Philosophie Plus Fort Que Moi

démocratie CHAPITRE 1 : Les philosophie de l'histoire 4ème siècles avant J-C : Platon pensait que les hommes vivaient sages, on appelait cette période l'âge d'or. Tous ces hommes ont sombré dans l'oubli de tout ce qu'ils connaissaient : mythe de l'Atlantide. Ces hommes doivent reconquérir leur connaissance par un long travail : le maïeutique. Pendant cette période l'homme doit retourner à l'age d'or. Schéma : Mythe de l'Atlantide : – plus on reste inactif/paresseux plus ca sera dure de retrouver

l’instaure. […] Dès lors, Thrasymaque, il est évident qu'aucun art ni aucun commandement ne pourvoit à son propre bénéfice, mais, comme nous le disions il y a un moment, assure et prescrit celui du gouverné, ayant en vue l'avantage du plus faible et non celui du plus fort. C'est pourquoi, mon cher Thrasymaque, je disais tout à l'heure que personne ne consent de bon gré à gouverner et à guérir les maux d'autrui, mais qu'on demande salaire, parce que celui qui veut convenablement exercer son art ne fait

contre-utopie Des apologues Texte 1 : Candide ou l’optimisme de Voltaire, 1759, Chapitre XVIII, L’Eldorado, « Ils entrèrent dans une maison fort simple … Il est certain qu’il faut voyager » - Texte 2 : Georges Perec, W ou le souvenir d’enfance, 1975 chapitre 12 « Il y aurait, là-bas, à l’autre bout du monde, une île (…) comment il a façonné au plus profond les relations sociales et les aspirations individuelles. » Texte 3 : 1984 de George Orwell, paru en 1948, « - Comment un homme s’assure-t-il

obstacles au bonheur du corps social, qu’ils soient économiques ou social, pouvaient être levés. On constate toutefois que si les progrès scientifiques et techniques et plus généralement l’œuvre civilisatrice ne sont pas sans valeur dans la quête du bonheur, car ils permettent la satisfaction des besoins et des goûts de l’homme, un plus grand développement de ses talents et de sa personnalité, ils n’impliquent pas le bonheur. On peut se demander, dès lors, si le bonheur n’est pas, pour chacun de nous

Synthèse personnelle Sur le thème de l’éthique et de la responsabilité, nous nous sommes tournés vers le sujet de la transplantation d’organes sous l’aspect de la philosophie et de la SVT. Notre problématique est donc : la transplantation d’organes, entre problèmes éthiques et techniques. Le choix du sujet c’est avéré particulièrement spontané pour l’ensemble du groupe, suite à la découverte des feuilles de « pistes »

s’il existe des états de plaisir où l’on est pas heureux, voire même où l’on reste malheureux. Il serait donc peut-être réducteur de réduire l’idée de bonheur à une simple accumulation de plaisirs qui restent plus ou moins éphémères. Le bonheur suppose surtout un sentiment plus profond et plus durable d’être en accord avec soi, avec le monde, d’avoir réussi ce que nous souhaitons faire. Disons d’une manière générale que le bonheur vise un idéal de satisfaction. Mais de quoi dépend-t-il ? Etymologiquement

Analyse de texte sur le Gorgias de Platon Par Rémy Couture Travail remis à ********* Enseignante Dans le cadre du cours 340-101-MQ PHILOSOPHIE ET RATIONALITÉ Groupe 20 Cégep de Saint-Hyacinthe 2013-01-15 R.68 Si on suit le raisonnement de Socrate, et que l’on affirme que tout ce qui est beau et bon est directement lié au bonheur, je crois que oui. Chaque homme peut affirmer ce qu’il veut à propos de son bonheur, il peut même mentir sur celui ci pour essayer de survivre à sa conscience

état de juger sainement, ne conviendras-tu pas? JACQUES: Je conviendrai que quand on a donné sa parole d'honneur, il faut la tenir; et puisque nous avons promis au juge sur notre parole d'honneur de ne pas revenir sur cette affaire, qu'il n'en faut plus parler. LE MAÎTRE: Tu as raison. JACQUES: Mais sans revenir sur cette affaire, ne pourrions-nous pas en prévenir cent autres par quelque arrangement raisonnable? LE MAÎTRE: J'y consens. JACQUES: Stipulons: 1° qu'attendu qu'il est écrit là-haut

Une quête d’axiomes, de certitudes éprouvées, se poursuivit dans le mouvement du cartésianisme tout au long du xviie siècle[réf. nécessaire]. Gottfried Wilhelm von Leibniz (1646-1716) développa les mathématiques et le calcul infinitésimal. Sa philosophie des monades se démarquait également de celle de René Descartes. Les philosophes britanniques, comme Thomas Hobbes et David Hume, adoptèrent une démarche empirique, mettant l’accent sur les sens et l’expérience dans l’acquisition des connaissances

Moi qui suis prof de philosophie, quand j'entends l'énoncé suivant : " on n'apprend pas la philosophie ", je pense tout de suite à la fin de la citation de Kant, qui est " on apprend seulement à philosopher " ; alors, je pense à la question classique des rapports entre la science et la philosophie ; je pense aussi à la conception antique selon laquelle le philosophie est la première des sciences, et je vois alors le " problème ". Inutile de préciser que pour le novice, c'est plus difficile.   - La