psychanalyse. *La phobie est lié au complexe d'oedipe = principe de la réalité. Loi du père = la 1° LOI = Le 1° interdit, celui qui m'apprend à rentrer dans la société et à accepter les lois. Le père devient ensuite un modèle pour le fils :"moi aussi j'aurai

sont mis en place pour éviter cette séparation ( aller à l’école par exemple ) phobie : Peur prononcée et persistante d’un objet ou d’une situation particulière qui objectivement ne représente pas un danger. Chez l’enfant il faut des manifestations de peur pendant 6 mois avant de parler de phobie que rien ne peut calmer.  La phobie scolaire : se manifeste souvent entre 7 et 13 ans, peur panique avant d’aller à l’école, l’enfant étant souvent

association ou non au traitement médicamenteux, dans le trouble panique et dans le trouble anxieux généralisé. Elles sont également efficaces dans l’état de stress post-traumatique, dans les troubles obsessionnels compulsifs, dans les phobies sociales et diverses phobies spécifiques. D’après une étude contrôlée, les psychothérapies brèves sont efficaces dans le traitement du trouble panique en association avec un antidépresseur pour prévenir les rechutes. Elles pourraient être également efficaces dans

ou au contraire d'une prostration, de pleurs, de troubles de l'humeur et du comportement avec changement de personnalité, une irritabilité et de troubles de l'alimentation (anorexie, boulimie, phobie alimentaire) et de troubles du sommeil (insomnie, peur du noir cauchemars, terreurs nocturnes), des phobies, une angoisse de séparation soudaine, comportements régressifs (sucer son pouce, parler bébé, balancements), chute brutale des résultats scolaires et surtout des comportements sexuels inappropriés